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Quels sont les changements à venir dans le secteur immobilier en termes d’utilisations et de services ?

Au cœur de l’innovation

Stéphane Scarella, directeur de RENT, estime que le secteur immobilier doit s’adapter et innover pour construire de manière plus efficace et durable. Il souligne la nécessité de s’adapter aux nouveaux usages et aux nouvelles façons de « consommer » l’immobilier. Selon lui, il est important de répondre non seulement aux urgences immobilières, mais également aux besoins à long terme.

Le rendez-vous de la PropTech

Le salon RENT, qui se déroulera les 8 et 9 novembre à Paris Expo Porte de Versailles, sera une vitrine des évolutions et tendances du secteur immobilier. Cette dixième édition sera placée sous le thème « Moins de carbone, plus d’idées », mettant en avant les initiatives éco-responsables. De nombreuses conférences, ateliers et discussions sur l’innovation, l’intelligence artificielle, le financement et les alternatives au crédit auront lieu lors de cet événement. Plus de 12 000 visiteurs sont attendus.

Les innovations pour concevoir et construire

Yannick Borde, responsable du développement chez RENT, souligne l’importance de la qualité des matériaux utilisés, de la performance énergétique et du confort dans la conception et la construction immobilière. Il met en avant l’utilisation de matériaux durables tels que le bois, les matériaux biosourcés et géosourcés, ainsi que le réemploi des matériaux existants. Des opérations en terre crue sont également menées, offrant une nouvelle perspective d’investissement pour l’avenir.

Produire du logement durable et abordable

Yannick Borde souligne également l’importance de la mixité sociale et générationnelle dans la production de logements. Il affirme que la difficulté d’accès au logement ne peut être résolue par une solution unique, mais que de multiples solutions doivent être explorées. Il propose de développer de nouveaux services, espaces publics et salles partagées pour répondre aux besoins des habitants. Il insiste également sur la nécessité de repenser la place de la voiture dans les programmes immobiliers, en intégrant de nouvelles formes de mobilité telles que l’autopartage et le vélo.

Tenir compte des nouveaux enjeux

Pour Stéphane Scarella, l’innovation technologique ne suffit pas. Il estime que les enjeux de l’optimisation et de la consommation énergétique ainsi que les problématiques sociales doivent être pris en compte. Il mentionne l’achat en leasing comme une alternative intéressante dans le secteur immobilier.

Yannick Borde confirme cette dynamique et souligne l’importance de concevoir des logements performants sur le plan environnemental dès la phase de conception. Il met également en avant la reconquête urbaine comme un sujet d’innovation à travailler avec les architectes, urbanistes et élus locaux. Enfin, il évoque la question du parc de logements existants et l’importance de financer la précarité énergétique, favoriser l’accession sociale à la propriété et développer une politique d’aménagement du territoire.

La vidéo intégrale de l’émission est disponible ci-dessous.

Vous pouvez louer la maison de Neymar à Bougival

La luxueuse propriété laissée par Neymar à Bougival, dans les Yvelines

Le célèbre footballeur Neymar a récemment quitté le Paris Saint-Germain, ce qui a laissé vacante sa somptueuse maison située dans la commune de Bougival, dans les Yvelines (78). Cette propriété de 780 m², répartie sur 5 étages, est actuellement disponible à la location pour un montant de 20 000 euros par mois. Avec ses 14 pièces, dont 8 toilettes, 2 salles de bain, 4 salles d’eau et 9 chambres, cette demeure de prestige est un véritable bijou immobilier.

Une maison d’architecte rénovée

En 2017, lorsque Neymar a emménagé dans cette maison d’architecte construite en 1993 et entièrement rénovée en 2014, il versait un loyer mensuel de 14 000 euros. Depuis, le loyer a été augmenté de 6 000 euros, ce qui en fait une résidence exclusive et hors de portée pour bon nombre de personnes. En plus du loyer élevé, un dépôt de garantie de 40 000 euros est requis, ainsi que des frais d’honoraires de 9 360 euros et des frais d’état des lieux de 2 340 euros, comme l’a remarqué Sportune, un média spécialisé dans l’actualité sportive. Si vous souhaitez résider dans un lieu chargé de l’esprit de Neymar, il faudra donc payer le prix fort.

Des installations de luxe

Outre ses dimensions exceptionnelles, cette propriété de 5 000 m² de terrain paysager dispose d’une piscine intérieure chauffée, d’un home cinéma, d’une cave à vins et d’une dépendance comprenant deux chambres. La cuisine entièrement équipée mesure même 31 mètres carrés. À l’étage, une suite de 79 m² comprend une chambre de 40 m², une salle de bain, des toilettes et un double dressing. Les amateurs de sport seront ravis de trouver une salle de sport dans cette villa de rêve. Quatre parkings et un ascenseur desservant tous les niveaux complètent les installations de cette propriété haut de gamme.

