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Maison conçue par l’artiste Jean Marais à vendre

La bastide de Jean Marais : un joyau caché dans l’arrière-pays niçois

La bastide de plus de 500 mètres carrés située dans l’arrière-pays niçois, nichée dans un jardin paysager de 15.000 m², a appartenu à un grand nom du cinéma français qui n’est autre que l’acteur Jean Marais. Ce dernier a séjourné dans la propriété pendant 16 ans, dont quelques temps avec Jean Cocteau.

Dans les années 50, Jean Marais a fait l’acquisition d’un terrain à Cabris (06) sur lequel il a fait ériger cette propriété par un architecte parisien. Le panorama exceptionnel du site avec sa vue sur mer a séduit l’acteur. Frédéric Barth, chargé de la vente pour Côte d’Azur Sotheby’s International Realty, auprès du Figaro, souligne que l’acteur « n’a pas apposé sa patte artistique sur la maison elle-même ni laissé d’éléments de mobilier particulier ou d’élément de décoration. Toutefois, il est tombé amoureux de l’endroit et a supervisé et validé les plans ».

Une propriété remplie d’histoire

La bastide abrite une photo mythique de Jean Marais en train de plonger dans la piscine, longtemps affichée dans l’entrée du musée Jean Cocteau à Menton. Il existe également une autre photo où il pose devant la piscine, arborant un tee-shirt blanc. L’espace extérieur comporte effectivement une superbe piscine au sel dont le revêtement en pierre de rivière importée de Corse est extrêmement rare. Il offre aussi un salon extérieur et une cuisine d’été avec bar et barbecue et de vastes terrasses extérieures ainsi qu’un jacuzzi. Un jardin luxuriant s’étend également sur environ 1,5 hectare. Une maison d’invité équipée d’une cuisine complète, d’un salon avec cheminée et bar et de 3 chambres spacieuses complète le bien. Pour assurer la sécurité des lieux, la propriété est également dotée d’un pavillon de gardien.

Un prix typique de l’arrière-pays niçois

L’acteur a ainsi contribué à la renommée de la Côte d’Azur, vue comme un lieu prisé par les stars. Frédéric Barth rappelle que le bien a été entièrement rénové en 2001 et est composé de 10 pièces dont 7 chambres. Il est actuellement en vente pour la somme de 13 700 000 euros. Le prix, bien que élevé, correspond à la valeur typique de l’arrière-pays niçois. La propriété offre une vue entièrement dégagée jusqu’à la mer, une oliveraie assez importante (300 oliviers) et un environnement privilégié. « Les prix dans l’arrière-pays sont importants, en bord de mer on serait à 20 millions d’euros, voire plus », justifie Frédéric Barth.

Une autre villa de Jean Marais était à vendre en 2019 à Marnes-la-Coquette (92) pour une somme beaucoup plus réduite: 4,05 millions d’euros. La propriété comportait également 7 chambres, une piscine et une maison de gardien.

La bastide de Jean Marais est un véritable joyau caché dans l’arrière-pays niçois, marquée par l’histoire du cinéma français et offrant un environnement de vie exceptionnel.

La bastide de Jean Marais: Une icône historique dans l’arrière-pays niçois

Découvrez la bastide de Jean Marais, une propriété emblématique située dans l’arrière-pays niçois et chargée d’histoire. Cette magnifique bastide, d’une surface de plus de 500 mètres carrés, est nichée dans un vaste jardin paysager de 15 000 m², offrant un cadre enchanteur à ses futurs propriétaires.

Une propriété attachée à un grand nom du cinéma français

Cette bastide a appartenu à l’illustre acteur Jean Marais, qui a séjourné dans la propriété pendant 16 ans, partageant parfois ce lieu avec Jean Cocteau. Dans les années 50, Jean Marais a fait l’acquisition d’un terrain à Cabris (06) sur lequel il a fait ériger cette propriété par un architecte parisien. Le site exceptionnel avec sa vue imprenable sur la mer a conquis le cœur de l’acteur, qui a supervisé et validé les plans de la bastide sans pour autant y apposer sa patte artistique. Malgré l’absence de sa propre décoration, l’histoire de Jean Marais demeure présente dans les photographies mythiques qui ornent l’entrée du musée Jean Cocteau à Menton.

Une propriété empreinte d’élégance et de caractère

La bastide offre un espace extérieur somptueux, comprenant une piscine au sel à la rareté exceptionnelle avec son revêtement en pierre de rivière importée de Corse. Un salon extérieur, une cuisine d’été avec bar et barbecue, de vastes terrasses extérieures, un jacuzzi et un jardin luxuriant de 1,5 hectare complètent ce cadre idyllique. De plus, une maison d’invité équipée d’une cuisine complète, d’un salon avec cheminée et bar et de 3 chambres spacieuses ainsi qu’un pavillon de gardien garantissant la sécurité des lieux sont également présents sur la propriété. La bastide est un véritable refuge de caractère, imprégnée de l’histoire de son illustre propriétaire.

