Accueil Blog Page 6

Pourquoi les grattes ciels ne sont-ils pas populaires en Europe?

La place des grattes ciels en Europe

Alors que l’Union européenne représente plus de 7% de la population mondiale, et même plus de 21% du PIB (produit intérieur brut) de la planète, elle ne compte que 0,7% des plus hauts immeubles du globe. Selon une enquête récente du magazine The Economist, la situation est assez surprenante. En compilant les chiffres du Conseil des immeubles de grande hauteur et de l’habitat urbain (CTBUH) de Chicago, on se rend compte que l’actuelle plus haute tour d’Europe, la Varso Tower du centre de Varsovie (Pologne) avec ses 310 mètres de haut, ne pointe qu’à la 172e place des bâtiments les plus élevés du monde.

Les freins à la construction de grattes ciels en Europe

Freins financiers, désamour, normes trop pesantes? Une chose est sûre: cela ne tient pas au manque de savoir-faire. Des architectes renommés comme Jean Nouvel, Christian de Portzamparc et Françoise Raynaud ont déjà réalisé des tours impressionnantes dans d’autres régions du monde. Toutefois, en Europe, l’envie d’habiter dans ces grandes tours type grattes ciels se fait souvent plus discrète au cœur de la vieille Europe. La majorité des très hautes constructions européennes se font en marge du continent, principalement du côté de la Russie, d’Istanbul ou de Londres.

L’Afrique bientôt devant l’Europe?

Il faut reconnaître que l’imaginaire des villes européennes traditionnelles ne réserve pas un très bon accueil aux tours. Contrairement aux États-Unis ou à l’Asie, la tour renvoie généralement un stéréotype de mauvaise qualité, de construction dans un emplacement périphérique, souvent pour du logement social. Un logement subi, plutôt que désiré. Ce contexte explique peut-être pourquoi la construction de grattes ciels a surtout prospéré dans d’autres régions du monde.

La réglementation stricte en matière d’urbanisme et de préservation du patrimoine est également un frein majeur à la construction de grattes ciels en Europe. De plus, les grandes fortunes de la planète qui investissent dans l’immobilier valorisent davantage les bâtiments historiques et patrimoniaux. Avec l’accent mis sur le zéro artificialisation nette, il est devenu crucial d’améliorer l’existant plutôt que de se lancer dans la construction de grattes ciels à grande échelle. Malgré les efforts déployés pour des projets tels que la tour Triangle à Paris, ce type de construction sera de plus en plus difficile à réaliser à l’avenir, en dehors de certains secteurs comme La Défense.

L’Europe n’est pas le continent leader en matière de grattes ciels, pourtant

Les avantages et les défis liés à ce type de constructions continuent d’interroger les experts du secteur immobilier, de l’urbanisme et des grattes ciels. La place des tours dans les paysages urbains européens reste un sujet de débat et d’étude, avec des implications à la fois culturelles, économiques et environnementales.

Abuser de la confiance en détournant l’usage d’un bien immobilier

Dans un arrêt révolutionnaire, la Cour de cassation redéfinit les contours de l’abus de confiance bien immobilier. Désormais, cette infraction ne se limite plus aux biens meubles mais s’étend aux immeubles, marquant un tournant dans la jurisprudence.

Les JO risquent de rendre les déménagements bien compliqués.

Les Jeux olympiques, événement mondial tant attendu, apportent avec eux des défis et des opportunités pour divers secteurs. Parmi ceux-ci, les professionnels de l’immobilier en région parisienne, et plus particulièrement ceux du déménagement, se trouvent au cœur d’une période intense. Dans cet article, nous explorerons l’impact potentiel des Jeux olympiques sur les déménageurs professionnels et les stratégies qu’ils adoptent pour faire face à cette situation exceptionnelle.

Impact potentiel des Jeux olympiques sur les déménageurs professionnels

Une étude menée par la plateforme Nextories auprès de plus de 260 entreprises du secteur de déménagement révèle que 3 déménageurs sur 4 sont inquiets de l’impact potentiel des Jeux olympiques sur leur activité. Selon eux, leur chiffre d’affaires pourrait chuter jusqu’à 50% à une période de forte activité.