Un voisinage perturbé

Cependant, il semble que Neymar n’ait pas été le locataire le plus discret. Les habitants de Bougival se sont souvent plaints des soirées bruyantes organisées par le footballeur. Le maire de la commune, Luc Wattelle, a même qualifié Neymar d’« individu irrespectueux ». Espérons que le prochain locataire sera moins dérangeant pour le voisinage.

La maison de Neymar à Bougival

C’est un bien immobilier d’exception, mais il convient de noter que le loyer mensuel élevé de 20 000 euros ainsi que les frais supplémentaires dissuaderont certaines personnes. Avec ses installations de luxe et ses dimensions impressionnantes, cette propriété représente un véritable symbole de prestige et de confort. Néanmoins, il faudra prendre en compte l’expérience passée avec Neymar, qui a laissé une impression mitigée sur ses voisins en raison de ses soirées bruyantes. Si vous êtes intéressé par cette propriété unique, il est conseillé de prendre en compte ces éléments avant de faire une décision.

Le Pays basque adopte également la mesure d’encadrement des loyers

Encadrement des loyers : 24 communes du Pays basque français autorisées à appliquer la mesure

Lentement mais sûrement, de plus en plus de villes optent pour l’encadrement des loyers. Vingt-quatre communes du Pays basque français vont désormais pouvoir appliquer le plafonnement des loyers, suite à la publication d’un décret au Journal officiel. Cette décision fait suite à une demande des élus locaux, préoccupés par la pénurie de logements et désirant protéger le pouvoir d’achat des locataires. Le ministère chargé du Logement s’est réjoui de cette possibilité d’encadrer les loyers, affirmant qu’elle permettra de maîtriser leurs hausses et de protéger les habitants.

Les communes concernées par cette autorisation sont Ahetze, Anglet, Arbonne, Arcangues, Ascain, Bassussarry, Bayonne, Biarritz, Bidart, Biriatou, Boucau, Ciboure, Guéthary, Hendaye, Jatxou, Lahonce, Larressore, Mouguerre, Saint-Jean-de-Luz, Saint-Pierre-d’Irube, Urcuit, Urrugne, Ustaritz et Villefranque.

Une mesure réclamée depuis longtemps

Le ministre délégué chargé du Logement, Patrice Vergriete, avait annoncé fin août la prochaine mise en place de cette mesure. Celle-ci permettra aux collectivités de fixer des loyers de référence par mètre carré, qui ne pourront être dépassés, sauf dans certains cas exceptionnels. De nombreux élus locaux du Pays basque réclamaient depuis longtemps cette mesure, car la multiplication des résidences secondaires et des meublés touristiques est accusée d’entraver l’accès au logement pour les habitants. Le ministère a précisé que le montant des loyers de référence sera fixé par un arrêté d’ici 2024.

Une mesure encore expérimentale

Le plafonnement des loyers est déjà appliqué dans les communes de Paris, Lille, Lyon, Villeurbanne, Montpellier, Bordeaux, ainsi que dans les intercommunalités de Seine-Saint-Denis Plaine Commune et Est Ensemble. Pour l’instant, il s’agit d’une « expérimentation » à l’échelle nationale, qui durera jusqu’en 2026. À cette date, le gouvernement pourra décider de la pérenniser. Patrice Vergriete, engagé dans un processus de décentralisation de la politique du logement, est favorable à ce que les collectivités puissent librement décider d’appliquer le plafonnement des loyers, sans avoir à demander l’autorisation de l’État.

Conclusion

L’encadrement des loyers se répand peu à peu en France, et vingt-quatre communes du Pays basque français vont désormais pouvoir appliquer cette mesure. Les élus locaux se félicitent de cette décision, qui leur permettra de maîtriser les hausses de loyers et de protéger le pouvoir d’achat des locataires. Cette mesure était attendue depuis longtemps, en raison de la multiplication des résidences secondaires et des meublés touristiques qui empêchent les habitants de se loger correctement. Le plafonnement des loyers est déjà en vigueur dans plusieurs autres villes, mais reste une expérimentation au niveau national jusqu’en 2026. Patrice Vergriete souhaite que les collectivités aient la liberté de décider d’appliquer ou non cette mesure sans avoir à demander l’autorisation de l’État. Cette évolution de la politique du logement montre un pas de plus vers la décentralisation du processus décisionnel.

Sa maison a été accidentellement démolie alors qu’elle était en vacances.

Susan revient de vacances et découvre avec stupeur que sa propriété familiale a été complètement détruite, laissant place à des décombres dans le sud-ouest d’Atlanta, aux États-Unis. Cette situation choquante est signalée par un voisin qui contacte Susan pendant son congé, lui demandant si elle avait fait appel à une entreprise pour démolir sa maison. Susan, surprise, répond par la négative, mais le voisin lui assure que quelqu’un vient pourtant de démolir sa maison. Les ouvriers sur le chantier n’ont pas tenu compte de sa demande d’arrêter la démolition.

