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L’ingéniosité technique de la piscine olympique révolutionne l’utilisation du chauffage

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Le centre aquatique olympique de Saint-Denis, qui accueillera les épreuves de waterpolo, de plongeon et de natation artistique pendant les Jeux Olympiques, présente une architecture singulière. Avec sa toiture en forme de vague, il ressemble à un bateau imposant. Cette toiture, unique au monde, est composée d’une structure légère en bois et s’étend sur plus de 10 000 m². Elle recouvre un bâtiment d’une emprise au sol de 17 500 m².

Une toiture optimisée pour la performance énergétique

La forme de la toiture n’est pas seulement esthétique, elle offre également des avantages en termes de performance énergétique. En effet, selon Jérôme Poignet, responsable de l’ingénierie en Île-de-France chez Bouygues Bâtiment, « la forme de la toiture permet de limiter le volume de la halle à chauffer et à ventiler. Ce volume à chauffer est ainsi réduit de 30% par rapport à une géométrie horizontale ». Cette conception permet de diminuer la consommation énergétique du bâtiment.

De plus, l’utilisation du bois comme matériau principal de la structure permet de réduire l’empreinte carbone de la construction. Le bois est en effet un matériau renouvelable et sa production nécessite moins d’énergie que celle des autres matériaux de construction. Il contribue ainsi à la transition écologique du secteur immobilier.

Un défi technique : les panneaux photovoltaïques non étanches

La toiture du centre aquatique olympique intègre également un autre aspect innovant : la présence de 2200 panneaux photovoltaïques non étanches. L’objectif est de permettre au bâtiment de pratiquer l’autoconsommation d’énergie. Cependant, ce choix représente un défi technique, car le bois est sensible aux variations d’humidité et une piscine est un environnement très humide.

Pour résoudre ce problème, de nombreux essais en laboratoire ont été réalisés afin d’éliminer tout risque de condensation. De plus, un dispositif étanche à l’air et à l’humidité a été installé par la société Foamglas. L’isolation thermique en verre cellulaire, collée à chaud, assure l’étanchéité de la toiture. Un pare-vapeur est également utilisé pour protéger la toiture de l’humidité ambiante. C’est ainsi que les panneaux photovoltaïques ont pu être installés sur cette toiture en bois, une première à cette échelle.

Un bâtiment durable et ouvert au public

Outre sa conception architecturale originale et ses performances énergétiques, le centre aquatique olympique de Saint-Denis se veut également un bâtiment durable et accessible au public. Mathieu Tommy-Martin, directeur des travaux chez Bouygues Bâtiment Île-de-France, souligne que le bâtiment a été éco-conçu dans une perspective d’héritage. Après les Jeux Olympiques, il sera utilisé par le département de la Seine-Saint-Denis, qui manque de structures aqualudiques.

Le centre aquatique comprend un bassin principal, ainsi qu’un bassin d’apprentissage plus petit destiné aux enfants. Des tribunes de 5000 places assises ont également été prévues pour créer une ambiance digne d’une arène sportive. Ce bâtiment moderne et polyvalent constitue ainsi un véritable atout pour la Seine-Saint-Denis et sa population.

Le centre aquatique olympique de Saint-Denis

Avec sa toiture en forme de vague et ses panneaux photovoltaïques non étanches, il présente une conception architecturale unique au monde. Cette toiture optimisée permet de réduire la consommation énergétique du bâtiment, tandis que les panneaux photovoltaïques lui permettent de pratiquer l’autoconsommation d’énergie.

De plus, ce bâtiment durable sera ouvert au public après les Jeux Olympiques, offrant ainsi à la Seine-Saint-Denis une nouvelle structure aqualudique. Grâce à cette réalisation, l’immobilier et la transition écologique se rejoignent pour créer un lieu moderne et responsable.

Qui devra payer les 8450 € de loyer pour un hébergement d’urgence, la mairie ou l’assurance ?

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Plongés dans un imbroglio juridique, un couple de propriétaires de gîtes à Pavilly (Seine-et-Marne) se retrouve dans une situation délicate. En effet, leur commune a été confrontée à un mouvement de terrain qui a entraîné l’affaissement d’un aqueduc quelques jours avant Noël. Cette situation met directement en danger quatre habitations, dont les occupants ont dû être évacués en urgence par la municipalité. L’un d’entre eux s’est ainsi retrouvé dans le gîte de Laurent Hérichon et de sa compagne, où il est resté jusqu’en juin.

Une facture de 8450 euros pour le gîte

La facture s’élève à 8450 euros pour ce gîte pouvant accueillir jusqu’à 6 personnes. Par ailleurs, c’est la municipalité elle-même qui a rédigé un certificat administratif accordant au propriétaire une somme de 50 euros par jour à titre de loyer pour l’occupation de son gîte. Des factures ont même été émises pour appuyer cette décision. Cependant, les propriétaires du gîte ont interprété ces documents de manière erronée, pensant que c’était la municipalité qui réglerait la somme.