Stratégies adoptées par les professionnels

Face aux restrictions de circulation et aux mesures exceptionnelles mises en place pendant les Jeux olympiques, les professionnels du déménagement optent pour diverses stratégies. Certains choisissent de boycotter purement et simplement la capitale durant cet événement, tandis que d’autres décident d’étendre leurs horaires de travail pour plus de souplesse. Certains préfèrent concentrer leur activité sur les plages horaires où la circulation est plus fluide.

Contraintes liées au déménagement pendant les JO

Il est essentiel de rappeler que la Ville de Paris met à jour des pages Internet dédiées aux formalités concernant la circulation et le stationnement pendant les Jeux olympiques. Ces pages fournissent des informations précises sur les différents périmètres d’accès (gris, bleus et rouges) ainsi que les justificatifs nécessaires pour effectuer un déménagement dans certains secteurs. Il est notamment exigé de présenter un justificatif de domicile et un justificatif du caractère «impératif» du déménagement pour les zones rouges.

Les professionnels redoutent les difficultés supplémentaires liées à cette période intensive, telles que les temps de déplacement rallongés, les difficultés de stationnement et les itinéraires obligatoires. Parmi les principales craintes évoquées par les déménageurs figurent «l’impossibilité de stationner ou d’accéder aux adresses de chargement et déchargement», ainsi que l’augmentation des coûts engendrée par la nécessité de recourir à des nuits d’hôtel et des heures supplémentaires.

Les défis et opportunités pour les professionnels de l’immobilier pendant les JO

Les Jeux olympiques représentent à la fois un défi et une opportunité pour les professionnels de l’immobilier en région parisienne. En effet, si les contraintes de circulation et les dispositifs de sécurité mis en place peuvent impacter négativement l’activité des déménageurs, cette période intense d’événements sportifs internationaux peut également offrir de nouvelles opportunités d’affaires.

Les professionnels doivent se préparer à faire face à des défis logistiques et organisationnels supplémentaires pour garantir la qualité de leurs services malgré les contraintes extérieures. Il est essentiel de mettre en place des stratégies adaptées pour s’adapter aux circonstances exceptionnelles et maintenir la satisfaction des clients.

L’importance de la planification et de la flexibilité

Dans ce contexte particulier, la planification et la flexibilité sont des atouts essentiels pour les professionnels de l’immobilier. Il est primordial d’anticiper les contraintes liées aux Jeux olympiques et de mettre en place des solutions innovantes pour garantir la réussite des déménagements pendant cette période sensible.

Les professionnels du déménagement doivent également s’efforcer de communiquer de manière transparente avec leurs clients pour les informer des impacts potentiels sur leurs services et des mesures prises pour minimiser les désagréments. La transparence et la réactivité sont des éléments clés pour maintenir la confiance et la satisfaction des clients pendant les Jeux olympiques.

L’adaptation aux nouvelles tendances du marché de l’immobilier

Les Jeux olympiques représentent également une opportunité pour les professionnels de l’immobilier et du déménagement de s’adapter aux nouvelles tendances du marché et de renforcer leur positionnement sur le secteur. En effet, cet événement d’envergure internationale met en lumière les enjeux et les opportunités de l’immobilier dans la région parisienne, et offre aux professionnels l’occasion de se démarquer par leur expertise et leur capacité à relever les défis.

Les professionnels de l’immobilier et du déménagement doivent saisir cette opportunité pour renforcer leur visibilité, leur réputation et leur attractivité sur le marché. En se positionnant comme des acteurs incontournables de l’immobilier pendant les Jeux olympiques, ils peuvent développer de nouveaux partenariats, conquérir de nouveaux clients et consolider leur positionnement sur le marché.

les Jeux olympiques : défi et opportunité pour les professionnels de l’immobilier en région parisienne

Pour relever ces défis, il est essentiel de se préparer en amont, de mettre en place des stratégies adaptées et de faire preuve de flexibilité et d’innovation pour garantir la réussite des déménagements pendant cette période sensible. Les professionnels du déménagement qui sauront anticiper les contraintes liées aux Jeux olympiques et s’adapter aux nouvelles tendances du marché pourront tirer pleinement parti de cette période intense d’événements sportifs internationaux pour renforcer leur positionnement et leur succès sur le marché de l’immobilier.

