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Une octogénaire prend une décision courageuse en vendant sa magnifique maison basque à perte

Amélie vend sa maison à Ahetze dans le Pays basque pour une somme bien moindre qu’elle aurait pu prétendre

Amélie, une octogénaire, a pris la décision de se séparer de sa magnifique propriété située à Ahetze, dans le Pays basque, pour une somme bien moindre que celle à laquelle elle aurait pu prétendre. Ce choix financier la pénalise, mais elle en est fière. D’après Lausséni Sangaré, le directeur du bailleur social Habitat Sud Atlantique (HSA), «Si elle avait vendu sa maison et son terrain au prix du marché actuel, elle aurait gagné au moins quatre fois plus». Pour lui, c’est une situation exceptionnelle qui est rare de voir en France et dans sa carrière professionnelle.

Une décision réfléchie

Pour Amélie, vendre sa maison à un prix largement inférieur à sa valeur est un geste tout naturel. Elle explique : « Quand on vieillit, on ne mange pas du foie gras ou du caviar tous les jours. On mène une vie simple ». Pourtant, la municipalité d’Ahetze et Lausséni Sangaré étaient inquiets quant à la santé mentale d’Amélie, âgée de 81 ans. Ils ont cherché à s’assurer que sa décision était éclairée. Cependant, pour l’octogénaire, cela a été du pur bon sens. Elle affirme qu’elle n’a jamais rien fait comme les autres et agit en âme et conscience.

Un geste pour l’avenir

Pourquoi a-t-elle choisi de rogner sur sa marge financière? Amélie explique clairement : «On voit trop de scandales, de jeunes qui ne peuvent pas accéder à la propriété. C’est un drame épouvantable qui se joue. Je ne fais pas de politique, mais on est en train de perdre notre âme au Pays basque». Elle a donc fait une proposition inattendue à Habitat Sud Atlantique en cédant son bien contre une rente, permettant au bailleur social de démolir la propriété pour développer un programme comprenant deux logements locatifs sociaux et d’autres installations.

Le projet « Oroitzen »

Cette proposition ressemble à un viager libre qui offre la possibilité au bailleur d’édifier une nouvelle résidence sociale. Ce concept est né après qu’Amélie ait reçu un courrier d’une agence immobilière lui proposant de vendre son bien à un prix élevé en raison de sa surface. Cela l’a mise dans une colère noire en raison de la crise du logement qui sévit dans la région. La résidence portera le nom qu’Amélie a choisi : «Oroitzen» (je m’en souviens), en hommage à ses parents. Elle inclura plusieurs installations, y compris un local médical pour quatre praticiens, 20 places de parking et un jardin partagé pour les habitants. Le permis de construire doit être déposé dans les prochaines semaines et la livraison est prévue pour fin 2025.

Découvrez la remarquable restauration du seul théâtre de Paris peint en bleu

Une ode à l’art déco au cœur du théâtre parisien

Le théâtre Daunou, niché à deux pas de la place Vendôme, est un petit joyau dans le monde du théâtre parisien. Ce théâtre de comédie, qui accueille environ 450 spectateurs, est un exemple parfait de l’art déco. Construite en 1921, cette salle est empreinte d’histoire et a été marquée par des femmes influentes, de la célèbre actrice du cinéma muet Jane Renouardt, qui en a commandé la construction, à Jeanne Lanvin, qui en a assuré la décoration intérieure.

Le Bleu Lanvin, une couleur unique créée par la couturière Jeanne Lanvin, habille les murs de cette salle, faisant du théâtre Daunou le seul théâtre de Paris à arborer cette couleur. Avec ses marguerites ornant la décoration, cette salle est un hommage à l’héritage riche et féminin qui l’a façonnée.

Une restauration historique

Malgré son patrimoine et son histoire, le théâtre Daunou n’avait pas été l’objet d’une rénovation majeure depuis sa construction. Cependant, en 2020, le groupe 6e Sens Immobilier a acquis l’immeuble du 7, rue Daunou, dans lequel se trouve le théâtre, ainsi que des bureaux et des logements. Cette acquisition a été suivie d’importants travaux de restauration, supervisés par le Cabinet Vincent Eschalier pour les logements, et en collaboration avec les architectes du patrimoine de l’agence M+O pour la restauration du théâtre. La salle de spectacle et sa façade sur rue sont inscrites aux monuments historiques depuis 1992.

Vincent Eschalier explique, «Il s’agit de restituer la salle dans son état historique, tout en effectuant un gros travail sur le plan pour faciliter les circulations et en améliorant la technique». La rénovation vise à préserver l’intégrité historique de la salle tout en améliorant le confort des spectateurs et des acteurs, et en rendant la salle accessible aux personnes à mobilité réduite.