Des différences entre propriétaires et locataires

Cependant, le maire de la commune, François Tierce, a précisé au Parisien: « Il est clairement stipulé que la commune s’engage à ce que M. Hérichon soit réglé, mais pas que la commune va le faire directement. Dans ce cas précis, c’est aux assurances de la personne hébergée de régler la facture car elle était propriétaire de sa demeure. Et, le cas échéant, l’assureur peut se retourner vers nous puisque l’aqueduc était municipal. » Le maire rappelle que seuls les locataires doivent être relogés par les communes et que dans ce cas précis, il était normal de se préoccuper des propriétaires également, surtout en pleine période de fêtes de fin d’année. Néanmoins, le propriétaire du gîte n’a pas été convaincu par cette argumentation juridique. Il a demandé à son locataire de quitter les lieux fin juin et a envoyé une mise en demeure à la mairie. Il envisage même de porter l’affaire devant le tribunal administratif.

L’origine de l’affaissement reste à déterminer

L’affaire est délicate, car il est crucial de déterminer l’origine de l’affaissement de terrain. La commune avait déjà connu un affaissement en 1995 à la suite de fortes pluies et d’inondations répétées avec des coulées de boue. Dans ce dernier cas, si les fortes pluies étaient également présentes, le réseau d’eaux pluviales datant de 1840 pourrait être incriminé, comme l’a souligné Le courrier cauchois en mars dernier.

Un couple de propriétaires de gîtes

En somme, un couple de propriétaires de gîtes à Pavilly se retrouve pris dans un imbroglio juridique suite à l’affaissement d’un aqueduc dans leur commune. Les propriétaires ont accueilli l’un des habitants évacués dans leur gîte et ont reçu une facture de 8450 euros. Cependant, ils pensaient que la municipalité règlerait cette somme, ce qui n’a pas été le cas. Le maire explique que les assurances du propriétaire doivent prendre en charge ces frais. L’affaire reste complexe, car il faut déterminer l’origine exacte de l’affaissement de terrain. Le réseau d’eaux pluviales datant de 1840 pourrait être en cause. Cette situation met en évidence les différences de responsabilité entre propriétaires et locataires dans les situations d’urgence.

Dix studios parisiens disponibles à la location pour un loyer mensuel inférieur à 500 euros

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Trouver un logement à louer à Paris à un prix abordable est devenu un véritable défi. Le marché locatif est tendu, avec une baisse des offres et une augmentation des loyers. Cependant, Le Figaro a relevé le défi de dénicher des logements à moins de 500 euros par mois dans la capitale. Voici quelques options intéressantes.

Une chambre chez l’habitant en échange de services

Si vous êtes prêt à rendre des services en échange d’un loyer abordable, vous pouvez opter pour une chambre chez l’habitant. Par exemple, une chambre de 13 m² au cœur de Paris, dans le 2e arrondissement, est proposée à seulement 50 euros par mois. Cependant, il faudra s’occuper des deux filles de la famille pendant 15 heures par semaine. L’appartement dispose de deux salles de bain, ce qui est un avantage non négligeable.

Une chambre chez l’habitant dans le 7e arrondissement

Dans le prestigieux 7e arrondissement de Paris, une chambre chez l’habitant est disponible pour 380 euros par mois, charges comprises. La chambre est équipée d’un micro-ondes et d’une bouilloire électrique, ce qui permet de prendre son petit-déjeuner dans sa chambre. Opter pour une chambre chez l’habitant permet de réduire le coût du loyer par rapport à la location d’un logement entier.

Un petit studio avec toilettes sur le palier

Pour un studio à un prix abordable, il est parfois nécessaire de faire des compromis. Par exemple, une studette de 9 m² dans le 8e arrondissement de Paris est proposée à 430 euros par mois. Les toilettes se trouvent sur le palier, mais elles sont réservées uniquement au locataire de la studette. Cependant, cette option permet de bénéficier d’un logement en plein centre de Paris, près de la gare Saint-Lazare.

Un studio de 9 m² dans le 16e arrondissement

Un studio meublé de 9 m² est disponible à la location dans le 16e arrondissement de Paris. La petite surface de ce logement explique son prix attractif. Cependant, il respecte les critères de décence en termes de superficie habitable, qui est d’au moins 9 m².

Un studio entièrement refait à neuf dans le 19e arrondissement

Il est possible de trouver des alternatives aux parkings à Paris pour moins de 500 euros par mois. Par exemple, un studio entièrement refait à neuf de 14 m² est proposé dans le 19e arrondissement de Paris. Ce logement offre l’opportunité de poser ses valises et de profiter d’un espace rénové.

Un studio près du Trocadéro

Un studio de 9 m² au premier étage d’un immeuble de standing est proposé pour 460 euros par mois. Un complément de loyer de plus de 76 euros a été appliqué en raison de la localisation idéale du bien, proche du Trocadéro et de tous les commerces.