La surprise de Susan se transforme en colère et en inquiétude. Elle envoie un membre de sa famille sur place pour évaluer les dégâts et vérifier le permis de démolir. Il s’avère que le permis est bien réel, mais pour une autre adresse. La maison de Susan était en parfait état et entretenue, il n’y avait aucune raison de penser qu’elle était abandonnée. Elle était en règle avec le paiement de ses impôts. Aujourd’hui, elle se retrouve avec des ruines et craint que des conduites d’eau ou de gaz aient été endommagées.

Actuellement, Susan n’a reçu aucun dédommagement pour le préjudice causé. Même si elle a porté plainte auprès de la police, l’entreprise responsable de la destruction de sa maison ne lui a pas donné suite. Susan exprime son incrédulité face à cette situation en déclarant: « C’est difficile de croire que quelqu’un a pu venir détruire ma propriété en pensant en avoir le droit et s’en aller sans dire: Je suis désolé, qu’est-ce que je peux faire pour résoudre ce problème? C’était un accident. Ils ne m’ont rien donné » (Associated Press). L’entreprise aurait déclaré à Fox 5 Atlanta qu’une enquête était en cours pour déterminer comment une telle erreur a pu se produire, et qu’elle travaillait à résoudre cet accident.

La destruction de la maison de Susan met en évidence un problème grave dans le secteur de l’immobilier. Les erreurs de démolition peuvent entraîner des conséquences catastrophiques pour les propriétaires qui voient leurs biens détruits sans justification. Cette affaire soulève également la question de la responsabilité des entreprises qui effectuent ces travaux et leur devoir de réparer les dommages causés.

Les conséquences dramatiques de la destruction d’une maison sans justification

L’histoire de Susan est malheureusement loin d’être un cas isolé. De nombreuses personnes sont confrontées à des situations similaires où leur propriété est démolie sans leur consentement. Outre les dégâts matériels, ces incidents peuvent avoir des répercussions émotionnelles et financières significatives pour les propriétaires.

Dans le cas de Susan, non seulement elle doit faire face à la perte de sa maison, mais elle est également confrontée à des problèmes potentiels tels que des conduites d’eau ou de gaz rompues. Ces problèmes peuvent nécessiter des réparations coûteuses et engendrer des dépenses supplémentaires pour rétablir les services.

De plus, les propriétaires touchés par de telles situations doivent souvent engager des avocats pour obtenir une indemnisation et demander des comptes aux entreprises responsables. Cela entraîne des frais juridiques supplémentaires et des démarches administratives longues et laborieuses.

L’importance d’une enquête approfondie et de la responsabilité des entreprises

Dans le cas de Susan, l’entreprise qui a démoli sa maison a déclaré qu’une enquête était en cours pour comprendre comment une telle erreur a pu se produire. Cette enquête est cruciale pour déterminer les responsabilités et les mesures qui devraient être prises pour résoudre cette situation.

Il est essentiel que les autorités compétentes mènent une enquête approfondie et impartiale pour comprendre les circonstances entourant la démolition de la maison de Susan. Cela permettra non seulement d’établir la responsabilité des ouvriers sur le chantier, mais aussi de veiller à ce que des mesures soient prises pour éviter que de telles erreurs ne se reproduisent à l’avenir.

Les entreprises du secteur de la démolition doivent également être tenues responsables de leurs actions. Elles ont l’obligation de respecter les procédures légales et de s’assurer que les biens sont correctement identifiés avant d’entreprendre toute démolition. En cas de dysfonctionnement ou d’erreur humaine, elles doivent assumer les conséquences de leurs actes et fournir une indemnisation adéquate aux propriétaires affectés.

La nécessité d’une réglementation rigoureuse et de vérifications approfondies

Pour éviter ces incidents malheureux, il est nécessaire de mettre en place une réglementation rigoureuse dans le secteur de l’immobilier et de la démolition. Les autorités compétentes doivent veiller à ce que les entreprises respectent les normes de sécurité et les procédures légales lorsqu’elles effectuent des travaux de démolition.

De plus, des vérifications approfondies doivent être effectuées avant d’autoriser toute démolition. Cela inclut la vérification des permis, des adresses et de l’état des propriétés concernées. Les erreurs d’identification ou de localisation des biens doivent être évitées à tout prix.

Enfin, il est essentiel d’établir des sanctions sévères pour les entreprises qui ne respectent pas les règles et qui causent des préjudices aux propriétaires. Cela dissuadera les entreprises de négliger les vérifications nécessaires et de prendre des risques inutiles lors de leurs travaux.

