vendredi, juin 13, 2025
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Est-ce que Bruno Le Maire envisage de soutenir les ménages avec un crédit immobilier ?

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Les taux de crédit immobilier pourraient atteindre leur pic d’ici la fin de l’année

Selon les experts, les taux de crédit immobilier, qui ont plus que triplé en moins de deux ans, pourraient atteindre leur pic d’ici la fin de l’année, se situant entre 4,5% et 5%, hors assurance et frais. Cependant, après avoir atteint leur niveau maximum, ils devraient se stabiliser pour plusieurs mois. Cette perspective est déjà une bonne nouvelle pour les ménages qui souhaitent acheter un logement. De plus, une autre nouvelle mesure est en préparation, celle d’augmenter le taux d’endettement maximal des emprunteurs. Actuellement, ce taux ne peut pas dépasser 35% des revenus disponibles, sauf pour 20% de dossiers considérés comme « dérogatoires ».

Bruno Le Maire serait désormais favorable à l’augmentation du taux d’endettement

Bruno Le Maire, le ministre de l’Économie et des Finances, serait en discussion avec le gouvernement de la Banque de France pour évoquer cette mesure. Selon Sacha Houlié, député Renaissance de la Vienne, Bruno Le Maire ne serait plus aussi opposé à l’augmentation du taux d’endettement des emprunteurs. Cette proposition s’inscrit dans le cadre des différentes pistes d’étude visant à améliorer la dynamique de production de crédits immobiliers en France. L’entourage du ministre affirme être attentif à cette problématique et recherche le meilleur équilibre entre protection contre le surendettement et accès au crédit.

La production de crédit immobilier en France est en baisse

De manière générale, la production de crédit immobilier en France est en baisse. En juillet, elle s’est élevée à seulement 10,1 milliards d’euros, selon la Banque de France. Ce chiffre est le plus bas depuis six ans, excluant la période de crise liée à la pandémie de Covid-19. En moins de deux ans, cette production a diminué de plus de la moitié. Les banques sont de moins en moins enclines à accorder des prêts aux ménages, ce qui a conduit à une exclusion croissante de nombreux emprunteurs solvables du marché. Le ministère de l’Économie et des Finances cherche donc des solutions pour résoudre cette situation délicate.

Le défi de Bruno Le Maire pour contenter toutes les parties

En tant que président du Haut Conseil de Stabilité Financière (HCSF), Bruno Le Maire doit trouver un équilibre délicat pour contenter toutes les parties prenantes. Jusqu’à présent, les marges des banques sur les crédits immobiliers étaient trop faibles en raison des taux d’intérêt bas, ce qui a incité certaines institutions financières à limiter l’octroi de prêts. Cela a conduit à une exclusion accrue des ménages du marché immobilier. La situation s’est améliorée mais reste fragile.

Le reste-à-vivre, un critère important pour les professionnels de l’immobilier

Certains professionnels de l’immobilier soulignent l’importance de prendre en compte le reste-à-vivre des emprunteurs (la somme restant disponible une fois la mensualité du prêt payée) pour tenir compte des différents profils d’emprunteurs. Cependant, la règle du taux d’endettement actuelle ne permet pas de prendre en considération cet aspect. Selon Caroline Arnould, présidente du courtier Cafpi, il est nécessaire de prendre cela en compte pour espérer redynamiser le marché immobilier. Cependant, il est peu probable que cela soit suffisant tant que les prix de l’immobilier n’auront pas suffisamment baissé pour compenser la hausse des taux de crédit.

Pic d’ici la fin de l’année

Les taux de crédit immobilier pourraient atteindre leur pic d’ici la fin de l’année avant de se stabiliser. Bruno Le Maire serait désormais favorable à l’augmentation du taux d’endettement maximal des emprunteurs, ce qui ferait partie des mesures envisagées pour améliorer la production de crédits immobiliers en France. Cependant, la production de crédit immobilier est en baisse et de nombreux ménages, y compris des emprunteurs solvables, sont exclus du marché. Il est donc essentiel de trouver un équilibre entre protection contre le surendettement et accès au crédit. Certains professionnels de l’immobilier soulignent également l’importance de prendre en compte le reste-à-vivre des emprunteurs pour mieux les évaluer. Toutefois, il est important de noter que la baisse des prix de l’immobilier reste un facteur déterminant pour compenser la hausse des taux de crédit.

Une gardienne d’école expulsée de son logement de fonction après de nombreuses années de service.

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Gardienne à la retraite : la Ville de Paris se bat pour récupérer un logement de fonction

La Ville de Paris est confrontée à un problème récurrent avec les gardiens retraités qui refusent de quitter leur logement de fonction. Cette fois-ci, c’est une ancienne gardienne d’école du 19e arrondissement de Paris, située rue Barbanègre, qui est dans le viseur de la municipalité. Malgré sa retraite depuis deux ans, elle souhaite toujours conserver son logement de fonction. Face à cette situation, la Ville a décidé d’entamer des démarches judiciaires afin d’obtenir son expulsion et de récupérer le bien.