Le prix d’un havre de paix en arrière-pays niçois

La bastide, entièrement rénovée en 2001, est composée de 10 pièces, dont 7 chambres, et est actuellement mise en vente pour la somme de 13 700 000 euros. Ce prix, bien que conséquent, est en adéquation avec la valeur typique des biens situés dans l’arrière-pays niçois. La propriété offre une vue imprenable jusqu’à la mer, une oliveraie abondante avec 300 oliviers et un environnement privilégié, justifiant ainsi son prix. L’arrière-pays niçois est un lieu prisé, les stars ne s’y sont pas trompées, comme en témoigne également la vente d’une autre villa de Jean Marais à Marnes-la-Coquette (92) pour 4,05 millions d’euros en 2019.

La bastide de Jean Marais incarne à merveille l’élégance et le prestige de l’arrière-pays niçois, offrant une expérience de vie unique et exceptionnelle.

MaPrimeRénov ne sera pas efficace pour les artisans s’il n’y a pas de changements.

Une refonte de MaPrimeRénov’ en 2024 : les artisans en appellent à la flexibilité

La Confédération de l’artisanat et des petites entreprises du bâtiment (CAPEB) a récemment exprimé son inquiétude concernant la nouvelle version de MaPrimeRénov’, dont l’entrée en vigueur est prévue pour le 1er janvier 2024. Bien que la rallonge budgétaire de près de 2 milliards d’euros soit saluée, les artisans estiment que la massification des projets de rénovation thermique restera hors de portée si des ajustements ne sont pas apportés.

La diminution du nombre d’entreprises disposant du label RGE (Reconnu Garant de l’Environnement) est une source de préoccupation majeure. Moins de 10% des professionnels possèdent actuellement ce label, rendant difficile la sélection d’entreprises qualifiées pour répondre à la demande croissante. Cette complexité croissante a conduit à une baisse du nombre d’entreprises détenant le précieux label RGE, compromettant ainsi la capacité du secteur à répondre à la demande attendue.

La lutte contre la fraude et les propositions des artisans

Le label RGE, largement utilisé comme critère de qualification pour accéder aux subventions, n’a pas réussi à éliminer efficacement la fraude. Par conséquent, les artisans préconisent le remplacement de cette qualification par un certificat de conformité – Rénovation Energétique, conçu pour garantir la qualité des travaux entrepris. De plus, afin de faciliter le financement des travaux, les artisans appellent à la création d’un Prêt Garanti par l’Etat (PGE) vert. Ils souhaitent également que ce processus soit simplifié, par opposition aux formalités actuellement requises pour l’obtention d’un éco-PTZ.

Les artisans reconnaissent toutefois que la tendance à privilégier des rénovations globales peut laisser de côté de nombreux ménages incapables de financer des projets aussi ambitieux. Ils proposent donc un « parcours travaux » échelonné sur 3 à 5 ans, offrant des aides accrues au fur et à mesure de l’avancement des travaux. Bien que cette solution rende la rénovation plus accessible, elle s’accompagne de coûts supplémentaires.

La question des passoires énergétiques

Les artisans critiquent également la focalisation sur un seul type d’équipement de chauffage (la pompe à chaleur) et une seule source d’énergie (l’électricité) dans le cadre du programme MaPrimeRénov’. Ils souhaitent une plus grande flexibilité pour pouvoir remplacer des chaudières efficaces de moins de 10 ans, au lieu de se voir imposer systématiquement une pompe à chaleur. La CAPEB souligne le manque d’engagement du gouvernement sur tous ces aspects, malgré quelques avancées notables, telles que la prolongation de 6 mois des subventions pour les propriétaires de passoires thermiques classées F ou G.

Une lueur d’espoir

Malgré les défis persistants, un sursis accordé aux propriétaires de passoires thermiques laisse entrevoir une réelle possibilité d’amélioration. L’Agence nationale de l’habitat (Anah) a récemment prolongé la période de bénéfice des subventions pour les propriétaires de passoires thermiques, dans l’attente de rénovations plus globales. Cette décision temporaire offre un répit aux propriétaires, leur permettant de se concentrer sur des travaux spécifiques, tels que le remplacement du système de chauffage, avant la mise en place de nouvelles directives.

Les ajustements nécessaires à la refonte de MaPrimeRénov’

Ils sont cruciaux pour garantir son efficacité et sa pertinence. Les artisans appellent à une approche plus flexible, axée sur la simplification des processus d’attribution de subventions, la reconnaissance des qualifications alternatives et la prise en compte des réalités financières des ménages. En adoptant une approche plus pragmatique, il est possible de répondre efficacement à la demande de rénovation thermique tout en minimisant les obstacles liés à la complexité des réglementations actuelles.

L’opinion des français sur la baisse des prix immobiliers en 2024 est sceptique.