Conséquences dramatiques

La situation vécue par Susan met en lumière les conséquences dramatiques de la destruction d’une maison sans justification. Les propriétaires se retrouvent non seulement confrontés à la perte de leur propriété, mais aussi à des problèmes financiers et émotionnels considérables.

Il est impératif que les autorités compétentes mènent des enquêtes approfondies pour établir les responsabilités et prendre des mesures pour éviter que de telles erreurs ne se reproduisent. Les entreprises du secteur de la démolition doivent également être tenues responsables de leurs actes et fournir une compensation adéquate aux propriétaires affectés.

Enfin, il est nécessaire de mettre en place une réglementation rigoureuse et des vérifications approfondies pour garantir la sécurité des propriétés et éviter ces incidents malheureux à l’avenir. Seules ces mesures permettront d’assurer la protection des propriétaires et de garantir l’intégrité de leurs biens.

Un propriétaire squattant son propre logement locatif pour bénéficier de la protection de la loi.

Propriétaire en difficulté financière : quand la situation dégénère

Dans le domaine de l’immobilier, il n’est pas rare que des propriétaires se retrouvent confrontés à des impayés de loyer de la part de leurs locataires. Face à cette situation délicate, certains d’entre eux peuvent être tentés de trouver des solutions plus ou moins légales pour se sortir de l’impasse. C’est le cas de cet homme qui a démonté le toit du logement de sa locataire, ou de cet autre propriétaire qui a retiré les fenêtres de la maison qu’il louait.

Un nouveau cas de squat de son propre bien

Cette fois-ci, c’est à Nice, sur la célèbre promenade des Anglais, qu’un propriétaire a décidé de prendre les choses en main en changeant la serrure du studio qu’il loue. Depuis mercredi dernier, il se déclare ainsi squatteur de son propre bien. Conscient que cette démarche est illégale, le propriétaire, prénommé Dany, explique : « J’ai bien dit à la police que j’étais donc squatteur de mon propre appartement, mais que c’est la seule solution que j’avais trouvée ».

Une situation financière précaire

Dany a acheté ce logement il y a environ un an et a connu plusieurs mésaventures depuis son acquisition. Après des travaux de rénovation, il décide de le mettre en location en février. Un entrepreneur se montre intéressé et devient le locataire. Cependant, dès le mois suivant, Dany rencontre des difficultés pour percevoir les loyers. Malgré les excuses de son locataire, notamment une hospitalisation suite à une jambe cassée, Dany parvient tant bien que mal à être payé jusqu’en août.

Une situation qui empire

Depuis le mois d’août, Dany ne perçoit plus aucun loyer de la part de son locataire. Cette situation met le propriétaire dans une situation financière précaire, car malgré l’absence de revenus locatifs, il doit continuer à rembourser le crédit contracté pour l’achat du studio ainsi que les charges. Désespéré, Dany décide de prendre les choses en main et entre dans le studio pendant l’absence du locataire. Il change la serrure et prévient son locataire, qui réagit violemment en proférant des menaces de mort à son encontre. Le locataire tente même de forcer le volet et d’ouvrir la porte avec une perceuse. Malgré ces pressions, Dany reste déterminé et refuse de quitter les lieux par crainte d’une intrusion du locataire.

Se faire justice soi-même : une mauvaise idée

Il est important de souligner qu’il est fortement déconseillé de se faire justice soi-même dans ce genre de situation. Maître Valérie Moulines Denis, avocate spécialisée en droit immobilier, rappelle qu’il est impossible d’être « squatteur » de son propre bien. Il est légalement interdit de reprendre possession de son bien en changeant la serrure, car cela équivaut à une expulsion illégale. Dans le cas présent, le propriétaire s’expose à des poursuites judiciaires de la part de son locataire.

Face à des impayés de loyer

Les propriétaires peuvent se retrouver dans des situations financières difficiles s’ils ne perçoivent plus leur loyers. Cependant, il est essentiel de respecter la loi et de ne pas chercher à se faire justice soi-même. En cas de litige avec un locataire, il est préférable de recourir aux procédures légales, telles que le dépôt d’une plainte auprès des autorités compétentes. Seul un recours en justice permettra de régler le différend de manière équitable et légale.

Le permis de leur maison, qu’ils ont achevée, est annulé à cause de leurs voisins.

Permis de construire annulé: les propriétaires risquent de dédommager leurs voisins

Dans la petite commune de Saint-Germain-et-Mons, en Dordogne, Jérémy et Luana pensaient avoir suivi toutes les règles pour construire leur maison. Ils ont obtenu un permis de construire en décembre 2022 et ont commencé les travaux en février de l’année suivante. Mais leur rêve s’est rapidement transformé en cauchemar lorsque deux de leurs voisins ont décidé de contester la construction de la maison.