La gardienne d’école à la retraite demande une indemnité d’occupation

Outre l’expulsion, la Ville de Paris a également été confrontée à une demande d’indemnité d’occupation de la part de la gardienne retraitée. Cette dernière réclamait la somme de 32 000 euros en guise d’arriérés de loyers, ainsi que 1 600 euros par mois jusqu’à son départ du logement. De plus, elle exigeait de reprendre immédiatement possession des lieux. Face à ces revendications, la municipalité a saisi la justice en urgence.

Une situation déjà vécue par la mairie de Paris

Ce n’est pas la première fois que la mairie de Paris fait face à des gardiens retraités qui refusent de quitter leur logement de fonction. L’ancienne gardienne de l’Hôtel de Ville avait également refusé de quitter sa loge, qu’elle occupait depuis 40 ans. Le tribunal administratif avait ordonné l’expulsion de la gardienne en avril dernier, mais la mairie a finalement décidé de ne pas mettre cette personne à la porte en raison de son âge avancé. En effet, l’occupante ayant 72 ans et se déplaçant difficilement avec une canne, la Ville a choisi de ne pas la contraindre à partir.

La décision de la justice en faveur de la Ville de Paris

Dans le cas de l’ancienne gardienne d’école, le juge des référés du tribunal administratif de Paris a donné raison à la Ville et a ordonné l’expulsion immédiate de l’occupante. En effet, celle-ci continuait à occuper le logement sans pouvoir justifier d’aucun titre l’y habilitant. Selon le juge des référés, cette occupation irrégulière fait obstacle à l’utilisation normale du bien et empêche d’y loger un nouvel agent. Cependant, le juge a refusé de se prononcer sur la demande d’indemnité d’occupation de l’ancienne gardienne, estimant que ce n’était pas de son ressort. De plus, le juge administratif n’a pas le pouvoir d’autoriser la Ville à demander à l’État le concours de la force publique.

Une bataille juridique en cours pour récupérer les logements de fonction

La Ville de Paris se trouve une fois de plus confrontée à un cas de gardienne retraitée qui souhaite conserver son logement de fonction. Cette situation n’est pas nouvelle pour la municipalité, qui a déjà dû faire face à ce problème par le passé. Dans le cas présent, la justice a donné raison à la Ville en ordonnant l’expulsion immédiate de l’occupante. Cependant, la question de l’indemnité d’occupation reste en suspens. Il est donc nécessaire de suivre de près l’évolution de cette affaire et de voir comment la Ville de Paris parviendra à récupérer ces logements de fonction occupés illégalement.

Pourquoi Macron décide de ne pas interdire les nouvelles chaudières à gaz après tout ?

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Les chaudières à gaz : une interdiction reportée pour les logements neufs

Les chaudières à gaz, utilisées par plus de 11 millions de foyers en France, semblent avoir du plomb dans l’aile. En effet, depuis janvier 2022, ces équipements sont interdits pour les logements neufs. Cette décision vise à favoriser la transition écologique en remplaçant les chaudières à gaz énergivores par des solutions plus respectueuses de l’environnement, telles que les pompes à chaleur.

Un revirement de situation

Cependant, durant l’été, le discours du gouvernement a changé. Bruno Le Maire, proche conseiller d’Emmanuel Macron, s’est opposé fermement à l’interdiction des chaudières à gaz. Selon son entourage, le président de la République partage cette position. Cette confidence a été confirmée par le chef de l’État lui-même lors d’une interview télévisée. Il a déclaré : « On n’interdira pas l’installation de chaudières à gaz neuves. On ne peut pas laisser nos compatriotes, en particulier dans les zones les plus rurales, sans solution. ». Cette décision a suscité une polémique, d’autant plus que l’Élysée a récemment fait installer une chaudière au gaz, ce qui a été perçu comme un double discours.

La promotion des pompes à chaleur

Malgré le maintien des chaudières à gaz dans les logements anciens, Emmanuel Macron a souligné l’importance des pompes à chaleur comme alternative écologique. Il a déclaré que les pompes à chaleur étaient intelligentes, permettant des économies d’énergie et une réduction significative des émissions. Le président de la République a également annoncé la volonté de tripler la production de pompes à chaleur en France, sans donner plus de détails sur les mesures concrètes pour y parvenir.