Une attention méticuleuse aux détails

Sur le chantier, une quinzaine d’entreprises interviennent pour restaurer les sculptures, les dorures et les peintures. La restauration s’étend même jusqu’au plafond, où un travail minutieux est entrepris pour retrouver la couleur d’origine. La salle comptera également pas moins de quatre nuances de bleu différentes, afin de restituer au mieux l’état d’origine sans surjouer l’aspect pimpant et brillant.

Les fauteuils du théâtre, réalisés par Armand-Albert Rateau, une figure emblématique de l’art déco, font également l’objet d’une restauration attentivement menée. Certains fauteuils d’origine ont été conservés et sont actuellement en cours de restauration, tandis que d’autres ont été recréés à l’identique. Cette restauration minutieuse vise à offrir aux spectateurs une expérience authentique et confortable.

Le retour tant attendu

Avec une réouverture prévue en septembre, le théâtre Daunou s’apprête à dévoiler ses charmes restaurés au public avec la pièce «Un Mari idéal» d’Oscar Wilde, mise en scène par Nicolas Briançon. Les efforts de restauration se poursuivent pour préparer le théâtre à accueillir à nouveau ses spectateurs dans un cadre restauré, fidèle à son passé historique et artistique.

Cette restauration méticuleuse rend hommage à l’histoire et à l’art déco, tout en offrant aux spectateurs une expérience renouvelée au cœur du théâtre parisien.

Le secteur du logement neuf traverse une crise profonde

Chute du nombre de permis de construire en 2023: une situation inquiétante pour le secteur immobilier

Le secteur immobilier en France a été durement touché par une baisse significative du nombre de permis de construire en 2023. Les chiffres publiés par le ministère de la Transition écologique ont révélé une diminution de 23,7% par rapport à l’année précédente, avec seulement 373 100 autorisations délivrées. Cette baisse représente près de 116 000 permis en moins par rapport à l’année précédente, ce qui est très préoccupant pour l’industrie de la construction.

Baisse du nombre de mises en chantier de logements

En plus de la diminution du nombre de permis de construire, le nombre de mises en chantier de logements a également reculé de 22% par rapport à l’année précédente, avec seulement 287 100 logements commencés. Il est important de noter que les délivrances de permis avaient atteint des niveaux records en 2022 en raison de dates butoirs réglementaires. Cependant, même en comparant les autorisations pour 2023 aux niveaux d’avant la pandémie de Covid-19, on observe une baisse significative de 19%.

Une lueur d’espoir pour le marché immobilier

Malgré ces chiffres alarmants, il y a un léger signe d’amélioration à noter. En effet, les mises en chantier se sont redressées en décembre, avec une augmentation de 22% par rapport à novembre, totalisant 26 900 logements. Cependant, les ouvertures de chantiers sur l’ensemble de l’année 2023 restent nettement inférieures à celles de 2022, témoignant d’une situation fragile pour l’industrie de la construction.

Les prévisions inquiétantes pour l’avenir

La Fédération française du bâtiment (FFB) a averti que le marché immobilier se rapproche de ses plus bas historiques de 1992-1993, avec seulement 275 000 unités. Ces prévisions laissent craindre une récession de 5% en 2024, signalant des défis à venir pour l’ensemble de l’industrie de la construction et de l’immobilier.

Les raisons de cette crise

Il est important d’analyser les causes de cette crise qui affecte le secteur de la construction neuve en France. Tout d’abord, la crise est attribuable au record de délivrance atteint en 2022 à la suite d’un afflux de demandes de permis à la fin de l’année 2021, avant l’entrée en vigueur d’une réglementation environnementale (RE2020) plus ambitieuse pour la construction neuve. Cependant, cette crise est principalement le reflet d’une profonde crise de la construction neuve ainsi que de l’ensemble de la filière du logement.

Les facteurs contributifs à cette crise sont nombreux et incluent la chute de la demande liée à l’envolée des taux de crédit, le désintérêt des investisseurs institutionnels pour l’investissement locatif, ainsi que la hausse des coûts de construction et des prix du foncier. Véronique Bédague, présidente du promoteur Nexity, a souligné l’importance de redonner une place au logement des Français. Elle a déclaré : « Pour que la France soit plus forte et plus juste, il faut redonner une place au logement des Français. Investir dans le logement, c’est remettre le pays en mouvement! »

Perspectives d’avenir pour le secteur immobilier français

Face à cette réalité alarmante, il est essentiel de prendre des mesures pour relancer le secteur de la construction et de l’immobilier en France. Les acteurs de l’industrie devront collaborer pour trouver des solutions aux défis actuels, notamment en ce qui concerne la demande de logements, les coûts de construction et les prix du foncier.

Il est également crucial pour les autorités de mettre en place des politiques de soutien pour stimuler le marché immobilier et encourager les investissements dans le secteur de la construction neuve. En outre, des mesures visant à faciliter l’accès au crédit immobilier et à réduire les coûts de construction pourraient contribuer à renforcer la reprise du marché.