Premier achat immobilier : tout savoir sur les aides de l’État

Bienvenue dans l’aventure palpitante de l’acquisition immobilière, un rêve ambitieux surtout lorsqu’il s’agit de votre premier achat immobilier. Heureusement, l’État s’est armé de dispositifs pour alléger vos démarches et soutenir votre projet. Les aides de l’État représentent une bouée de sauvetage financière pour nombre de primo-accédants qui souhaitent franchir le seuil de la propriété. Mais quelles sont ces aides et comment en bénéficier ?

Arrêt du bouclier tarifaire: votre loyer risque-t-il d’augmenter après le 1er avril?

Fin du plafonnement des loyers : ce qui va changer pour les locataires et les propriétaires

Le plafonnement de la hausse des loyers, fixé à +3,5%, arrive à sa fin. Le dispositif, prolongé jusqu’au 31 mars 2024, ne sera pas reconduit selon le ministère du Logement. Cette décision de la fin du plafonnement des loyers divise l’exécutif et suscite des réactions mitigées chez les locataires et les propriétaires.

Une hausse plafonnée jusqu’en 2024

La variation de l’Indice de référence des loyers (IRL) est limitée à 3,5% jusqu’à l’IRL du premier trimestre 2024. Cela signifie que la hausse des loyers restera plafonnée jusqu’à la mi-avril, date à laquelle la nouvelle IRL sera publiée sur le site de l’Insee. Cependant, à partir du deuxième trimestre 2024, l’IRL ne sera plus soumis au bouclier tarifaire (fin du plafonnement des loyers) et pourra dépasser les 3,5%.

Pas d’augmentation pour les passoires énergétiques

Les logements classés F ou G sur le Diagnostic de performance énergétique ne sont pas concernés par cette mesure de fin du plafonnement des loyers. En effet, les loyers de ces passoires thermiques sont gelés et ne peuvent pas être augmentés.

Pas de flambée prévue pour la fin 2024

Malgré la fin du plafonnement des loyers, les propriétaires ne pourront pas augmenter leur loyer de manière excessive. Ils devront respecter la hausse maximale fixée par l’IRL publié chaque trimestre sur le site de l’Insee. Après la fin du plafonnement des loyers, la révision du loyer se fait une fois par an, à la date anniversaire du bail ou à une autre date convenue par les parties.

Anticipation d’une inflation maîtrisée en 2024

Selon la Direction générale du Trésor, l’inflation utiliser pour calculer l’IRL devrait diminuer en 2024, à +2,6%. Grâce au ralentissement des prix de l’alimentation et des biens manufacturés, une flambée des loyers n’est donc pas prévue pour la fin de l’année 2024.

La fin du plafonnement de la hausse des loyers

Cette fin du plafonnement des loyers marque un tournant pour les locataires et les propriétaires. Si les locataires pourraient voir une augmentation de leur loyer au-delà de 3,5% à partir du deuxième trimestre 2024, les propriétaires devront continuer de respecter les règles fixées par l’IRL. Il sera intéressant de suivre l’évolution de la situation et de voir si les prévisions d’inflation se concrétisent en 2024.

Est-ce que le nombre de logements neufs a atteint son point le plus bas ?

La crise de la construction de logements neufs en France : une situation inquiétante

Le secteur de la construction de logements neufs en France traverse une profonde crise, comme en témoignent les dernières données publiées par le ministère de la Transition écologique. En effet, le nombre de mises en chantier a chuté de plus de 25% en un an, avec moins de 284.000 ouvertures de chantier enregistrées en février 2024. Cette baisse est particulièrement marquée pour les maisons individuelles, avec une chute de près de 33% en un an. De plus, seuls 365.000 nouveaux logements ont été autorisés, en baisse de près de 22% sur 12 mois.