Le défi de développer la filière française

Cependant, le gouvernement reconnaît que la filière française des pompes à chaleur n’est pas suffisamment développée. Comme pour les véhicules électriques, il est nécessaire de produire de manière écologique et de favoriser les alternatives fabriquées en France. Dans cette optique, le gouvernement envisage de réduire voire de supprimer les aides publiques pour les chaudières à gaz, au profit des pompes à chaleur. Cependant, cette décision pose un problème : l’écart de prix entre les deux équipements est conséquent. Une chaudière à gaz neuve coûte environ 4 000 euros, alors qu’une pompe à chaleur air-eau peut coûter entre 8 000 et 12 000 euros, et une pompe à chaleur biomasse entre 10 000 et 15 000 euros. Les ménages modestes pourraient donc avoir du mal à financer ce changement de système de chauffage, même avec l’aide de Ma Prime Rénov’.

L’interdiction des chaudières à gaz pour les logements neufs

Alors que l’interdiction des chaudières à gaz pour les logements neufs a été reportée, les pompes à chaleur restent une alternative encouragée par le gouvernement. Malgré les débats et la polémique, il est indéniable que la transition énergétique est une priorité pour la France. Cependant, il est également nécessaire de développer la filière française des pompes à chaleur et de trouver des solutions pour rendre cette transition accessible à tous les ménages, quel que soit leur niveau de revenu.

Transformation en logements des parkings aériens au cœur de Paris.

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Les balcons d’un ancien parking aérien seront recyclés pour devenir des logements sociaux et un commerce en rez-de-chaussée, offrant une solution créative à la pénurie de logements dans le 3e arrondissement de Paris. Cette transformation sera effectuée par Nexity Héritage, la nouvelle marque de régénération urbaine de Nexity. En conservant une grande partie de la construction d’origine datant de 1934, cette réhabilitation permettra de réduire les émissions de carbone de 40% par rapport à une démolition et une reconstruction.

La préservation des composants d’origine

L’ancien parking appartenant à Harvestate et exploité par Indigo sera transformé en un immeuble de 39 logements sociaux, allant du T1 au T4. Les balcons seront construits à partir des poutres rouges qui servaient autrefois d’allèges au garage. Cette approche de recyclage permettra de préserver l’histoire du bâtiment tout en fournissant des logements abordables à la population locale. De plus, un commerce sera aménagé au rez-de-chaussée, assurant ainsi une mixité des usages dans cet espace réaménagé.

La réduction des émissions de carbone

La décision de réhabiliter plutôt que de reconstruire est motivée par la volonté de réduire l’empreinte carbone du projet. En conservant une grande partie de la construction existante, Nexity Héritage estime pouvoir réduire de 40% les émissions de carbone par rapport à une démolition et une reconstruction complètes. Cette approche respectueuse de l’environnement est en ligne avec les objectifs de durabilité de l’entreprise et contribue aux efforts de la ville de Paris en matière de lutte contre le changement climatique.

Renforcer les fondations pour garantir la sécurité

La transformation d’un garage en immeuble résidentiel nécessite des ajustements structurels importants. Les fondations doivent être renforcées pour assurer la stabilité du bâtiment et la sécurité des futurs habitants. Selon Eric Rydzewski, directeur des travaux chez Nexity, les fondations doivent être adaptées car « la voiture est plus légère que les hommes ». Cette prouesse technique permettra de garantir la sécurité des logements sociaux loués à la Régie immobilière de la ville de Paris (RIVP), l’acquéreur du bien.

Garantir le confort acoustique et énergétique

La rénovation de cet espace autrefois utilisé comme parking nécessite également une réflexion sur le confort acoustique des futurs habitants. Les architectes ont intégré un traitement thermique performant, permettant à l’immeuble de réaliser plus de 60% d’économies d’énergie par rapport à son utilisation précédente. Cette amélioration énergétique est un atout important dans une ville où la rénovation et la réhabilitation sont de plus en plus privilégiées par rapport aux constructions neuves.

Une tendance vers la transformation urbaine

Cette réhabilitation s’inscrit dans une tendance plus large vers la transformation urbaine plutôt que la construction neuve. Selon une étude citée dans Le Figaro, 70% des autorisations d’urbanisme déposées à Paris concernent actuellement des opérations de transformation. Cette évolution reflète l’évolution des besoins de la population et l’importance accordée à la préservation du patrimoine existant. Les réhabilitations permettent de revitaliser des espaces inutilisés tout en préservant l’histoire et l’identité d’un quartier.

Réhabilitation de cet ancien parking aérien

La réhabilitation de cet ancien parking aérien en logements sociaux et en commerce est un exemple concret de la capacité de l’industrie immobilière à relever les défis actuels. En recyclant les composants d’origine, en réduisant les émissions de carbone et en garantissant la sécurité et le confort des habitants, ce projet permet de créer de nouveaux espaces de vie dans un quartier en pleine évolution. Cette transformation urbaine s’inscrit dans une tendance plus large vers la réutilisation et la réhabilitation, qui répond aux besoins de la population tout en préservant l’environnement et le patrimoine existant.

Les acheteurs français de biens immobiliers au Portugal font face à la concurrence des américains.