Une chambre dans une colocation vers Gare du Nord

La colocation est une option intéressante pour bénéficier d’un logement plus spacieux qu’un studio tout en répartissant les frais. Dans un appartement de 120 m² près de la Gare du Nord, une chambre de 9 m² non meublée est disponible pour 470 euros par mois. Trois personnes occupent déjà cet appartement.

Un studio dans un immeuble sans ascenseur

Pour trouver un studio à un prix abordable, une option est d’accepter un immeuble sans ascenseur. Par exemple, un studio de 11 m² dans le 10e arrondissement est situé au 7e étage sans ascenseur. Il est meublé et équipé d’une cuisine. Il faudra toutefois monter les nombreux escaliers pour accéder à ce logement.

Des studettes dans le 16e arrondissement

Dans le quartier chic du 16e arrondissement, il est possible de trouver des studettes à des prix abordables. Par exemple, une studette de 10 m² avenue de Versailles est proposée pour 495 euros par mois. L’immeuble est sécurisé avec des gardiens et une caméra de surveillance. Cette option peut rassurer les parents dont l’enfant vient de quitter le nid.

En conclusion, malgré la situation tendue sur le marché locatif à Paris, il est possible de trouver des logements à moins de 500 euros par mois. Que ce soit en optant pour une chambre chez l’habitant, une studette dans un quartier prisé ou en acceptant des compromis sur la localisation ou les équipements, il est toujours envisageable de trouver un toit abordable dans la capitale.

220 logements seront construits en bois dans deux immeubles à La Défense d’ici 2027.

Deux immeubles en bois vont bientôt voir le jour à La Défense, l’un des plus grands quartiers d’affaires d’Europe situé dans les Hauts-de-Seine. Ces deux bâtiments, d’une hauteur de 45 et 39 mètres, seront reliés par un socle qui accueillera des commerces et des services. Prévus pour être livrés en 2027 à Courbevoie, ces immeubles seront dédiés au « coliving », une forme de colocation avec services très prisée par les investisseurs immobiliers et principalement destinée aux jeunes actifs et aux étudiants aisés.

La réalisation de ces tours sera confiée à Woodeum, une filiale du promoteur Altarea, et au groupe GA Smart Building. Ces deux entités ont été les premiers lauréats d’un appel à projets urbains axé sur des projets « mixtes et bas carbone », visant à réhabiliter cinq sites en périphérie de La Défense. L’établissement en charge de la gestion du quartier, Paris La Défense, a indiqué que l’infrastructure et le socle des deux bâtiments seraient en « béton ultra bas carbone », tandis que le reste de la structure sera en bois. Cette approche permet de réduire considérablement l’empreinte carbone de la construction, contrairement à la fabrication du béton qui peut générer d’importantes émissions de gaz à effet de serre. De plus, l’utilisation du bois est encouragée par la réglementation environnementale française sur les bâtiments neufs, appelée RE2020.

Paris La Défense a pour objectif de transformer ce quartier d’affaires en l’étendant à d’autres activités que les seuls bureaux. L’idée est de créer davantage de commerces et de services au pied et au sommet des tours, ainsi que de développer des logements et des espaces dédiés à la population estudiantine, qui ne cesse de croître.

Des immeubles en bois pour un quartier d’affaires en plein changement

La construction de ces deux immeubles en bois marque une évolution significative pour La Défense. Historiquement, ce quartier est principalement connu pour ses tours de bureaux abritant les sièges sociaux de grandes entreprises françaises et internationales. Cependant, la demande croissante de logements et de services a incité les autorités à revoir l’aménagement de la zone.

En optant pour des immeubles en bois, Paris La Défense adopte une approche écologique et durable de la construction. Le bois est un matériau renouvelable, qui permet de réduire considérablement les émissions de gaz à effet de serre liées à la construction. De plus, il offre une résistance structurelle équivalente au béton, ce qui en fait un choix viable pour des bâtiments de grande hauteur.

Le « coliving » : une tendance en plein essor

Le « coliving » est une forme de colocation qui propose des services supplémentaires aux locataires. Cette tendance est principalement adoptée par les jeunes actifs et les étudiants qui cherchent à vivre dans des environnements conviviaux et agréables. En optant pour le « coliving », ces derniers peuvent profiter de services tels que la conciergerie, le ménage et la blanchisserie, ce qui simplifie leur quotidien.

Les investisseurs immobiliers voient dans le « coliving » une opportunité intéressante. En effet, ce modèle permet de maximiser le rendement locatif en intégrant des services supplémentaires qui peuvent attirer une clientèle prête à payer un loyer plus élevé. De plus, la demande de logements étudiants ne cesse de croître, ce qui fait du « coliving » un investissement potentiellement rentable.