Les causes de la crise : taux de crédit élevés, désintérêt des investisseurs et hausse des coûts

Cette crise s’explique par plusieurs facteurs. Tout d’abord, la demande de logements a été impactée par les taux de crédit élevés, bien qu’en baisse, ainsi que par le désintérêt des investisseurs pour l’investissement locatif jugé moins rentable. En outre, le secteur du logement neuf est confronté à la hausse des coûts de construction et à l’envolée des prix du foncier.

Des perspectives incertaines malgré un léger plateau

Malgré cette situation alarmante, il semblerait que les courbes des logements autorisés et commencés commencent à dessiner un « plateau », notamment pour les permis de construire. Cela pourrait indiquer qu’un plus bas a été atteint, mais les perspectives de relance restent incertaines. Le gouvernement a promis un « choc d’offre » pour relancer la machine, avec l’objectif ambitieux de construire 30.000 nouveaux logements d’ici trois ans. Cependant, cette quantité semble dérisoire par rapport aux besoins réels du marché immobilier en France.

Les banques pointées du doigt

Les banques sont également pointées du doigt dans cette crise de la construction de logements neufs en France. En effet, l’exécutif accuse les établissements bancaires de ne pas accorder suffisamment de prêts immobiliers, ce qui limite l’accès à la propriété pour de nombreux ménages. Des discussions sont en cours pour mettre en place ou généraliser des dispositifs de niche afin de faciliter l’accession à la propriété. Cependant, le temps presse, car comme le soulignent les experts du logement neuf, « l’offre de demain se prépare dès maintenant ».

La Fédération du bâtiment prévoit la disparition de 150.000 emplois dans le secteur du bâtiment en 2024 et 2025. Face à cette situation, le ministre du Logement, Guillaume Kasbarian, a promis un projet de loi visant à améliorer l’offre de logements pour les classes moyennes.

En conclusion, la crise de la construction de logements neufs en France est une situation préoccupante qui nécessite des actions concrètes et rapides pour relancer le secteur et répondre aux besoins du marché immobilier.

Est-il nécessaire pour Stéphane Plaza de changer le nom de son réseau immobilier?

Le réseau immobilier de Stéphane Plaza sous les projecteurs : l’impact des rumeurs de changement de nom

Une rumeur agitée ces dernières heures faisait état d’un possible changement de nom pour le réseau immobilier de Stéphane Plaza. De plus, il était également question de la démission du PDG, Patrick-Michel Khider, président de Stéphane Plaza Immobilier. C’est un ancien chroniqueur de l’émission Touche pas à mon poste qui a lancé cette annonce le lundi 18 mars. Cependant, Stéphane Plaza lui-même a rapidement démenti ces informations lors d’une visioconférence avec les franchisés, soulagé que le réseau reste stable malgré les accusations de violences conjugales le concernant.

Le PDG du réseau immobilier a confirmé que le changement de marque n’était pas à l’ordre du jour et a assuré de prochaines campagnes de communication pour renforcer l’image de l’entreprise. Malgré ces démentis, les remous engendrés par l’affaire « Stéphane Plaza » continuent de susciter l’inquiétude parmi les agents immobiliers dans le réseau immobilier. Certains clients ont fait part de leur perte de confiance, ce qui met en lumière la question cruciale du changement éventuel de nom pour l’entreprise.

Légalité et réputation : une balance à établir

Sur le plan juridique, le droit des marques n’impose pas au réseau de changer de nom, d’autant plus que la marque est détenue par une société et non par Stéphane Plaza en personne. Cependant, la réputation de la marque est un élément clé à considérer, surtout pour une enseigne aussi intimement liée à l’image de l’agent immobilier star. Si les déboires de Stéphane Plaza venaient à impacter négativement les performances du réseau, la question du changement de nom pourrait alors être sérieusement envisagée pour le réseau immobilier de Stéphane Plaza.

Le futur du réseau en suspens : les scénarios possibles

En cas de blanchiment de Stéphane Plaza dans l’affaire qui le concerne, l’entreprise pourrait continuer à opérer sous son nom actuel. La jurisprudence établit que le nom patronymique devient la propriété de la société et n’est donc pas directement lié à la personne physique. Cependant, une éventuelle clause de réputation dans les contrats des franchisés pourrait bouleverser la donne et les inciter à demander un changement de nom. La confiance des clients et franchisés dans l’ensemble du réseau est au cœur des réflexions des dirigeants, qui devront décider s’il est préférable de conserver le nom actuel ou d’opter pour un rebranding afin de préserver l’intégrité de l’entreprise.