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Le Portugal attire de plus en plus d’Américains grâce à l’influence de Madonna et à l’organisation du Web Summit à Lisbonne. Les Américains représentent désormais 40% des acheteurs étrangers au Portugal, dépassant ainsi les Français. Lisbonne est même considérée comme le « Miami européen » par les Américains, en raison de son pont suspendu rappelant le Golden Gate de San Francisco et de son ambiance similaire à Miami. De plus, l’euro faible par rapport au dollar permet aux Américains d’investir dans l’immobilier à moindre coût.

L’influence de Madonna et l’organisation du Web Summit à Lisbonne

La star américaine de la pop, Madonna, a joué un rôle majeur dans l’attraction des Américains vers le Portugal. Son arrivée dans le pays il y a trois ans a attiré l’attention des médias et a suscité l’intérêt des Américains pour cette destination. Selon les élus et les experts interrogés par Le Figaro, Madonna a contribué à augmenter le nombre de touristes américains chaque année, et a ainsi ouvert la voie à une installation plus permanente de cette population.

En outre, le gouvernement portugais a annoncé en 2018 que le Web Summit, l’un des plus grands salons tech du monde, serait organisé à Lisbonne pendant encore 10 ans. Cette annonce a renforcé l’image du Portugal en tant que pays adepte des hautes technologies et a séduit de nombreux Américains passionnés par ce domaine. Ces événements ont ainsi contribué à augmenter la popularité et l’intérêt des Américains pour le Portugal.

Les Américains dépassent les Français dans l’achat de biens immobiliers

Les Américains sont devenus les acheteurs étrangers les plus importants au Portugal, surpassant les Français dans certaines catégories. À Lisbonne, par exemple, les Américains représentent désormais 40% des acheteurs étrangers, tandis que les Français sont à 32%. Cette tendance s’explique par l’attrait des Américains pour la ville de Lisbonne, souvent comparée au « Miami européen ». Le pont qui relie la ville et qui rappelle le Golden Gate de San Francisco est notamment un élément qui attire les Américains.

Les Américains sont également attirés par la région de Setubal, à 1 heure de Lisbonne, et en particulier par Comporta, une destination luxueuse prisée par les stars d’Hollywood. Cette région offre une combinaison de villas haut de gamme et de biens immobiliers authentiques, ce qui suscite l’intérêt des Américains. De plus, la proximité des lycées internationaux et de l’aéroport de Lisbonne contribue à rendre cette région attractive pour les Américains.

L’euro faible par rapport au dollar facilite les investissements

L’un des atouts majeurs du Portugal pour les Américains est la faiblesse de l’euro par rapport au dollar. Cela permet aux Américains d’investir dans l’immobilier à moindre coût et de réaliser des économies significatives. De plus, les Américains sont connus pour leur pragmatisme et leur rapidité dans le processus d’achat. Ils prennent généralement le temps d’étudier les avantages et les risques d’un investissement, mais une fois leur décision prise, ils souhaitent conclure la vente rapidement, en moins d’un mois. Cela peut poser des problèmes si les services administratifs portugais ne sont pas suffisamment efficaces.

Les Français, en revanche, sont souvent plus dépensiers que les Américains. Ils sont prêts à dépenser une fortune pour maintenir l’authenticité d’un bien immobilier ou de traditions locales. Cependant, même si les Américains ont un budget légèrement inférieur à celui des Français, ils trouvent leur bonheur dans des régions spécifiques du Portugal, telles que la vallée du Douro et la région de l’Alentejo.

De plus en plus d’Américains

Le Portugal attire de plus en plus d’Américains grâce à l’influence de Madonna et à l’organisation du Web Summit à Lisbonne. Les Américains représentent désormais un pourcentage important des acheteurs étrangers au Portugal, dépassant les Français dans certaines catégories. Lisbonne est perçue comme le « Miami européen » par les Américains en raison de son ambiance et de son pont rappelant celui de San Francisco. De plus, l’euro faible par rapport au dollar facilite les investissements immobiliers des Américains.

Bientôt, 18 logements seront aménagés dans ce château de la Renaissance délaissé.

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Renaissance d’un château en Seine-et-Marne : des appartements de luxe bientôt disponibles

La commune de Fontenay-Trésigny, située au sud-est de Paris et au cœur de la Brie, offrira bientôt la possibilité de vivre la vie de château dans un studio. En plus d’un château royal du 13e siècle et de nombreux monuments historiques, cette petite ville de 5300 habitants abrite également le château du duc d’Épernon, datant du 16e siècle et actuellement en mauvais état.