Un recours contentieux déposé par les voisins devant le tribunal administratif a entraîné l’annulation du permis de construire. Le tribunal s’est basé sur le Plan local d’urbanisme qui vise à préserver les espaces agricoles et à limiter le développement urbain résidentiel dans les communes rurales de la région. Cette décision a été un véritable coup dur pour Jérémy et Luana.

La démolition de la maison n’est pas obligatoire

La principale question qui se pose maintenant est de savoir si la maison devra être démolie. Selon Maître Julien Guégan, avocat en droit d’urbanisme, l’annulation du permis de construire ne conduit pas automatiquement à la démolition de la maison. Si les plaignants souhaitent la démolition, ils devront se tourner vers un tribunal judiciaire. Cependant, il est rare qu’une telle décision soit prise, car cela compromettrait les projets des promoteurs.

Les propriétaires pourraient devoir dédommager leurs voisins

Malgré l’annulation du permis de construire, Jérémy et Luana devraient peut-être dédommager leurs voisins. L’un des plaignants souhaite que les propriétaires les dédommagent, tandis que l’autre est prêt à trouver un arrangement. Dans tous les cas, les propriétaires risquent d’avoir à verser une somme d’argent à leurs voisins. Cependant, cette compensation financière ne remet pas en cause l’annulation du permis de construire.

Une épée de Damoclès au-dessus des propriétaires

Cette situation est une véritable épée de Damoclès au-dessus de la tête des propriétaires. Non seulement ils doivent faire face à la possibilité de devoir payer une indemnité à leurs voisins, mais ils risquent également de subir un préjudice financier important. En effet, la décision de justice pourrait avoir un impact sur la valeur de leur maison et rendre difficile la réalisation de travaux ou la vente de leur logement.

La possibilité de se retourner contre la mairie

Si les propriétaires estiment que la mairie a commis une faute, ils peuvent se retourner contre elle et réclamer une indemnité auprès du tribunal administratif. Cette démarche peut être longue et complexe, mais c’est une option à considérer pour obtenir une forme de compensation.

Se renseigner sur son voisinage avant d’acheter

Cette histoire montre à quel point il est important de se renseigner sur son voisinage avant d’acheter un terrain et de construire une maison. Les propriétaires peuvent limiter le risque d’annulation du permis en s’entourant d’un architecte et éventuellement d’un avocat spécialisé en droit d’urbanisme. Cependant, malgré toutes les précautions prises, il est toujours possible de se retrouver face à des contestations et à des problèmes juridiques. Dans ce cas, il est essentiel de faire appel à un avocat compétent pour défendre ses droits et trouver la meilleure solution possible.

Une magnifique résidence provençale, disponible à l’achat pour 10,4 millions d’euros, à proximité d’Aix-en-Provence.

Une bastide d’exception à proximité d’Aix-en-Provence

Située au Tholonet, commune limitrophe d’Aix-en-Provence, cette bastide du 18e siècle offre un cadre idyllique à ses occupants. Avec ses grands espaces et sa verdure, elle représente tout le charme et l’authenticité d’une véritable propriété rurale. Malgré son caractère rural, elle se trouve à seulement quelques kilomètres du centre d’Aix-en-Provence, avec un accès facile à l’autoroute et à la gare TGV. Cependant, toutes ces qualités se paient au prix fort, car cette propriété de 755 m² située sur un terrain de 4 hectares est actuellement proposée à la vente pour 10,4 millions d’euros par l’agence aixoise du réseau Sotheby’s International Realty.

Une rareté sur le marché immobilier d’Aix-en-Provence

Victor Pecnard, co-dirigeant de l’agence Aix-en-Provence Sotheby’s International Realty, se réjouit de pouvoir proposer un bien aussi unique sur le marché immobilier d’Aix-en-Provence. En effet, cette bastide est très rarement disponible à la vente et est considérée comme l’une des plus belles propriétés de la région. Pendant deux siècles, elle est restée aux mains du baron de Vitrolles avant d’être rachetée par les propriétaires actuels. Ces derniers ont entrepris d’importants travaux pour remettre la propriété aux normes, installer la climatisation et les pompes à chaleur, ainsi que construire une piscine avec une vue imprenable.

Une adresse prestigieuse sur la route Cézanne

L’adresse de cette bastide n’est autre que la route Cézanne, du nom du célèbre peintre qui a immortalisé la montagne Sainte-Victoire, visible depuis la propriété. Certains endroits de la bastide offrent une vue digne d’une toile de Cézanne, donnant ainsi un charme supplémentaire à cette propriété de renom. La bastide se compose de trois unités : la bastide elle-même avec ses volumes confortables mais discrets, une maison d’amis de 100 m² et une maison de gardien de la même superficie. Au total, le bien offre 15 pièces et 10 chambres, ce qui en fait un lieu idéal pour accueillir des retrouvailles familiales.