La perception des prix immobiliers en France en 2024

La flambée du coût du crédit a coupé les ailes des acheteurs, et plombé le marché immobilier. Cependant, malgré cette situation, les ménages voient toujours la pierre comme une valeur refuge. Une grande partie d’entre eux a du mal à imaginer que les prix puissent baisser. Selon une étude de la BPCE, qui s’appuie sur un échantillon représentatif de la population française de 2050 personnes, 24% des personnes interrogées pensent même que les prix vont augmenter modérément en 2024 et 14% qu’ils vont fortement augmenter sur les 12 prochains mois. Seuls 22% pensent qu’ils vont baisser modérément et 3% qu’ils vont fortement baisser. Ceux qui se portent acquéreurs sont encore plus pessimistes: 26% d’entre eux estiment que les prix vont modérément augmenter. Ces résultats ont de quoi surprendre.

Le comportement psychosociologique des acheteurs et des vendeurs ralentit la baisse des prix

Alain Tourdjman, directeur des études et prospective du groupe bancaire français BPCE, souligne que « la mémoire économique des Français est têtue. Ils ont connu des hausses de prix continues depuis 20 ans. Il est difficile pour eux d’imaginer une baisse. Il existe une persistance rétinienne d’une hausse des prix dans l’opinion ». Ce comportement psychosociologique des acheteurs et des vendeurs ralentit la baisse des prix.

Une baisse des prix moins prononcée en 2023

L’année 2023 n’a pas vu les prix baisser en flèche. Pas suffisamment en tout cas pour compenser l’envolée des taux de crédit. Selon la Fédération nationale de l’immobilier (Fnaim), les prix n’ont reculé que de 0,7% depuis le début de l’année. Cependant, certains réseaux estiment que ce chiffre aurait pu descendre à -3% ou à -5% en 2023. Alain Tourdjman commente qu’ »on constate un ajustement sur les volumes et les quantités d’abord et sur les prix plus tard ».

Prévisions de baisse plus importante en 2024

Les prix devraient fléchir plus fortement en 2024 entre -8 et -9% environ, selon la BPCE. « Les vendeurs vont être obligés de lâcher du lest et de baisser les prix. Une baisse qui va peu à peu infuser dans le système mais actuellement, on est dans une période très typique de ralentissement du marché », indique Alain Tourdjman. Certains acheteurs anticipent une baisse des prix, ce qui induit une baisse progressive des prix.

Un attentisme qui impacte le marché immobilier

Ce comportement d’attentisme est également observé du côté des vendeurs, explique le réseau immobilier L’Adresse. « Le fait que les taux dépassent les 4 % cet été a accentué le ralentissement du marché que nous percevions depuis le début de l’année 2023, renforçant encore l’attentisme coté acheteurs, sans pour autant que les vendeurs n’acceptent davantage de baisses des prix. Les grandes villes où les prix sont les plus élevés ont été les plus pénalisées alors que le marché s’est relativement maintenu dans certaines villes moyennes, permettant encore une rotation des biens », analyse Brice Cardi, président du réseau l’Adresse.

Perspectives pour la fin de l’année 2024

Brice Cardi prévoit que la baisse des prix au premier semestre 2024 pourrait prendre fin avant la fin de l’année 2024, en cas de diminution des taux de crédit et d’une potentielle reprise du marché. « Au premier semestre 2024, la baisse pourrait atteindre 5 % car les vendeurs ont désormais conscience de la nécessité d’ajuster leur prix sur le budget des acheteurs s’ils veulent vendre. Certains propriétaires qui, à la base n’étaient «pas pressés», ont mis leur bien en vente depuis plus d’un an, ils ne vont plus avoir d’autre choix que de baisser leur prix. Pour autant, une chose est sûre: les biens «cœur de cible» sur leur marché, comme par exemple, des maisons de qualité et à moins de 500.000 €, ne subiront pas de baisse car l’offre reste limitée et la demande forte. Et si les taux rebaissent légèrement en 2024, certains acheteurs reviendront », projette Brice Cardi.

La perception des prix immobiliers en France pour l’année 2024

Elle est marquée par une divergence d’opinions. Alors que certains anticipent une baisse des prix, une grande partie des Français a du mal à envisager une telle situation. Cette perception impacte le comportement des acheteurs et des vendeurs, ralentissant ainsi la baisse des prix. Néanmoins, les prévisions indiquent une baisse plus importante des prix en 2024, avec des perspectives de reprise à la fin de l’année. La situation du marché immobilier est donc à suivre avec attention dans les mois à venir.

Un village olympique historique des Jeux olympiques d’hiver de Grenoble est mis en vente

Devenez propriétaire d’une partie du village des athlètes des JO d’hiver de Grenoble 1968

À quelques mois des Jeux Olympiques de Paris 2024, une opportunité unique se présente : devenir propriétaire d’une partie du village des athlètes des Jeux Olympiques d’hiver de Grenoble (38) de 1968. L’État organise une cession par appel d’offres du site de l’ancien village olympique, offrant aux investisseurs la possibilité de donner une nouvelle vie à ce quartier emblématique.