Un projet de sauvegarde du patrimoine

Classé monument historique depuis 1963, le château du duc d’Épernon a connu des périodes fastes, mais a ensuite été utilisé comme local agricole pour un commerce de pommes et de cidres. En 1976, un incendie a détruit le salon lambrissé du rez-de-chaussée, et après 2006, le château a été abandonné et a subi un nouvel incendie en 2014. Des occupations sauvages ont également eu lieu. Cependant, à partir de 2021, un projet de sauvegarde du site a été mis en place grâce à la collaboration de la Drac (Direction Régionale des Affaires Culturelles), de la ville de Fontenay-Trésigny et d’Histoire & Patrimoine, filiale du groupe Altarea spécialisée dans la réhabilitation.

Un projet immobilier ambitieux

Le nouveau projet pour le château du duc d’Épernon consiste en la création de 18 appartements allant du studio au 3-pièces, dont la livraison est prévue pour le second semestre 2025. Les prix commenceront à partir de 233 000 euros pour les plus petites surfaces. L’objectif principal de ce projet est de conserver le caractère historique du bâtiment tout en l’adaptant aux besoins et au mode de vie contemporain. Les façades, escaliers, toitures, planchers et le parc classé seront préservés et rénovés autant que possible. De nouvelles menuiseries seront installées, des fenêtres de toit seront ajoutées et des terrasses seront créées pour certains logements. Tout cela dans le but d’optimiser le confort, la luminosité et les performances énergétiques. Le château sera entouré de jardins individuels où il sera possible d’aménager des potagers. De plus, un grand parking végétalisé sera aménagé pour les résidents.

Un avantage fiscal pour les investisseurs privés

Les investisseurs privés intéressés par ce projet pourront bénéficier d’un régime fiscal attractif réservé aux travaux effectués sur des monuments historiques. Le montant des travaux sera déductible des revenus, tout en offrant la possibilité d’occuper le logement ou de le mettre en location. Cependant, il s’agit d’un investissement à long terme, avec l’obligation de conserver le bien dans son patrimoine pendant au moins 15 ans. De plus, un service de gestion locative sera mis en place pour faciliter la gestion du bien immobilier.

Une opportunité unique de vivre dans un cadre historique

Le projet de réhabilitation du château du duc d’Épernon à Fontenay-Trésigny offre une opportunité unique aux amateurs d’histoire et d’immobilier de vivre dans un cadre historique exceptionnel. Les futurs résidents pourront profiter de la beauté architecturale de ce bâtiment de la Renaissance tout en bénéficiant du confort moderne. Grâce à la volonté de sauvegarder le patrimoine historique, ce projet permettra de maintenir l’identité et le charme de la commune et de contribuer à son développement.

La rénovation du château du duc d’Épernon à Fontenay-Trésigny représente un projet immobilier ambitieux qui permettra de redonner vie à ce monument historique. Les futurs appartements de luxe offriront aux résidents un cadre exceptionnel alliant histoire et modernité. De plus, grâce aux avantages fiscaux offerts aux investisseurs, ce projet constitue également une opportunité intéressante sur le plan financier. En somme, la réhabilitation du château du duc d’Épernon revêt un intérêt tant sur le plan culturel que sur le plan économique.

L’ingéniosité technique de la piscine olympique révolutionne l’utilisation du chauffage

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Le centre aquatique olympique de Saint-Denis, qui accueillera les épreuves de waterpolo, de plongeon et de natation artistique pendant les Jeux Olympiques, présente une architecture singulière. Avec sa toiture en forme de vague, il ressemble à un bateau imposant. Cette toiture, unique au monde, est composée d’une structure légère en bois et s’étend sur plus de 10 000 m². Elle recouvre un bâtiment d’une emprise au sol de 17 500 m².

Une toiture optimisée pour la performance énergétique

La forme de la toiture n’est pas seulement esthétique, elle offre également des avantages en termes de performance énergétique. En effet, selon Jérôme Poignet, responsable de l’ingénierie en Île-de-France chez Bouygues Bâtiment, « la forme de la toiture permet de limiter le volume de la halle à chauffer et à ventiler. Ce volume à chauffer est ainsi réduit de 30% par rapport à une géométrie horizontale ». Cette conception permet de diminuer la consommation énergétique du bâtiment.

De plus, l’utilisation du bois comme matériau principal de la structure permet de réduire l’empreinte carbone de la construction. Le bois est en effet un matériau renouvelable et sa production nécessite moins d’énergie que celle des autres matériaux de construction. Il contribue ainsi à la transition écologique du secteur immobilier.

Un défi technique : les panneaux photovoltaïques non étanches

La toiture du centre aquatique olympique intègre également un autre aspect innovant : la présence de 2200 panneaux photovoltaïques non étanches. L’objectif est de permettre au bâtiment de pratiquer l’autoconsommation d’énergie. Cependant, ce choix représente un défi technique, car le bois est sensible aux variations d’humidité et une piscine est un environnement très humide.