Une réglementation environnementale encourageante

La réglementation environnementale française sur les bâtiments neufs, la RE2020, a pour objectif de réduire l’impact carbone des constructions. Elle favorise les matériaux écologiques et encourage les efforts en matière d’efficacité énergétique. En optant pour des immeubles en bois, Paris La Défense s’inscrit pleinement dans cette dynamique.

Le bois, en tant que matériau de construction, est considéré comme neutre en termes d’émissions de carbone. En effet, les arbres absorbent le dioxyde de carbone de l’atmosphère tout au long de leur croissance, ce qui compense les émissions liées à la transformation du bois en matériau de construction. Ainsi, en optant pour le bois, Paris La Défense contribue à la lutte contre le changement climatique et à la réduction des émissions de gaz à effet de serre.

La transformation de La Défense : une nécessité face à l’évolution des besoins

La Défense doit s’adapter aux évolutions de la société et aux besoins changeants de sa population. Alors que le quartier est traditionnellement axé sur les affaires, il devient de plus en plus important d’y intégrer des commerces, des services et des logements. Cela permet de créer une véritable vie de quartier et de favoriser la mixité des usages.

En développant davantage de commerces et de services, Paris La Défense créer une dynamique économique supplémentaire. De plus, l’introduction de logements répond à la demande croissante de nouveaux habitants, tout en contribuant à la diversification de l’offre immobilière dans la région.

La construction de ces deux immeubles en bois à La Défense marque une véritable évolution pour ce quartier d’affaires emblématique. En optant pour le « coliving » et en intégrant des matériaux écologiques, Paris La Défense répond aux besoins émergents de la population tout en réduisant son empreinte carbone. La transformation de La Défense vers un quartier plus complet et diversifié est une opportunité à saisir pour les investisseurs immobiliers et les habitants de la région.

Est-ce que la vente des logements énergivores sera bientôt interdite?

Interdiction des ventes de passoires thermiques : le gouvernement envisagerait la mesure

Depuis que la location des logements énergivores (DPE F et G) est proscrite, beaucoup redoutent que le second étage de la fusée écologique soit l’interdiction pure et simple des ventes de passoires thermiques. Il semble que cette idée germe de plus en plus dans l’esprit du gouvernement qui étudierait cette possibilité. C’est d’abord le président de la République, en personne, qui a instillé le doute dans la tête des propriétaires. Emmanuel Macron a déclaré qu’au moment où les propriétaires vendent leur logement énergivore, ils doivent faire les travaux, dans l’émission « Hugo Décrypte », diffusée le 4 septembre à partir de 22h35.

Le ministère du Logement dément cette possibilité d’interdiction

Cependant, le ministère du Logement dément cette information en indiquant qu’il n’y a pas d’interdiction envisagée par le gouvernement. Le ministère explique que des travaux ont été engagés depuis longtemps pour augmenter le nombre de rénovations lors des mutations immobilières, qui constituent une étape idéale pour financer et réaliser des travaux. Ainsi, contrairement au président de la République, le ministère envisage plutôt d’agir sur les acheteurs de passoires thermiques que sur les vendeurs de ces logements énergivores. Il réfléchit à obtenir des acquéreurs de passoires thermiques qu’ils fassent des travaux, sans donner plus de précisions sur la nature de ces mesures.

La voie à suivre : une réflexion européenne

Au-delà de l’influence du chef de l’État, la voie privilégiée semble être celle évoquée par le ministère du Logement, et ce d’autant plus qu’elle est conforme à ce que le Parlement européen avait décidé en mars dernier. Cette mesure avait fait grand bruit à l’époque, avec le chef de file des Républicains au Parlement européen, François-Xavier Bellamy, qui avait dénoncé un « contresens économique, social et écologique ». Il revient maintenant aux États membres de transposer cette directive européenne au niveau national. Reste à savoir comment ils s’y prendront pour jongler entre l’urgence climatique et le respect du droit de propriété, souvent bafoué mais pourtant protégé par la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen.

L’incitation plutôt que la coercition

Alors que le président de la République évoque la nécessité pour les propriétaires de rénover leur logement avant de le vendre, le ministère du Logement privilégie une approche d’incitation pour les futurs acquéreurs de passoires thermiques. Il souhaite encourager ces derniers à faire des travaux afin d’améliorer les performances énergétiques du bien immobilier qu’ils souhaitent acquérir. Toutefois, les détails sur la nature de ces mesures restent flous et il faudra attendre les prochaines annonces officielles pour en savoir plus.

L’importance de la transition écologique dans le secteur immobilier

Quel que soit le choix du gouvernement, il est indéniable que la transition écologique est un enjeu majeur dans le secteur immobilier. Les passoires thermiques sont des logements qui consomment une quantité excessive d’énergie pour leur chauffage et leur isolation. Les interdire à la vente serait une étape significative pour lutter contre les émissions de gaz à effet de serre et améliorer la performance énergétique des logements en France.