Un village historique

Le village des athlètes avait été spécialement créé pour accueillir les sportifs participant aux Jeux Olympiques d’hiver de Grenoble. Par la suite, il a été transformé en résidences universitaires, marquant ainsi l’histoire de la ville. Plus de 50 ans plus tard, les bâtiments portant le nom de différentes nations participantes, tels que la Suisse, l’Autriche et le Canada, sont à la recherche de preneurs. Les 7 résidences étudiantes et la cafétéria, totalisant une surface de plus de 9000 m², sont actuellement désaffectées et murées. Chaque résidence est composée de 5 à 6 niveaux avec 16 logements de 9 m² par niveau, ainsi que des espaces communs tels que des cuisines, des sanitaires et des douches communes. De plus, les bâtiments sont délabrés et deux d’entre eux ont été incendiés.

Des possibilités de réaménagement

Le site est situé en zone constructible, offrant la possibilité de réaménager les bâtiments en logements ou en bureaux, par exemple. Les candidats ont jusqu’au 5 mars 2024 midi pour soumettre leur offre. Aucun prix n’est précisé, laissant ainsi la possibilité à l’acquéreur de proposer une offre. Le bien sera alors vendu au candidat présentant la meilleure offre, comme le rappelle Ouest-France, qui a repéré l’annonce.

Le devenir du village des athlètes à Paris

Quid du village des athlètes à Paris après les Jeux Olympiques? Le comité d’organisation a prévu de le transformer en un nouveau quartier de Seine-Saint-Denis (93). Le village a été pensé comme réversible, avec un changement d’usage du site ayant été anticipé. Les cloisons des chambres d’athlètes seront notamment démontables. À terme, le village olympique et paralympique accueillera des logements, dans le cadre d’un projet prévoyant d’accueillir 6000 nouveaux habitants et 6000 salariés.

L’opportunité de devenir propriétaire d’une partie du village historique des athlètes des JO d’hiver de 1968 représente une occasion unique de contribuer à la préservation de l’histoire olympique tout en envisageant de nouveaux projets de réaménagement pour ces bâtiments chargés d’histoire.

Louez cette villa de luxe dans le Sud et profitez de son parc de loisirs exceptionnel

Villa de luxe à louer à Aix-en-Provence : un paradis pour les vacanciers actifs

Si vous préférez la douceur du climat méditerranéen à la rigueur des hivers enneigés et si les vacances actives et sportives sont plus votre style que les séjours en mode cocooning, cette villa à louer dans la région d’Aix-en-Provence pourrait être faite pour vous. Proposée à la location via le réseau immobilier de luxe Sotheby’s international realty, cette magnifique propriété offre des tarifs allant de 16.500 à 30.000 euros. Le prix peut sembler élevé, mais les prestations exceptionnelles qu’elle propose en valent largement la peine.

Une villa spacieuse et raffinée

Avec ses 660 m² habitables, cet ensemble peut accueillir dans le plus grand confort jusqu’à 18 personnes, grâce à ses 5 chambres installées dans une bastide et 4 autres dans la maison d’invités. Mais ici, au-delà du raffinement du lieu, ce que l’on vient chercher, c’est la possibilité de rassembler une vaste tablée familiale ou d’amis non loin de la piscine avant d’envisager quelques activités de sport et de loisirs. Doté d’un relief vallonné non loin de la montagne Sainte-Victoire, ce secteur viticole est un endroit parfait pour les cyclistes, tandis que les amateurs d’autres activités auront l’embarras du choix sur les 3 hectares de terrain de la propriété, entre cyprès, pins, oliviers et lavande.

Un paradis pour les amateurs de sport et de loisirs

La villa offre une piscine chauffée de 14 m x 7 m, un sauna, un lieu dédié à la pratique du yoga, et la possibilité de disposer d’un coach sportif, professeur de yoga ou de prestations de massage. De plus, les équipements de loisirs incluent un trampoline, une table de ping-pong et un terrain de pétanque. Parmi les équipements exceptionnels de la propriété, on trouve même un totem d’escalade de 15 mètres de haut, une rareté en Europe, ainsi qu’un parcours accrobranches avec tout le matériel de sécurité nécessaire.

Pour les enfants, une cabane dans les arbres spacieuse et confortable pouvant accueillir jusqu’à 4 personnes est également disponible, ainsi qu’une aire de jeux. Enfin, les amateurs de tennis pourront profiter du court en terre battue synthétique, suivi d’une détente sur la terrasse équipée d’un espace lounge et d’un espace repas.