Pour résoudre ce problème, de nombreux essais en laboratoire ont été réalisés afin d’éliminer tout risque de condensation. De plus, un dispositif étanche à l’air et à l’humidité a été installé par la société Foamglas. L’isolation thermique en verre cellulaire, collée à chaud, assure l’étanchéité de la toiture. Un pare-vapeur est également utilisé pour protéger la toiture de l’humidité ambiante. C’est ainsi que les panneaux photovoltaïques ont pu être installés sur cette toiture en bois, une première à cette échelle.

Un bâtiment durable et ouvert au public

Outre sa conception architecturale originale et ses performances énergétiques, le centre aquatique olympique de Saint-Denis se veut également un bâtiment durable et accessible au public. Mathieu Tommy-Martin, directeur des travaux chez Bouygues Bâtiment Île-de-France, souligne que le bâtiment a été éco-conçu dans une perspective d’héritage. Après les Jeux Olympiques, il sera utilisé par le département de la Seine-Saint-Denis, qui manque de structures aqualudiques.

Le centre aquatique comprend un bassin principal, ainsi qu’un bassin d’apprentissage plus petit destiné aux enfants. Des tribunes de 5000 places assises ont également été prévues pour créer une ambiance digne d’une arène sportive. Ce bâtiment moderne et polyvalent constitue ainsi un véritable atout pour la Seine-Saint-Denis et sa population.

Le centre aquatique olympique de Saint-Denis

Avec sa toiture en forme de vague et ses panneaux photovoltaïques non étanches, il présente une conception architecturale unique au monde. Cette toiture optimisée permet de réduire la consommation énergétique du bâtiment, tandis que les panneaux photovoltaïques lui permettent de pratiquer l’autoconsommation d’énergie.

De plus, ce bâtiment durable sera ouvert au public après les Jeux Olympiques, offrant ainsi à la Seine-Saint-Denis une nouvelle structure aqualudique. Grâce à cette réalisation, l’immobilier et la transition écologique se rejoignent pour créer un lieu moderne et responsable.

Qui devra payer les 8450 € de loyer pour un hébergement d’urgence, la mairie ou l’assurance ?

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Plongés dans un imbroglio juridique, un couple de propriétaires de gîtes à Pavilly (Seine-et-Marne) se retrouve dans une situation délicate. En effet, leur commune a été confrontée à un mouvement de terrain qui a entraîné l’affaissement d’un aqueduc quelques jours avant Noël. Cette situation met directement en danger quatre habitations, dont les occupants ont dû être évacués en urgence par la municipalité. L’un d’entre eux s’est ainsi retrouvé dans le gîte de Laurent Hérichon et de sa compagne, où il est resté jusqu’en juin.

Une facture de 8450 euros pour le gîte

La facture s’élève à 8450 euros pour ce gîte pouvant accueillir jusqu’à 6 personnes. Par ailleurs, c’est la municipalité elle-même qui a rédigé un certificat administratif accordant au propriétaire une somme de 50 euros par jour à titre de loyer pour l’occupation de son gîte. Des factures ont même été émises pour appuyer cette décision. Cependant, les propriétaires du gîte ont interprété ces documents de manière erronée, pensant que c’était la municipalité qui réglerait la somme.

Des différences entre propriétaires et locataires

Cependant, le maire de la commune, François Tierce, a précisé au Parisien: « Il est clairement stipulé que la commune s’engage à ce que M. Hérichon soit réglé, mais pas que la commune va le faire directement. Dans ce cas précis, c’est aux assurances de la personne hébergée de régler la facture car elle était propriétaire de sa demeure. Et, le cas échéant, l’assureur peut se retourner vers nous puisque l’aqueduc était municipal. » Le maire rappelle que seuls les locataires doivent être relogés par les communes et que dans ce cas précis, il était normal de se préoccuper des propriétaires également, surtout en pleine période de fêtes de fin d’année. Néanmoins, le propriétaire du gîte n’a pas été convaincu par cette argumentation juridique. Il a demandé à son locataire de quitter les lieux fin juin et a envoyé une mise en demeure à la mairie. Il envisage même de porter l’affaire devant le tribunal administratif.

L’origine de l’affaissement reste à déterminer

L’affaire est délicate, car il est crucial de déterminer l’origine de l’affaissement de terrain. La commune avait déjà connu un affaissement en 1995 à la suite de fortes pluies et d’inondations répétées avec des coulées de boue. Dans ce dernier cas, si les fortes pluies étaient également présentes, le réseau d’eaux pluviales datant de 1840 pourrait être incriminé, comme l’a souligné Le courrier cauchois en mars dernier.