Les défis à relever

Cependant, cette mesure soulève également des défis à relever. Le premier est celui du financement des travaux de rénovation énergétique. Si les propriétaires sont dans l’obligation de rénover leur logement avant de le vendre, il est essentiel de mettre en place des dispositifs financiers incitatifs pour les accompagner. Les aides et les subventions existantes devraient être renforcées, et de nouvelles solutions de financement innovantes pourraient être explorées.

Le deuxième défi est celui de l’accessibilité à ces travaux pour les propriétaires. Les tarifs des professionnels du bâtiment peuvent être élevés, et il est important de rendre les rénovations énergétiques plus abordables et accessibles à tous. Des initiatives telles que les prêts à taux zéro ou les crédits d’impôt pourraient être élargies et simplifiées pour encourager davantage de propriétaires à entreprendre ces travaux.

Enfin, il est essentiel de sensibiliser et d’informer les propriétaires sur les enjeux de la rénovation énergétique. Beaucoup ne sont pas conscients de l’impact environnemental de leur logement ou des solutions disponibles pour améliorer sa performance énergétique. Des campagnes de communication et des programmes de formation pourraient être mis en place pour favoriser la transition vers des logements plus écologiques.

L’interdiction des ventes de passoires thermiques

C’est le débat qui anime le secteur immobilier actuellement. Si la position du président de la République semble être en faveur de cette interdiction, le ministère du Logement privilégie plutôt une approche d’incitation pour les futurs acquéreurs de ces logements énergivores. Quelle que soit la solution retenue, il est primordial de soutenir financièrement et techniquement les propriétaires dans leurs projets de rénovation énergétique. La transition écologique dans le secteur immobilier est un défi majeur, mais également une opportunité de créer une société plus durable et respectueuse de l’environnement.

Quelles sont les méthodes les plus précises pour évaluer la valeur d’une propriété immobilière ?

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L’importance de la valeur d’un bien immobilier

La valeur d’un bien immobilier est un élément essentiel à prendre en compte lors d’une transaction. En effet, que l’on souhaite acheter ou vendre un bien immobilier, il est important de connaître sa valeur réelle afin d’éviter tout risque de surévaluation ou de sous-évaluation. Pour éclairer ce sujet, nous avons interrogé Maître Pauline Bourguignon, membre des Notaires de Paris et experte en immobilier, ainsi que Eve Xaé-Blanchet, fondatrice de la plateforme Orama qui propose des critères immobiliers durables et responsables.

L’analyse de Maître Pauline Bourguignon

Maître Pauline Bourguignon souligne que plusieurs critères doivent être pris en compte lors de l’estimation de la valeur d’un bien immobilier. Parmi ces critères, on retrouve l’emplacement géographique du bien, sa surface, son état général, ainsi que la conjoncture immobilière en vigueur. Selon Maître Bourguignon, l’emplacement géographique est le facteur déterminant de la valeur d’un bien. En effet, un bien situé dans une zone attrayante et bien desservie sera généralement plus cher qu’un bien situé dans une zone moins recherchée.

L’expertise d’un notaire est donc primordiale pour évaluer la valeur d’un bien immobilier de manière objective. Grâce à leur connaissance du marché, les notaires sont en mesure de prendre en compte l’ensemble des critères influençant la valeur d’un bien et de procéder à une évaluation juste et précise.

L’apport de la plateforme Orama

Eve Xaé-Blanchet, fondatrice de la plateforme Orama, met quant à elle l’accent sur la prise en compte des critères immobiliers durables et responsables dans l’évaluation d’un bien immobilier. Selon elle, il est primordial de considérer l’impact environnemental d’un bien et son efficacité énergétique. En intégrant ces critères dans la valorisation d’un bien, on favorise les biens immobiliers éco-responsables, qui sont de plus en plus recherchés par les acheteurs.

La plateforme Orama propose ainsi une évaluation de la valeur d’un bien immobilier prenant en compte ces critères durables et responsables. Cela permet aux propriétaires de mettre en avant les atouts environnementaux de leur bien et de le vendre à sa juste valeur.

Les conseils pour estimer la valeur d’un bien

Pour estimer la valeur d’un bien immobilier, Maître Pauline Bourguignon et Eve Xaé-Blanchet soulignent l’importance de faire appel à des professionnels de l’immobilier. Les notaires et les plateformes spécialisées dans l’évaluation des biens immobiliers sont en mesure de réaliser une expertise précise et objective.

Il est également intéressant de se renseigner sur les prix pratiqués dans le quartier où se situe le bien. En comparant les prix des biens similaires, il est possible d’avoir une idée plus précise de la valeur du bien à estimer.

Enfin, il est essentiel de prendre en compte les éventuels travaux à prévoir sur le bien. Un bien nécessitant des rénovations importantes aura une valeur moindre qu’un bien en parfait état. Il convient donc de faire une évaluation en tenant compte de ces travaux éventuels.