Ce qu’il faut retenir

Cette villa de luxe à Aix-en-Provence offre un séjour d’exception pour les vacanciers actifs, à la recherche de confort, de raffinement, et de nombreuses possibilités d’activités sportives et de loisirs. Bien que le tarif de location soit élevé, les prestations exceptionnelles et les équipements de haute qualité font de cette propriété un véritable havre de paix pour les amoureux de vacances actives.

Il a transformé une piscine à l’abandon en une maison de 142 m² avec succès

« Construire une maison sur une piscine : le défi fou relevé par un promoteur »

William Frobert, promoteur chez Renovalto, a relevé le défi fou de construire une maison sur une piscine à l’abandon, un projet qui semblait délirant de prime abord. Le commanditaire reconnaît lui-même que ce n’était pas évident de faire une maison sur une piscine couverte qui était à l’abandon depuis 15 ans, pourrie, dont il ne restait plus que les murs. Cependant, le souvenir de son père avec qui il avait construit cette piscine en 1986 l’a convaincu de garder les murs en place.

Le chantier, lancé en décembre 2020, a été achevé en avril 2023, après plus de deux ans de travaux. Située au pied du Puy de Dôme, en Auvergne, la maison de 142 m² a été construite en lieu et place de la piscine, au cœur d’un site naturel remarquable. En traversant la cuisine, on se trouve en fait « dans » l’ancien équipement sportif. Pour réussir ce tour de force, le promoteur a fait déboucher la piscine, ne conservant que les murs de 30 centimètres, qu’il a renforcés et surélevés de 40 centimètres.

Un DPE A

Ainsi, le client a pu garder ce lieu qui lui est cher, en mémoire de son père, même s’il a été transformé. La piscine en ruine a donné vie à une maison à ossature bois, avec un grand débord de toit, et un préau ouvert bardé avec du mélèze. De plus, la maison est parfaitement isolée, avec un Diagnostic de Performance Energétique classé A. Les murs de la piscine, en parpaings et en polystyrène, étaient en effet très bien isolés, explique William Frobert. Cette belle prouesse environnementale a permis de passer d’une piscine utilisée uniquement le week-end et chauffée au fioul, en plein parc des Volcans d’Auvergne classé UNESCO à 1000 mètres d’altitude, à une maison verte alliant confort thermique et respect de l’environnement.

Le projet a coûté un peu plus de 285.000 euros HT, le marché n’étant pas tendu en Auvergne. Même si la rénovation coûte plus cher que l’achat d’un logement neuf, il a néanmoins reçu la médaille d’argent dans la catégorie « Rénovation de l’habitat existant » lors d’un concours récent organisé par le Pôle Habitat FFB.

La transformation de la piscine en une maison durable

La transformation de la piscine en ruine en une maison à ossature bois a été un défi majeur pour William Frobert. L’objectif était de créer une maison durable, respectueuse de l’environnement tout en conservant le souvenir de la piscine existante. Le promoteur a ainsi entrepris un chantier de plus de deux ans pour donner une nouvelle vie à cet espace abandonné.

La conservation des murs de la piscine

L’un des principaux défis du projet était de conserver les murs de la piscine existante tout en les transformant en une maison fonctionnelle et moderne. Les murs de 30 centimètres ont été conservés, renforcés et surélevés de 40 centimètres pour créer les bases de la nouvelle structure. Cette approche a permis de préserver l’empreinte du passé tout en offrant un nouveau lieu de vie à son propriétaire.

Un projet respectueux de l’environnement

La maison issue de la transformation de la piscine a également été conçue dans une optique environnementale. Grâce à une isolation efficace et un système de chauffage optimal, la maison a obtenu un Diagnostic de Performance Energétique classé A, ce qui en fait une structure verte et éco-responsable. Ce projet démontre qu’il est possible de transformer un espace autrefois utilisé uniquement pour les loisirs en un habitat respectueux de l’environnement.

Reconnaissance et récompenses

La transformation de la piscine en une maison durable a été saluée par les professionnels du secteur. Le projet a reçu la médaille d’argent dans la catégorie « Rénovation de l’habitat existant » lors d’un concours récent organisé par le Pôle Habitat FFB. Cette reconnaissance met en lumière l’ingéniosité et le talent du promoteur ainsi que l’importance de la conservation de l’existant dans la construction durable.

La transformation d’une piscine en ruine en une maison durable

Ceci représente un bel exemple d’innovation et de créativité dans le domaine de l’immobilier. Ce projet montre qu’il est possible de repenser et de réutiliser des espaces abandonnés pour créer des habitats modernes et respectueux de l’environnement. La médaille d’argent reçue lors d’un concours récent souligne l’importance de la préservation de l’existant dans la construction durable.