Un couple de propriétaires de gîtes

En somme, un couple de propriétaires de gîtes à Pavilly se retrouve pris dans un imbroglio juridique suite à l’affaissement d’un aqueduc dans leur commune. Les propriétaires ont accueilli l’un des habitants évacués dans leur gîte et ont reçu une facture de 8450 euros. Cependant, ils pensaient que la municipalité règlerait cette somme, ce qui n’a pas été le cas. Le maire explique que les assurances du propriétaire doivent prendre en charge ces frais. L’affaire reste complexe, car il faut déterminer l’origine exacte de l’affaissement de terrain. Le réseau d’eaux pluviales datant de 1840 pourrait être en cause. Cette situation met en évidence les différences de responsabilité entre propriétaires et locataires dans les situations d’urgence.

Dix studios parisiens disponibles à la location pour un loyer mensuel inférieur à 500 euros

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Trouver un logement à louer à Paris à un prix abordable est devenu un véritable défi. Le marché locatif est tendu, avec une baisse des offres et une augmentation des loyers. Cependant, Le Figaro a relevé le défi de dénicher des logements à moins de 500 euros par mois dans la capitale. Voici quelques options intéressantes.

Une chambre chez l’habitant en échange de services

Si vous êtes prêt à rendre des services en échange d’un loyer abordable, vous pouvez opter pour une chambre chez l’habitant. Par exemple, une chambre de 13 m² au cœur de Paris, dans le 2e arrondissement, est proposée à seulement 50 euros par mois. Cependant, il faudra s’occuper des deux filles de la famille pendant 15 heures par semaine. L’appartement dispose de deux salles de bain, ce qui est un avantage non négligeable.

Une chambre chez l’habitant dans le 7e arrondissement

Dans le prestigieux 7e arrondissement de Paris, une chambre chez l’habitant est disponible pour 380 euros par mois, charges comprises. La chambre est équipée d’un micro-ondes et d’une bouilloire électrique, ce qui permet de prendre son petit-déjeuner dans sa chambre. Opter pour une chambre chez l’habitant permet de réduire le coût du loyer par rapport à la location d’un logement entier.

Un petit studio avec toilettes sur le palier

Pour un studio à un prix abordable, il est parfois nécessaire de faire des compromis. Par exemple, une studette de 9 m² dans le 8e arrondissement de Paris est proposée à 430 euros par mois. Les toilettes se trouvent sur le palier, mais elles sont réservées uniquement au locataire de la studette. Cependant, cette option permet de bénéficier d’un logement en plein centre de Paris, près de la gare Saint-Lazare.

Un studio de 9 m² dans le 16e arrondissement

Un studio meublé de 9 m² est disponible à la location dans le 16e arrondissement de Paris. La petite surface de ce logement explique son prix attractif. Cependant, il respecte les critères de décence en termes de superficie habitable, qui est d’au moins 9 m².

Un studio entièrement refait à neuf dans le 19e arrondissement

Il est possible de trouver des alternatives aux parkings à Paris pour moins de 500 euros par mois. Par exemple, un studio entièrement refait à neuf de 14 m² est proposé dans le 19e arrondissement de Paris. Ce logement offre l’opportunité de poser ses valises et de profiter d’un espace rénové.

Un studio près du Trocadéro

Un studio de 9 m² au premier étage d’un immeuble de standing est proposé pour 460 euros par mois. Un complément de loyer de plus de 76 euros a été appliqué en raison de la localisation idéale du bien, proche du Trocadéro et de tous les commerces.

Une chambre dans une colocation vers Gare du Nord

La colocation est une option intéressante pour bénéficier d’un logement plus spacieux qu’un studio tout en répartissant les frais. Dans un appartement de 120 m² près de la Gare du Nord, une chambre de 9 m² non meublée est disponible pour 470 euros par mois. Trois personnes occupent déjà cet appartement.

Un studio dans un immeuble sans ascenseur

Pour trouver un studio à un prix abordable, une option est d’accepter un immeuble sans ascenseur. Par exemple, un studio de 11 m² dans le 10e arrondissement est situé au 7e étage sans ascenseur. Il est meublé et équipé d’une cuisine. Il faudra toutefois monter les nombreux escaliers pour accéder à ce logement.

Des studettes dans le 16e arrondissement

Dans le quartier chic du 16e arrondissement, il est possible de trouver des studettes à des prix abordables. Par exemple, une studette de 10 m² avenue de Versailles est proposée pour 495 euros par mois. L’immeuble est sécurisé avec des gardiens et une caméra de surveillance. Cette option peut rassurer les parents dont l’enfant vient de quitter le nid.

En conclusion, malgré la situation tendue sur le marché locatif à Paris, il est possible de trouver des logements à moins de 500 euros par mois. Que ce soit en optant pour une chambre chez l’habitant, une studette dans un quartier prisé ou en acceptant des compromis sur la localisation ou les équipements, il est toujours envisageable de trouver un toit abordable dans la capitale.

220 logements seront construits en bois dans deux immeubles à La Défense d’ici 2027.