Les enjeux d’une éventuelle décision de justice

Si Stéphane Plaza venait à être acquitté, l’impact positif sur l’image du réseau et de son cofondateur serait indéniable. Cependant, la durée de l’affaire et les répercussions psychologiques chez certains clients ou franchisés pourraient laisser des traces durables sur le réseau immobilier. La perception du public, tant des clients que des acteurs internes, est cruciale pour l’image de marque, et une réhabilitation de Stéphane Plaza pourrait redonner un second souffle au réseau. Cependant, certains pourraient avoir du mal à dissocier l’homme de l’entreprise, ce qui pourrait nécessiter une réflexion approfondie sur l’avenir de la marque.

L’appartement de Karl Lagerfeld à Paris a été cédé pour 10 millions d’euros

Un trois-pièces de 260 m² ayant appartenu à Karl Lagerfeld vendu aux enchères

Un appartement de prestige situé au 17 quai Voltaire à Paris, ayant appartenu au couturier Karl Lagerfeld, a été mis aux enchères et a suscité l’intérêt des acheteurs. Mis à prix à 5,3 millions d’euros, ce bien immobilier de prestige Paris a finalement été cédé pour 10 millions d’euros, soit près de 38.500 euros le m², un prix deux fois plus élevé que la moyenne du quartier.

Une résidence emblématique de la créativité de Karl Lagerfeld

Cet appartement de 260 m², au troisième étage d’un immeuble du 17e siècle, a été le lieu de création emblématique de Karl Lagerfeld. Utilisé comme atelier de création, il a été le théâtre de ses créations iconiques, offrant un environnement propice à son inventivité avant-gardiste. Les notaires en charge de la vente ont souligné l’importance de ce bien immobilier de prestige Paris dans l’histoire du couturier.

Un design unique et avant-gardiste

Refait par le couturier lui-même, l’appartement (un bien immobilier de prestige Paris) se distingue par un style avant-gardiste, avec des panneaux en verre sablé et des linéaires de bibliothèque rétroéclairés dans la pièce principale de 120 m². L’espace nuit comprend une chambre aux cloisons amovibles, et le dressing, où Lagerfeld conservait ses collections de vêtements et sa bibliothèque personnelle, témoigne de sa passion pour la lecture et la mode.

Un héritage à acquérir

La vente de cet appartement n’est pas encore finalisée, les potentiels acheteurs intéressés par ce bien immobilier de prestige Paris disposent d’un délai de dix jours pour surenchérir de 10% sur le prix d’adjudication, s’ils souhaitent acquérir ce morceau d’histoire de la mode.

L’appartement de Karl Lagerfeld

Il a été vendu aux enchères pour 10 millions d’euros, marquant la fin d’un chapitre emblématique de l’histoire de la mode. Son style avant-gardiste et son héritage créatif ont séduit les acheteurs, faisant de cet appartement un lieu unique chargé d’histoire et de créativité. La vente de cet bien rappelle l’importance du couturier allemand dans le monde de la mode et de l’immobilier de prestige Paris.

Il retrouve son logement après une garde à vue malgré des locataires mauvais payeurs

Le propriétaire en garde à vue pour tentative de délogement de son locataire

Un propriétaire essaye depuis des semaines de déloger les locataires de son logement situé sur la Promenade des Anglais, à Nice. Ces derniers n’ont pas payé les 2050 euros de loyer dus. Le bailleur affirme avoir reçu deux chèques de seulement 200 et 400 euros, mais ceux-ci sont sans provision. De plus, les locataires ont changé la serrure. En conséquence, le propriétaire leur a demandé de quitter les lieux, ce qu’ils auraient accepté. Cependant, le jour prévu pour leur départ, la police intervient et trouve le propriétaire proférant des menaces contre les locataires. En conséquence, le bailleur est emmené en garde à vue pendant 48 heures avant d’être placé sous contrôle judiciaire en attendant son procès.