Réactions suite à la remise d’un prestigieux prix international d’urbanisme à Anne Hidalgo

Anne Hidalgo, maire de Paris, honorée par l’Urban Land Institute (ULI) 2023 pour ses contributions au développement urbain

La maire de Paris, Anne Hidalgo, déjà reconnue comme l’une des urbanistes les plus influentes au monde, vient de recevoir le Prix international Urban Land Institute (ULI) 2023 pour les Visionnaires du développement urbain. Cette prestigieuse récompense est accompagnée d’un chèque de 100 000 dollars, soit environ 91 000 euros, que la maire a décidé de donner à une association qui vient en aide aux personnes vulnérables.

Selon Diane Hoskins, la présidente de l’ULI, la vision d’Anne Hidalgo de la ville du quart d’heure, qui se caractérise par une plus grande mobilité, une meilleure qualité de l’air, des espaces publics nombreux et des logements à des loyers accessibles à tous, est une source d’enseignement et d’inspiration pour l’ULI et ses membres. Cette vision vise à faire progresser l’objectif d’une ville inclusive, résiliente et durable. Anne Hidalgo est ainsi devenue le quatrième maire au monde à recevoir cette prestigieuse distinction.

Réactions partagées et controverse autour de la récompense

Malgré cette reconnaissance internationale, la récompense d’Anne Hidalgo a suscité des réactions mitigées voire controversées. Sur Twitter, certains se sont interrogés sur l’objectivité et la pertinence du choix d’Anne Hidalgo, en critiquant ouvertement sa gestion de Paris. Ces réactions font écho à un certain scepticisme quant à l’impact réel des politiques urbaines menées par la maire.

«Services rendus aux promoteurs»

Un membre du groupe Changer Paris, représentant l’opposition politique, a exprimé son incrédulité face à cette récompense. Il a remis en question le processus de sélection du prix et a évoqué un possible parti pris du jury. Selon lui, la composition du jury français du prix ULI comprend des partenaires d’Anne Hidalgo ainsi que des acteurs bénéficiant d’opérations immobilières à Paris, ce qui remet en cause l’objectivité et l’équité du processus de nomination.

Cependant, du côté des professionnels de l’immobilier, les réactions sont majoritairement positives. Certains soulignent l’engagement concret d’Anne Hidalgo et de la mairie de Paris en faveur de politiques urbaines ambitieuses, notamment dans le domaine du développement durable et de la lutte contre les enjeux climatiques.

Reconnaissance des professionnels de l’urbanisme et de l’architecture

Christine Leconte, présidente du Conseil national de l’Ordre des architectes, a salué la distinction décernée à Anne Hidalgo, soulignant l’engagement de la mairie de Paris dans des politiques urbaines bioclimatiques ambitieuses. Elle a également cité des exemples concrets de réalisations, telles que la transformation des cours de récréation des écoles et collèges parisiens en espaces plus végétalisés, visant à créer des îlots de fraîcheur et à s’adapter aux canicules.

Quant au président de l’Union Nationale des Aménageurs, François Rieussec, il a souligné que cette récompense met en lumière l’importance de poursuivre les projets d’urbanisme vertueux en dépit des critiques, car ils contribuent à améliorer les conditions de vie et à apporter des solutions à la crise climatique et environnementale.

Vision à long terme pour une ville inclusive et résiliente

Cependant, la vision de la ville du quart d’heure promue par Anne Hidalgo va au-delà des considérations environnementales. Elle préconise une approche holistique de l’urbanisme, visant à renforcer la mobilité, la qualité de l’air, la mixité sociale, et à offrir des logements accessibles à tous. Cette vision s’inscrit dans une perspective à long terme, en tenant compte des enjeux démographiques, économiques et environnementaux auxquels les grandes métropoles comme Paris sont confrontées.

Une stratégie adaptée aux besoins de la population

Bien que Paris ait connu une diminution de sa population au cours des dernières années, Anne Hidalgo est déterminée à poursuivre la construction de logements, en s’adaptant aux besoins des habitants. Selon François Rieussec, il est crucial de poursuivre les projets d’urbanisme afin d’améliorer les conditions de vie et de répondre aux défis de la crise climatique. Il souligne également que les populations des grandes métropoles sont de plus en plus installées en périphérie, ce qui nécessite une adaptation des politiques urbaines pour répondre à cette réalité.

Conclusion

La distinction décernée à Anne Hidalgo par l’Urban Land Institute (ULI) souligne à la fois la reconnaissance de ses efforts pour une ville plus inclusive, résiliente et durable, mais aussi le débat et les divergences d’opinions sur son approche urbaine. Au-delà de la controverse, cette récompense met en lumière l’importance des politiques urbaines ambitieuses et l’engagement des acteurs locaux dans la transformation des grandes métropoles pour relever les défis du XXIe siècle.

La taxe foncière augmentera au moins de 3,9% en 2024

La taxe foncière augmentera d’au moins 3,9% en 2024

La taxe foncière est un impôt local qui impacte 32 millions de contribuables. Contrairement à certaines attentes, cet impôt local ne fait qu’augmenter. En effet, après une envolée de plus de 7% en 2023, la taxe foncière va grimper d’au moins 3,9% en 2024. Cette augmentation est le résultat d’une série de facteurs, notamment les valeurs locatives indexées sur l’indice des prix à la consommation harmonisé (IPCH), publié par l’Insee.