Deux immeubles en bois vont bientôt voir le jour à La Défense, l’un des plus grands quartiers d’affaires d’Europe situé dans les Hauts-de-Seine. Ces deux bâtiments, d’une hauteur de 45 et 39 mètres, seront reliés par un socle qui accueillera des commerces et des services. Prévus pour être livrés en 2027 à Courbevoie, ces immeubles seront dédiés au « coliving », une forme de colocation avec services très prisée par les investisseurs immobiliers et principalement destinée aux jeunes actifs et aux étudiants aisés.

La réalisation de ces tours sera confiée à Woodeum, une filiale du promoteur Altarea, et au groupe GA Smart Building. Ces deux entités ont été les premiers lauréats d’un appel à projets urbains axé sur des projets « mixtes et bas carbone », visant à réhabiliter cinq sites en périphérie de La Défense. L’établissement en charge de la gestion du quartier, Paris La Défense, a indiqué que l’infrastructure et le socle des deux bâtiments seraient en « béton ultra bas carbone », tandis que le reste de la structure sera en bois. Cette approche permet de réduire considérablement l’empreinte carbone de la construction, contrairement à la fabrication du béton qui peut générer d’importantes émissions de gaz à effet de serre. De plus, l’utilisation du bois est encouragée par la réglementation environnementale française sur les bâtiments neufs, appelée RE2020.

Paris La Défense a pour objectif de transformer ce quartier d’affaires en l’étendant à d’autres activités que les seuls bureaux. L’idée est de créer davantage de commerces et de services au pied et au sommet des tours, ainsi que de développer des logements et des espaces dédiés à la population estudiantine, qui ne cesse de croître.

Des immeubles en bois pour un quartier d’affaires en plein changement

La construction de ces deux immeubles en bois marque une évolution significative pour La Défense. Historiquement, ce quartier est principalement connu pour ses tours de bureaux abritant les sièges sociaux de grandes entreprises françaises et internationales. Cependant, la demande croissante de logements et de services a incité les autorités à revoir l’aménagement de la zone.

En optant pour des immeubles en bois, Paris La Défense adopte une approche écologique et durable de la construction. Le bois est un matériau renouvelable, qui permet de réduire considérablement les émissions de gaz à effet de serre liées à la construction. De plus, il offre une résistance structurelle équivalente au béton, ce qui en fait un choix viable pour des bâtiments de grande hauteur.

Le « coliving » : une tendance en plein essor

Le « coliving » est une forme de colocation qui propose des services supplémentaires aux locataires. Cette tendance est principalement adoptée par les jeunes actifs et les étudiants qui cherchent à vivre dans des environnements conviviaux et agréables. En optant pour le « coliving », ces derniers peuvent profiter de services tels que la conciergerie, le ménage et la blanchisserie, ce qui simplifie leur quotidien.

Les investisseurs immobiliers voient dans le « coliving » une opportunité intéressante. En effet, ce modèle permet de maximiser le rendement locatif en intégrant des services supplémentaires qui peuvent attirer une clientèle prête à payer un loyer plus élevé. De plus, la demande de logements étudiants ne cesse de croître, ce qui fait du « coliving » un investissement potentiellement rentable.

Une réglementation environnementale encourageante

La réglementation environnementale française sur les bâtiments neufs, la RE2020, a pour objectif de réduire l’impact carbone des constructions. Elle favorise les matériaux écologiques et encourage les efforts en matière d’efficacité énergétique. En optant pour des immeubles en bois, Paris La Défense s’inscrit pleinement dans cette dynamique.

Le bois, en tant que matériau de construction, est considéré comme neutre en termes d’émissions de carbone. En effet, les arbres absorbent le dioxyde de carbone de l’atmosphère tout au long de leur croissance, ce qui compense les émissions liées à la transformation du bois en matériau de construction. Ainsi, en optant pour le bois, Paris La Défense contribue à la lutte contre le changement climatique et à la réduction des émissions de gaz à effet de serre.

La transformation de La Défense : une nécessité face à l’évolution des besoins

La Défense doit s’adapter aux évolutions de la société et aux besoins changeants de sa population. Alors que le quartier est traditionnellement axé sur les affaires, il devient de plus en plus important d’y intégrer des commerces, des services et des logements. Cela permet de créer une véritable vie de quartier et de favoriser la mixité des usages.

En développant davantage de commerces et de services, Paris La Défense créer une dynamique économique supplémentaire. De plus, l’introduction de logements répond à la demande croissante de nouveaux habitants, tout en contribuant à la diversification de l’offre immobilière dans la région.

La construction de ces deux immeubles en bois à La Défense marque une véritable évolution pour ce quartier d’affaires emblématique. En optant pour le « coliving » et en intégrant des matériaux écologiques, Paris La Défense répond aux besoins émergents de la population tout en réduisant son empreinte carbone. La transformation de La Défense vers un quartier plus complet et diversifié est une opportunité à saisir pour les investisseurs immobiliers et les habitants de la région.