Un parc clos et sécurisé aux essences provençales

Le parc qui entoure la propriété est d’une superficie de 4 hectares et est composé de différentes essences typiques de la Provence, telles que des pins, des cyprès, des oliviers et des vignes. Malgré le ralentissement du marché immobilier actuel, les agents immobiliers estiment qu’un bien de cette envergure ne devrait pas tarder à trouver preneur. Cependant, certains acheteurs potentiels peuvent être sensibles au bruit provenant de la route en contrebas, ainsi qu’à la proximité de la ville. De plus, malgré la splendeur du panorama offert par la propriété, les coucher de soleil ne sont pas aussi impressionnants que certains pourraient le souhaiter. Néanmoins, à 10,4 millions d’euros, ce sont des compromis qui peuvent être envisageables pour une clientèle fortunée.

Cette bastide d’exception située au Tholonet

Elle offre un cadre incomparable à ses futurs propriétaires. Avec son charme et son authenticité, cette propriété du 18e siècle ravira les amateurs de tranquillité et de nature tout en restant à proximité des commodités d’Aix-en-Provence. Malgré son prix élevé, elle représente une opportunité rare sur le marché immobilier de la région. Nul doute que cette bastide trouvera rapidement preneur parmi les acheteurs fortunés à la recherche d’un bien d’exception en Provence.

6 conseils incontournables pour réduire immédiatement votre facture de chauffage collectif

Encouragements à la sobriété énergétique en copropriété : quelques consignes de bon sens pour faire des économies

La communication gouvernementale concernant les encouragements à la sobriété énergétique en copropriété s’est faite beaucoup plus discrète, laissant de nombreux ménages français confrontés à des contraintes budgétaires plus fortes que jamais. Dans cet article, nous vous proposons de découvrir certaines informations qui vous permettront de réaliser des économies sensibles en copropriété. De la gestion de la saison de chauffe à l’individualisation des frais de chauffage, en passant par l’optimisation du réglage du chauffage et l’économie d’eau chaude, nous vous donnons toutes les clés pour réduire votre consommation et votre facture énergétique.

1. Retarder le démarrage de la saison de chauffe

Traditionnellement, la mi-octobre est le point de référence pour débuter la saison de chauffe. Cependant, rien ne vous empêche de retarder un peu son démarrage. En effet, les pouvoirs publics encouragent même les grands bailleurs à décaler le début de la saison de chauffe vers le 1er novembre. Bien sûr, cela peut représenter un pari, car il peut y avoir des premières journées très froides, mais retarder de 15 jours le démarrage de la saison de chauffe peut vous permettre de réaliser des économies non négligeables.

2. Chauffer à la bonne température, au bon moment et au bon endroit

Il est essentiel de connaître les recommandations gouvernementales pour le réglage du chauffage. En journée, la température recommandée est de 19°C, et elle est de 16°C la nuit ou lorsque vous n’êtes pas sur place. Cependant, il est important de privilégier une température confortable de 20 ou 21°C dans la pièce à vivre et de baisser la température ailleurs dans la maison. Si votre chauffage est programmable, il est préférable de l’anticiper et de le programmer au plus près de vos besoins.

3. S’équiper en robinets thermostatiques

Pour optimiser votre chauffage, investissez dans des robinets thermostatiques. Vous pouvez trouver des robinets thermostatiques simples autour de 75 euros, qui vous permettront de fixer précisément la température de chaque radiateur. Si vous souhaitez un robinet connecté localement en Bluetooth, pilotable lorsque vous êtes à côté de l’installation, prévoyez plutôt une centaine d’euros. Enfin, pour une version totalement connectée, avec une centrale coordonnant le tout et un système pilotable à distance avec votre smartphone, le coût sera d’environ 140 euros par radiateur. Il est important de rappeler d’éviter la présence d’objets, de meubles ou de canapés à proximité des radiateurs pour optimiser leur rayonnement. De plus, disposer d’une petite sonde ou d’un thermomètre pour mesurer les températures par pièce peut être très utile. Il est également bon de rappeler qu’en réduisant d’un degré la température, vous pouvez économiser jusqu’à 7% sur votre facture énergétique.

4. Le désembouage, une opération à ne pas négliger

Le désembouage consiste à faire passer de l’eau sous haute précision dans le circuit de chauffage pour éliminer les boues et impuretés qui encrassent les chauffages, diminuant ainsi leur efficacité. En moyenne, dans une copropriété d’une trentaine de lots, le coût d’un désembouage ne dépasse pas une trentaine d’euros par copropriétaire. Il est recommandé d’effectuer cette opération au moins tous les deux ans.