Intervention de Christian Estrosi pour résoudre le conflit

La semaine dernière, le propriétaire a abordé Christian Estrosi, maire de Nice, lors d’un de ses déplacements, et a sollicité son soutien. L’édile a promis d’examiner le dossier et a demandé à l’un de ses conseillers de servir de médiateur entre le propriétaire et les locataires. Une semaine plus tard, la mairie affirme que « l’affaire est réglée ». Grâce à la médiation orchestrée par la ville, les locataires ont restitué les clés à un huissier de justice et le propriétaire a récupéré son bien, précise l’entourage du maire.

Convocation devant la justice pour le propriétaire

Malgré le dénouement heureux de la situation, le propriétaire est toujours convoqué devant la justice le 25 juillet pour des « menaces de mort proférées contre le locataire ». Ces accusations peuvent lui valoir trois ans de prison et 45.000 euros d’amende, voire cinq ans de prison et 75.000 euros d’amende s’il a en plus donné un ordre au locataire. En effet, selon la loi, un propriétaire ne peut pas se faire justice lui-même, ce qui pourrait lui valoir jusqu’à trois ans de prison et 30.000 euros d’amende.

En conclusion, cette affaire illustre les conséquences potentiellement graves d’une tentative de délogement de locataires sans respecter la loi et les procédures légales. La médiation et l’intervention des autorités locales peuvent jouer un rôle crucial dans la résolution de conflits entre propriétaires et locataires, évitant ainsi des situations de confrontation et de violence. Ces événements soulignent également l’importance pour les bailleurs de connaître et de respecter les droits et devoirs de chaque partie pour éviter des problèmes juridiques et des sanctions.

Quels sont les risques encourus si vous ne déclarez pas votre piscine ?

Lutte contre la fraude fiscale dans l’immobilier : focus sur les piscines non déclarées

En 2023, l’administration fiscale a détecté 140 000 piscines non déclarées grâce à l’intelligence artificielle. Mais ce n’est pas tout : elle envisage également de s’attaquer aux « bâtiments non déclarés » tels que les vérandas ou les abris de jardin. Ces constructions supplémentaires entraînent une augmentation de la valeur locative servant de base pour calculer la taxe foncière et la taxe d’habitation.

Les piscines soumises à taxation

Toutes les piscines non déclarées de plus de 10 m², qu’elles soient enterrées ou hors-sol et impossibles à déplacer sans être démolies, sont concernées par la réglementation. Si vous en possédez une, vous devez vous acquitter d’une taxe d’aménagement dans les 90 jours suivant la délivrance du permis de construire, à l’aide d’un formulaire spécifique. Le montant de la taxe est calculé sur une base forfaitaire de 200 euros par m², auquel s’ajoutent des taux communaux et départementaux.

Grâce à un simulateur mis à disposition par le gouvernement, vous pouvez estimer le montant des impôts dus pour la construction d’une piscine privée.

Sanctions en cas de non-conformité

Si vous omettez de déclarer votre piscine à l’administration fiscale, de demander un permis de construire à la mairie, de construire une piscine plus grande que prévue, ou malgré un refus municipal, vous vous exposez à des sanctions sévères. L’amende peut s’élever entre 1200 euros et un montant maximum de 6000 euros par m² dans le cas d’une construction non autorisée, et jusqu’à 300 000 euros dans d’autres cas, selon l’article L480-4 du code de l’urbanisme. En cas de récidive de construction de piscines non déclarées, une peine de six mois de prison peut également être prononcée.

Il est important de noter que le délai de prescription est de six ans, mais la responsabilité civile peut être engagée jusqu’à dix ans après la construction. Cela signifie que même après six ans, vous pouvez être contraint de détruire la piscine à vos frais.

En conclusion, il est essentiel de respecter les obligations déclaratives et réglementaires en matière de construction immobilière dont les piscines non déclarées pour éviter des sanctions financières et pénales. La lutte contre la fraude fiscale dans le secteur de l’immobilier reste un enjeu majeur pour les autorités fiscales.