La valeur d’un bien immobilier

La valeur d’un bien immobilier est un élément crucial à prendre en compte lors d’une transaction. Il est primordial de faire appel à des professionnels de l’immobilier pour estimer la valeur d’un bien de manière objective et précise. En intégrant les critères durables et responsables dans cette estimation, on favorise les biens immobiliers éco-responsables, qui répondent aux attentes des acheteurs soucieux de l’environnement.

Il est donc recommandé de faire appel aux compétences d’un notaire ou à une plateforme spécialisée dans l’évaluation des biens immobiliers pour obtenir une estimation juste et fiable. En prenant en compte les différents critères évoqués par Maître Pauline Bourguignon et Eve Xaé-Blanchet, il est possible d’éviter les risques de surévaluation ou de sous-évaluation d’un bien immobilier.

Pour conclure, la valeur d’un bien immobilier doit être évaluée de manière rigoureuse et objective afin de favoriser une transaction équitable pour toutes les parties impliquées.

Les taxes sur les résidences secondaires augmentent dans ces villes populaires.

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Les taxes des résidences secondaires à Sète augmentent de façon importante

Selon une étude réalisée par Prello, un groupe spécialisé dans l’achat de résidences secondaires en copropriété, il n’est pas avantageux d’avoir une résidence secondaire à Sète, dans l’Hérault (34). En effet, la taxe d’habitation dans cette commune a été majorée de 60 %. Le taux de taxe d’habitation atteint désormais plus de 80 %. Cette situation pose problème aux propriétaires, car cela revient à payer 80 % de la valeur locative de leur bien, soit un loyer pour leur propre propriété.

Les variations de taux de taxe d’habitation d’une ville à l’autre

Le taux de taxe d’habitation peut varier d’une ville à l’autre, car il est fixé par les communes. Le montant de la taxe d’habitation est calculé en fonction de la valeur locative cadastrale du bien et de ses dépendances, par application d’un taux voté par la collectivité locale.

Wimereux et Frontignan sur le podium des villes où les taxes sont élevées

Selon l’étude de Prello, après Sète, la commune de Wimereux, dans le Pas-de-Calais, occupe la deuxième place du classement des villes où les taxes d’habitation sur les résidences secondaires sont élevées. Elle est suivie par Frontignan, dans l’Hérault également, qui pratique également des taxes d’habitation et foncière élevées.

Les communes de plus de 50 000 habitants peuvent augmenter la taxe d’habitation

Certaines communes de plus de 50 000 habitants, où la demande de logements est plus forte que l’offre, peuvent appliquer une majoration de la taxe d’habitation allant de 5 % à 60 % depuis 2017. En tout, 4 000 villes sont concernées par cette mesure. Parmi elles se trouvent des métropoles comme Paris, Lyon et Marseille, ainsi que des stations balnéaires très attractives, à l’instar de Sète. Certaines communes n’hésitent pas à augmenter les taxes sur les résidences secondaires, car cela leur permet de libérer des biens et de les transformer en résidences principales. C’est un moyen de réduire l’attractivité des biens en termes de capitalisation, selon Ludovic de Jouvancourt, cofondateur de Prello.

Des taxes peu élevées dans certaines communes touristiques

Toutefois, il est intéressant de noter que dans certaines communes attractives, les taxes sur les résidences secondaires restent peu élevées. C’est le cas à Carry-le-Rouet, dans les Bouches-du-Rhône, où le taux de taxe d’habitation est de 23,8 %. On retrouve également des taux relativement bas à Cambo-les-Bains et Saint-Pée-sur-Nivelle, dans les Pyrénées-Atlantiques, ainsi qu’à Cassis, malgré une forte attractivité touristique. Ces communes ont choisi de ne pas augmenter les taxes sur les résidences secondaires, afin de rester attractives. Les propriétaires de ces résidences paient donc la taxe d’habitation à sa valeur normale, sans majoration.

L’augmentation du coût de la taxe foncière

Outre la taxe d’habitation, le coût de la taxe foncière a également augmenté de 7,1 % sur l’ensemble du territoire en 2023. Face à cette hausse des taxes, la start-up Prello propose une solution intéressante : l’achat de résidence secondaire en copropriété. Jusqu’à huit acquéreurs peuvent s’unir au sein d’une SCI (Société Civile Immobilière) pour acheter une résidence secondaire. Ainsi, les coûts liés à la propriété sont mutualisés, ce qui permet de réduire considérablement la facture annuelle d’une résidence secondaire. Selon Ludovic de Jouvancourt, cofondateur de Prello, le coût annuel d’une résidence secondaire représente entre 1 et 4 % de sa valeur immobilière, en fonction de ses équipements. En étant propriétaire d’une résidence secondaire à plusieurs, il est possible de diviser cette facture par sept ou huit.