L’impact des valeurs locatives sur la taxe foncière

Les valeurs locatives servent de base au calcul de la taxe foncière. Il s’agit du loyer annuel théorique qui aurait été payé si le logement avait été loué. Depuis 2018, ces valeurs locatives sont indexées sur l’indice des prix à la consommation harmonisé sur une période d’un an, entre novembre de l’année précédente et celui de l’année N-2. Avec une augmentation de 3,9% de l’IPCH, la taxe foncière augmentera d’autant en 2024.

De plus, chaque maire a la possibilité d’appliquer sa propre hausse en fonction du taux communal. En 2023, certains maires comme Anne Hidalgo ont appliqué une augmentation spectaculaire de la taxe foncière, ce qui a entraîné la colère des contribuables. Au total, 35 des 200 plus grandes villes, soit 17,5% des communes, ont enregistré une hausse moyenne de 3,2 points du taux communal. Cette tendance est en nette augmentation par rapport à l’année précédente.

Les effets sur les contribuables

La hausse de la taxe foncière a un impact significatif sur les contribuables. En effet, malgré une hausse limitée imposée sur les loyers, les propriétaires subissent de plein fouet la hausse de la taxe foncière. En conséquence, de nombreux propriétaires sont en colère face à cette situation.

La responsabilité partagée

Cette hausse de la taxe foncière a été source de tensions entre le gouvernement et les maires. Le gouvernement a même accusé les maires d’être les seuls responsables de cette augmentation. Cependant, il est important de noter que le gouvernement aurait également dû soutenir l’amendement visant à plafonner la hausse de la taxe foncière. En réalité, la situation est le résultat d’une série de facteurs et la responsabilité est partagée entre le gouvernement et les maires.

la hausse de la taxe foncière

C’est une réalité que les propriétaires doivent affronter en 2024. Avec une augmentation prévue d’au moins 3,9%, cette tendance soulève des préoccupations légitimes parmi les contribuables. En fin de compte, il est essentiel que les autorités compétentes prennent des mesures pour pallier cette situation et trouver des solutions efficaces pour alléger le fardeau fiscal pesant sur les propriétaires.

Aidez-nous à financer ce château en quelques heures grâce aux internautes

Le Château de Fontenay dans la Sarthe : un projet de crowdfunding pour sa rénovation

Le président de la plateforme d’investissement locatif Bevouac, Martin Menez, a pour ambition de rénover le Château de Fontenay en faisant appel au financement participatif. Situé à moins de 1h30 de Paris, ce domaine du 13e-14e siècle doté d’un parc, d’une rivière, d’une prairie, d’un bois et d’un moulin à eau offre actuellement une capacité d’accueil de 200 convives et 40 couchages, avec la possibilité d’augmenter ce nombre grâce à des cabanes et des tentes de luxe. La société Sarthe Society, en charge du projet, vise à collecter 690.000 euros pour boucler le budget de rénovation.

Le crowdfunding : un moyen de financement innovant pour la rénovation du Château de Fontenay

La Sarthe Society a opté pour le crowdfunding afin de lever les fonds nécessaires à la rénovation du château. Les investisseurs, à partir de 10 euros, recevront des obligations leur rapportant 7% d’intérêts annuels avant restitution du capital investi au bout de 5 ans. En outre, en fonction du montant investi, ils bénéficieront de divers privilèges pour l’accès au château ou pour laisser leur trace dans le monument. L’opération est garantie par une hypothèque sur le château, limitant ainsi le risque pour les investisseurs.

L’engouement pour le projet de rénovation du Château de Fontenay

Martin Menez se montre confiant quant à la rapidité de collecte des fonds, indiquant que des pré-commandes ont déjà permis de couvrir 55% du montant en seulement quelques heures avant l’ouverture au grand public. Plus de 1000 particuliers avaient déjà participé, avec un investissement médian de 3000 euros. Il cite également l’exemple d’une opération similaire pour le château de Tony Parker, qui a collecté 1 million d’euros en moins d’une heure.

Le renforcement de la communauté et des compétences pour mener à bien le projet

Au-delà de la somme collectée, le projet de crowdfunding vise à créer une communauté motivée par le projet, avec des ambassadeurs et des vecteurs de bouche-à-oreille. La société a ouvert son capital pour compter 33 co-actionnaires, parmi lesquels des personnalités influentes dans les domaines de l’hôtellerie, du tourime, des châteaux, des séminaires et du vin. Ces co-actionnaires apporteront leurs compétences et leurs réseaux pour aider à la réussite du projet.