5. Envisager l’individualisation des frais de chauffage

L’individualisation des frais de chauffage, qui consiste à installer des boîtiers de mesure sur les chauffages, est encore peu répandue mais obligatoire. Cette démarche permet à chaque copropriétaire de connaître sa consommation individuelle et favorise une forme de responsabilisation et d’implication de chacun. En suivant pas à pas leur consommation, les utilisateurs de ces boîtiers sont ensuite plus sensibilisés à la nécessité d’isoler leur copropriété, d’installer des robinets thermostatiques ou de changer leurs fenêtres. De plus, l’installation de ces sondes permet d’éditer un rapport annuel pour comparer sa consommation avec celle de ses voisins ou avec la consommation moyenne.

6. L’eau chaude, une autre source d’économie

Il ne faut pas négliger la consommation d’eau chaude, qui peut représenter jusqu’à 70% de la facture dans les habitations récentes très bien isolées et peu énergivores. Pour réduire cette consommation, privilégiez la douche plutôt que le bain et équipez-vous d’un régulateur de débit ou mousseur. Ces dispositifs permettent de réduire la consommation d’eau de 18 litres par minute à seulement 6 ou 9 litres par minute, tout en conservant une sensation de confort. De plus, le calorifugeage des canalisations d’eau chaude est une opération rentable, souvent subventionnée par le mécanisme des Certificats d’économie d’énergie.

Du bon sen

En mettant en pratique ces différentes consignes de bon sens, vous pourrez réaliser des économies sensibles en copropriété. Du simple retard de la saison de chauffe à l’individualisation des frais de chauffage, en passant par l’optimisation du réglage du chauffage et l’économie d’eau chaude, il est possible d’agir à différents niveaux pour réduire votre consommation énergétique et votre facture. Il est temps d’adopter une démarche responsable pour préserver notre environnement et notre pouvoir d’achat.

Le DPA pourrait être une prochaine préoccupation après le DPE.

Le maintien à domicile des personnes âgées est un enjeu majeur de notre société, mais il reste encore complexe à mettre en place. C’est pourquoi la start-up Alogia propose un outil digital novateur pour accompagner les seniors et les aidants dans cette démarche.

Un diagnostic de performance autonomie

Alogia s’est inspiré du diagnostic de performance énergétique (DPE) pour créer son propre outil appelé diagnostic de performance autonomie (DPA). Sur leur site internet, les utilisateurs peuvent réaliser gratuitement ce DPA qui leur permettra d’évaluer leur degré d’autonomie et d’obtenir des recommandations personnalisées pour améliorer leur situation.

Pour déterminer le score du DPA, plusieurs facteurs sont pris en compte tels que le profil de la personne, son type d’habitat, les liens sociaux qu’elle entretient et l’état de ses finances. Cet état des lieux permettra ainsi aux seniors et aux aidants de disposer d’une vision globale de la situation actuelle et de prendre les mesures nécessaires pour favoriser le maintien à domicile.

Transition énergétique et démographique

Alexandre Petit, président d’Alogia Groupe, explique que l’idée de créer cet outil est née du constat que nous vivons à la fois une période de transition énergétique et une période de transition démographique avec le vieillissement de la population. En effet, selon une étude, 90% des Français souhaitent pouvoir rester chez eux lorsqu’ils seront âgés.

Vieillir à domicile est un désir très fort pour la plupart des personnes âgées. En effet, selon le sociologue Serge Guérin, spécialiste des seniors, 0% des 18-25 ans envisagent de vivre en maison de retraite. De plus, cette solution est souvent moins coûteuse pour les pouvoirs publics, sauf dans le cas de pathologies très lourdes.

Il est important de souligner que l’espérance de vie en bonne santé des seniors ne cesse d’augmenter. Par conséquent, le sujet du maintien à domicile restera d’actualité dans les années à venir, d’autant plus que dès 2027, le nombre de personnes âgées de plus de 65 ans dépassera celui des moins de 20 ans.

Des pistes pour bien vieillir à domicile

Le Manifeste pour la liberté de vieillir chez soi, rédigé par Laurent Permasse, met en lumière les difficultés auxquelles sont confrontées les personnes âgées souhaitant rester à domicile. En effet, les maisons de retraite ne peuvent pas constituer la solution globale au vieillissement de la population.

Cet ouvrage propose donc des pistes pour aider les seniors à bien vieillir à domicile. Il met en avant l’importance de mobiliser ses ressources, de se faire aider et d’entretenir sa mobilité. Ces recommandations correspondent également aux préoccupations de la start-up Alogia, qui permet, grâce à son outil digital, d’accompagner les seniors dans la mise en place de ces actions.

Un parcours du combattant

Malgré l’émergence de solutions comme celle proposée par Alogia, il reste difficile pour les seniors de bien vieillir à domicile. Le vieillissement demeure un sujet tabou dans notre société, et les pouvoirs publics ont encore du mal à trouver des solutions adaptées à cette problématique.

Il est donc nécessaire de sensibiliser le grand public sur cette question et de mettre en place des dispositifs d’accompagnement efficaces. L’outil digital développé par Alogia représente une avancée dans ce sens, mais il ne peut pas résoudre tous les problèmes. Il est important de combiner les efforts de tous les acteurs impliqués pour permettre aux personnes âgées de vivre dignement et confortablement chez elles.