En conclusion, la taxe d’habitation sur les résidences secondaires peut varier considérablement d’une commune à l’autre. Certaines communes choisissent d’augmenter cette taxe, principalement pour des raisons d’attractivité et de libération de biens. Toutefois, il existe également des communes attractives qui ont fait le choix de maintenir des taxes peu élevées sur les résidences secondaires. Face à cette situation, la solution proposée par Prello d’acheter une résidence secondaire en copropriété peut être avantageuse pour réduire les coûts. Au final, il est important de prendre en compte ces différences de taxation lors de l’acquisition d’une résidence secondaire.

Il est impossible de transférer le bail d’un logement à son frère.

Quelles sont les conséquences juridiques du défaut de titularité du bail et comment peut-on faire face à cette situation délicate ? Dans cet article, nous allons explorer les différentes situations qui peuvent se présenter et les solutions possibles pour éviter une expulsion injuste.

La problématique de la titularité du bail

L’actualité récente nous a rappelé l’importance d’être titulaire du bail pour pouvoir rester dans un logement locatif. Le Figaro a récemment rapporté l’histoire d’une famille menacée d’expulsion, bien qu’elle soit à jour de ses loyers. Le problème est que le bail est au nom de l’oncle décédé de l’occupante réelle du logement. La justice ne peut que constater que la famille qui habite réellement sur place ne figure pas sur ce document.

Le transfert du bail au profit d’un frère ou d’une sœur

Même si le lien familial est plus direct, comme un frère ou une sœur, le transfert du bail ne peut pas se faire automatiquement. Comme l’a rappelé le blog de l’avocat spécialisé en droit immobilier Me Gabriel Neu-Janicki, le mécanisme du transfert de bail est strictement encadré par la loi n°89-462 du 6 juillet 1989. Selon une décision de la cour d’appel de Versailles, seuls le conjoint, les descendants ou les ascendants, à l’exclusion des collatéraux, peuvent bénéficier de ce transfert.

L’absence de congé et ses conséquences

Dans l’histoire rapportée, le titulaire du bail d’un appartement en région parisienne a quitté les lieux après son mariage, laissant son frère occuper le logement. La justice rappelle que en l’absence de système de transfert, le frère aurait dû faire une demande auprès du bailleur, demande que ce dernier peut refuser. De plus, les occupants initiaux n’ont jamais donné congé ni évoqué un quelconque changement de situation. Dans ces conditions, la cour d’appel confirme que le transfert de bail est illégal et qu’il y a lieu de le résilier et d’expulser le frère.

Comment faire face à cette situation délicate ?

Pour éviter de se retrouver dans une situation similaire, il est important de prendre certaines précautions. Tout d’abord, il est essentiel de respecter les dispositions de la loi n°89-462 du 6 juillet 1989 concernant la titularité du bail. Seuls le conjoint, les descendants ou les ascendants peuvent bénéficier d’un transfert de bail.

Si vous envisagez de laisser un membre de votre famille occuper votre logement, il est recommandé de faire une demande officielle auprès de votre bailleur. Celui-ci est en droit de refuser cette demande, mais en faisant les choses dans les règles, vous évitez le risque d’expulsion ultérieure.

De plus, il est important de toujours informer votre bailleur de tout changement de situation, que ce soit un mariage, un déménagement, ou toute autre circonstance qui pourrait avoir un impact sur la titularité du bail. Cette transparence permet de maintenir une relation de confiance avec votre bailleur et d’éviter tout litige futur.

Si vous vous trouvez dans une situation où la titularité du bail est remise en question, il est essentiel de consulter un avocat spécialisé en droit immobilier pour obtenir des conseils juridiques personnalisés. Un avocat pourra analyser votre situation et vous guider vers la meilleure solution possible afin de préserver vos droits en tant que locataire.

Pour finir, il est primordial de respecter les dispositions légales concernant la titularité du bail. L’absence de transfert officiel peut entraîner des conséquences juridiques désagréables, comme une expulsion. Il est donc essentiel de faire les démarches nécessaires auprès du bailleur pour éviter tout litige futur. En cas de doute ou de situation délicate, il est recommandé de consulter un avocat spécialisé en droit immobilier pour obtenir des conseils adaptés à votre situation particulière.

Tout savoir sur la défiscalisation immobilière en 2023

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Vous souhaitez réduire vos impôts en investissant dans l’immobilier locatif ? Vous vous demandez quels sont les dispositifs de défiscalisation immobilière existants en 2023 et comment en profiter ? Cet article vous présente les principales solutions pour optimiser votre fiscalité grâce à l’immobilier, leurs conditions, leurs avantages et leurs inconvénients. Il vous donne également des conseils pratiques pour choisir le dispositif le plus adapté à votre profil et à vos objectifs. Enfin, il vous informe des évolutions prévues par la loi de finances pour 2023, notamment la création du Pinel + et la fin du Censi-Bouvard.