La rénovation du Château de Fontenay

Ceci représente un défi qui a su attirer l’attention de nombreux investisseurs, curieux de participer à la restauration de ce monument historique. Grâce au crowdfunding, ce projet ambitieux bénéficie du soutien financier de la communauté, ainsi que de l’expertise de nombreux co-actionnaires, afin de préserver et valoriser ce patrimoine historique pour les générations futures.

Ils doivent revendre leur villa gagnée à une loterie en raison des charges financières écrasantes

Un américain gagne à la loterie et dépense 70 millions d’euros dans l’immobilier

Les défis insoupçonnés de posséder une villa gagnée à la loterie

Gagner une villa à la loterie est un rêve pour beaucoup de personnes. Cependant, les heureux gagnants oublient souvent l’entretien nécessaire pour gérer une propriété de ce genre. En effet, la plupart des gagnants des maisons Omaze, une entreprise de collecte de fonds pour des œuvres caritatives, se séparent de la maison qu’ils ont gagnée moins d’un an après avoir remporté le gros lot. Même s’ils ont également reçu 100 000 livres sterling (environ 116 000 euros) pour l’entretien de ces vastes propriétés, cette somme ne couvre que les frais pour une année. Cela aurait dû mettre en garde les gagnants sur les défis financiers et logistiques auxquels ils seraient confrontés.

Les coûts d’entretien des immenses propriétés gagnées peuvent vite devenir astronomiques, en particulier les factures d’électricité qui peuvent atteindre des sommets en raison de la taille des biens. Pour des personnes habituées à vivre dans des maisons normales avec des dépenses mensuelles d’électricité relativement basses, recevoir une facture de 20 000 à 30 000 livres sterling peut être un choc financier majeur. Malheureusement, ces défis financiers insurmontables mènent de nombreux gagnants à se séparer de leur bien immobilier gagné à la loterie.

La nécessité constante d’entretien

Les maisons gagnées lors des tirages au sort Omaze sont équipées de systèmes de sécurité surveillés, de chauffage au sol et de climatisation, nécessitant un entretien annuel rigoureux. Sur les 14 propriétés remportées à ce jour, seules trois sont encore habitées par les gagnants originaux, tandis qu’une autre est louée sur Airbnb. Les dix autres propriétés ont déjà été vendues. En effet, de nombreux gagnants ont rapidement réalisé que les coûts d’entretien et d’exploitation de ces propriétés étaient bien au-delà de leurs moyens.

Uttam, par exemple, s’est séparé de son manoir de Cornouailles seulement huit semaines après avoir gagné le gros lot. Il a affirmé ne pas avoir les moyens d’assurer l’entretien de la propriété. Il a expliqué que s’il avait pu se le permettre, il aurait choisi de garder le manoir, car il était beau. Cependant, ses ressources limitées l’ont contraint à chercher un terrain ou une propriété plus petite.

Les défis de propriété immobilière

La plupart des gagnants sont confrontés à des décisions difficiles sur la façon de gérer la propriété qu’ils ont gagnée. Certains, comme Kevin, un ouvrier du bâtiment, ont choisi de ne pas vendre leur maison. Au lieu de cela, ils ont décidé de vivre dans la maison, de la louer pour un revenu supplémentaire, ou de la vendre pour obtenir un gros chèque qui pourrait changer leur vie. Les coûts estimés pour chaque maison sont disponibles pour que les participants puissent les consulter sur le site Web d’Omaze. Ainsi, les gagnants ont la liberté de décider ce qu’ils veulent faire de leur prix, en fonction de leurs besoins et de leurs moyens financiers.

Toutefois, vendre la propriété qu’ils ont gagnée grâce à un simple ticket de tombola de 10 livres sterling (environ 12 euros) leur permet de toucher une énorme somme d’argent. Cette opportunité financière a incité de nombreux gagnants à se séparer de leur bien immobilier gagné à la loterie, préférant ainsi capitaliser sur leur chance inattendue.

La leçon à retenir

L’histoire des gagnants de la loterie Omaze met en lumière les défis insoupçonnés associés à la possession de propriétés immobilières de grande valeur. De nombreux gagnants, bien qu’heureux d’avoir remporté un bien immobilier, ont rapidement réalisé que les coûts d’entretien et d’exploitation étaient bien au-delà de ce qu’ils pouvaient supporter. Cette situation met en évidence l’importance pour les futurs gagnants potentiels de loterie de considérer soigneusement les implications financières et logistiques de posséder une propriété immobilière de grande valeur.

La possession d’une villa gagnée à la loterie peut sembler être un rêve devenu réalité, mais les défis financiers et logistiques qui l’accompagnent peuvent rapidement devenir accablants. Cela incite de nombreux gagnants à se séparer de leur bien immobilier gagné à la loterie, préférant ainsi capitaliser sur la valeur financière de leur prix imprévu. Cette leçon souligne l’importance pour les gagnants potentiels de loterie de considérer attentivement les implications de la possession d’une propriété immobilière de grande valeur avant de participer à des tirages au sort.