Le maintien à domicile des personnes âgées

C’est un défi de taille pour notre société. La start-up Alogia propose une solution innovante avec son outil digital de diagnostic de performance autonomie. Cet outil permet aux seniors et aux aidants d’évaluer leur situation actuelle et de prendre les mesures nécessaires pour favoriser le maintien à domicile.

Il est essentiel de prendre en compte la transition démographique que nous vivons actuellement, avec le vieillissement de la population. Les seniors sont de plus en plus nombreux à souhaiter rester chez eux, et il est important de mettre en place des dispositifs d’accompagnement adaptés à cette problématique.

Malgré les avancées réalisées, vieillir à domicile reste un parcours du combattant pour de nombreuses personnes. Il est donc primordial de sensibiliser la société sur cette question et de travailler ensemble pour trouver des solutions efficaces. L’outil développé par Alogia est une première étape dans cette direction, mais de nombreux efforts restent à fournir pour permettre aux seniors de vivre dignement et confortablement chez eux.

L’impossibilité d’annuler un prêt en raison de travaux mal faits

La responsabilité de la banque dans le déblocage d’un prêt de travaux remis en question

La Cour de cassation a récemment jugé qu’une banque n’est pas tenue de supporter les conséquences des résultats médiocres d’un prêt de travaux si elle a commis une faute lors de son déblocage. Cette décision rendue le 27 septembre remet en question la responsabilité de la banque dans ce domaine.

L’affaire en question portait sur l’installation d’une production d’électricité privée à l’aide de panneaux photovoltaïques. Après la réalisation de cette installation, un particulier avait obtenu un prêt du montant de la facture auprès de sa banque. Cependant, trois ans plus tard, estimant que le rendement promis n’était pas atteint, il avait saisi la justice pour faire annuler le contrat de travaux et, par conséquent, le contrat de prêt.

Le contrat de travaux ne respectait pas toutes les formalités exigées pour un contrat signé à la suite d’un démarchage. Le particulier soutenait donc que la banque aurait dû s’en rendre compte et refuser de financer l’installation. Par conséquent, il refusait de rembourser le prêt. Cette argumentation a souvent été acceptée par la jurisprudence, qui a jugé que si la banque avait commis une faute en débloquant les fonds en présence d’un contrat non conforme aux lois de protection du consommateur, ou sans vérifier la bonne exécution des travaux, ou encore si les travaux n’étaient pas terminés ou conformes au contrat, l’obligation de rembourser pouvait être annulée.

Cependant, dans cette affaire, les travaux étaient achevés au moment de la demande de financement, et le consommateur s’était déclaré satisfait. Ainsi, il n’est pas certain que la banque puisse être tenue responsable des problèmes apparus ultérieurement. Le lien entre la faute de la banque et le préjudice n’est pas évident dans ce cas précis. En octobre 2020, la Cour de cassation avait déjà jugé que pour reprocher quelque chose à la banque et tenter de ne pas la rembourser, le consommateur devait lui-même ne pas être responsable du problème.

Une jurisprudence remise en question

Cette décision de la Cour de cassation remet en question la jurisprudence établie jusqu’à présent dans ce domaine. En effet, elle établit qu’une banque n’est pas automatiquement responsable des mauvais résultats d’un prêt de travaux si elle a commis une faute lors de son déblocage. Cette responsabilité doit être examinée au cas par cas et le lien entre la faute de la banque et le préjudice doit être clairement établi.

Les conséquences de cette décision sont importantes pour les particuliers qui ont contracté un prêt de travaux et qui rencontrent des problèmes ultérieurs. Ils devront désormais prouver que la banque a commis une faute ayant directement causé le préjudice subi. Cette tâche peut s’avérer complexe et nécessiter l’intervention d’un avocat spécialisé dans le droit de la consommation.

Il est donc recommandé aux consommateurs de vérifier scrupuleusement les contrats de travaux et les contrats de prêt avant de s’engager. Ils doivent s’assurer que toutes les formalités légales ont été respectées et que les travaux sont conformes aux engagements pris par l’entrepreneur. En cas de doute, il est préférable de demander conseil à un professionnel compétent.

La décision de la Cour de cassation

Elle remet en question la responsabilité automatique des banques dans les cas de mauvais résultats d’un prêt de travaux. Les consommateurs doivent désormais prouver que la banque a commis une faute ayant directement causé le préjudice subi. Cette décision souligne l’importance pour les particuliers de vérifier attentivement les contrats avant de s’engager et de demander conseil si nécessaire. Il est indispensable de bien se renseigner sur ses droits et devoirs en tant que consommateur afin de pouvoir faire valoir ses droits en cas de litige.