Malgré le paiement régulier de tous ses loyers, cette famille est sur le point d’être expulsée.

L’expulsion de Cynthia, Karim et leurs enfants : un triste exemple des difficultés rencontrées par les propriétaires pour récupérer leur logement

La lutte des propriétaires pour récupérer leurs biens

Cynthia, Karim et leurs enfants vont bientôt se retrouver à la rue, malgré le fait qu’ils aient toujours payé leur loyer de 400 euros par mois à temps. Depuis leur emménagement dans un logement à Armentières, dans le Nord (59), il y a près de deux ans, ils ont même entrepris des travaux de rénovation, tels que repeindre les murs, carreler la salle de bain et ajouter du parquet flottant dans les chambres. Ces améliorations n’ont cependant pas été appréciées par leur bailleur social, Partenord, qui a récemment mandaté un huissier pour les expulser d’ici fin octobre.

Un bail au nom de l’oncle décédé

Le logement qu’ils occupent correspond parfaitement aux besoins de leur famille, avec ses quatre chambres qui permettent à chacun de leurs enfants d’avoir leur propre espace. De plus, il est idéalement situé sur leur itinéraire de travail et à proximité de l’école de leurs plus jeunes enfants. Alors, comment des locataires aussi exemplaires peuvent-ils être condamnés à l’expulsion ?

La cause de leur malheur réside dans le bail de location. En effet, celui-ci n’est pas établi à leur nom, mais à celui de l’oncle décédé de Cynthia. Du point de vue juridique, le couple est donc considéré comme étant hébergé par le locataire décédé, plutôt que comme locataire à part entière. Cynthia a pourtant tout fait pour régulariser la situation depuis qu’elle a été informée de leur expulsion imminente. Elle a demandé le transfert du bail à son nom et est même disposée à payer un loyer plus élevé ou à acheter le logement si Partenord souhaite s’en séparer. D’autant plus que cette maison possède une valeur sentimentale pour elle, ayant été précédemment occupée par sa grand-mère et son oncle, avec qui elle entretenait des liens très proches. Malgré tous ses efforts, Cynthia ne comprend pas pourquoi on leur demande de quitter les lieux.

La loi encadre ces situations délicates

Quelle est la position de la loi dans ce type de cas ? Selon Maître Pierre de Plater, avocat spécialisé en droit immobilier, l’article 14 de la loi du 6 juillet 1989 prévoit la possibilité de transférer le bail aux ayants-droits du locataire décédé. Les ayants-droits sont définis par la loi comme le conjoint survivant, les descendants qui vivaient avec le locataire décédé depuis au moins un an à la date du décès, les ascendants ou les personnes à charge qui vivaient également avec lui depuis au moins un an à la date du décès. En revanche, si des personnes occupent le logement sans avoir de statut d’ayant-droit et sans être titulaires d’un bail régulier, elles sont considérées comme des occupants sans droit ni titre.

Cette affaire soulève donc de nombreuses questions concernant les droits des locataires et des propriétaires, ainsi que les situations complexes pouvant survenir à la suite du décès d’un locataire. Dans le cas de Cynthia, Karim et leurs enfants, ces derniers se retrouvent pris au piège d’une situation administrative complexe qui menace leur stabilité et leur avenir. Il reste à espérer que leur bailleur social saura faire preuve de compréhension et trouver une solution équitable qui préserve l’intérêt de tous.

La triste réalité des propriétaires confrontés aux loyers impayés

L’expulsion de Cynthia, Karim et leurs enfants met en lumière la triste réalité à laquelle sont confrontés de nombreux propriétaires en France. Les cas de loyers impayés sont malheureusement fréquents et peuvent avoir des conséquences désastreuses pour les propriétaires qui dépendent de ces revenus pour rembourser leurs prêts et entretenir leurs biens immobiliers.

Dans le cas de Cynthia et Karim, qui ont toujours honoré leurs obligations financières envers leur bailleur, il est particulièrement frustrant de voir qu’ils se retrouvent dans une situation précaire en raison d’un problème administratif. Il est essentiel de trouver des solutions pour éviter que de tels dysfonctionnements ne se reproduisent à l’avenir et de préserver les droits des propriétaires tout en assurant la protection des locataires.

Pour finir avec cette malheureuse affaire

L’affaire de Cynthia, Karim et leurs enfants illustre le combat quotidien des propriétaires pour récupérer leur logement et les diffficultés injustes auxquelles ils peuvent être confrontés. Dans ce cas précis, une situation administrative complexe met en danger la stabilité et l’avenir de cette famille modèle qui a toujours payé son loyer à temps et a même effectué des améliorations dans la maison. Il est important de prendre en considération les droits des propriétaires tout en cherchant des solutions équitables pour toutes les parties impliquées. En espérant que cette affaire serve de leçon et favorise des changements positifs pour l’avenir.