La baisse significative du nombre de permis de construire en 2023

Cette baisse est un signal d’alarme pour l’industrie de la construction et de l’immobilier en France. Il est impératif de prendre des mesures fortes pour surmonter les défis actuels et stimuler la relance du secteur. Les acteurs de l’industrie, les autorités et les parties prenantes devront travailler ensemble pour trouver des solutions durables et favoriser une reprise solide du marché immobilier français.

Paris demande un report de l’interdiction de la location des passoires thermiques

Passoires thermiques: Bruno Le Maire rejette le report de l’interdiction de location

Le ministre de l’Économie et des finances, Bruno Le Maire, avait envisagé un report du calendrier de l’interdiction de la mise en location des passoires thermiques, avant de rétropédaler en septembre dernier. Il a assuré qu’il n’était pas question de modifier le calendrier tel qu’il a été déterminé. Les politiques et les professionnels montent régulièrement au créneau pour dénoncer cette date butoir, jugée trop proche.

Édouard Philippe, ancien premier ministre, avait même qualifié de «folie» l’interdiction de location des passoires thermiques. Dans le détail, les logements classés G+ sont interdits de location depuis le 1er janvier 2023. Ce sera au tour de toutes les habitations de catégorie G à compter du 1er janvier 2025 puis des F en 2028 et des E en 2034.

Demande de report pour les copropriétaires déjà engagés dans un processus de rénovation

Jacques Baudrier, adjoint à la mairie de Paris chargé du logement et de la transition écologique du bâti, a écrit au premier ministre, Gabriel Attal, pour lui demander un report pour les copropriétaires déjà engagés dans un processus de rénovation. Le calendrier étant jugé «inatteignable», pour l’élu, rapporte Le Monde.

60.000 logements concernés à Paris

Il s’alarme en déclarant : «Le calendrier est trop court pour que toutes les copropriétés engagées dans le processus de rénovation aient réalisé leurs travaux avant le 1er janvier 2025. Il est plus que probable qu’une très grande majorité des logements en catégorie “G” actuellement, le soient encore au 1er janvier prochain et ne soient donc plus en capacité d’être reloués». Il craint que les propriétaires de logements G n’ayant pas pu arriver au bout de leurs travaux en 2025 retirent tout bonnement leur bien du marché de la location. Selon lui, 60.000 logements seraient concernés à Paris.

Impact sur la rareté des biens à louer

De nombreux jeunes actifs souhaitent accéder à la propriété mais n’y parviennent pas en raison de la hausse des taux et restent locataires. Le nombre de biens à louer se raréfie déjà de plus en plus et ce calendrier ne va pas arranger les choses.

Propositions de critères pour un éventuel report

Ainsi, tous les biens portant une étiquette G ne seraient pas concernés par ce report du calendrier d’interdiction de mise en location. Jacques Baudrier propose plusieurs critères à respecter : le bien doit faire partie d’une copropriété et un projet de plan pluriannuel de travaux doit être adopté avant le 1er janvier 2026, avec un échéancier permettant au logement d’atteindre un niveau minimal de performance avant le 1er janvier 2028. Ou, au moins, qu’un diagnostic global de la copropriété ait été réalisé et que l’assemblée générale ait voté la réalisation de travaux, dans les mêmes délais. La prise de position de Jacques Baudrier peut surprendre. L’élu communiste a toujours soutenu la rénovation des passoires thermiques. Mais il craint de manquer de logements.

Le débat sur l’interdiction de la location des passoires thermiques

Le débat sur l’interdiction de la location des passoires thermiques continue d’animer les acteurs politiques et professionnels de l’immobilier. Les divergences d’opinions sur la date butoir et son impact sur le marché locatif sont au cœur des préoccupations. L’appel à un éventuel report pour les copropriétaires déjà engagés dans des travaux de rénovation soulève des interrogations sur la faisabilité du calendrier actuel. Il reste à voir si des modifications seront apportées suite à ces demandes et comment cela impactera le secteur de l’immobilier dans les années à venir.

Les prix des châteaux sur le marché subissent également des baisses

Les châteaux résistent bien sur le marché immobilier

Le marché immobilier est complexe, mais les châteaux parviennent à se démarquer. Selon le bilan annuel du groupe Mercure Forbes Global Properties, réseau spécialisé dans l’immobilier de prestige, 104 châteaux ont été vendus l’année dernière. Bien que ce chiffre soit en baisse par rapport à l’année précédente où le groupe avait enregistré 113 ventes, il témoigne de la résilience de ce créneau particulier. En comparaison, le groupe a enregistré une baisse globale des transactions de 19% pour l’année 2022. Cela démontre que malgré les défis du marché, les châteaux conservent une certaine attractivité pour les acheteurs.

Les ventes au nord de la Loire représentent 60% du total cette année, tandis que les ventes dans le sud ont été moins importantes. Cette tendance inexpliquée montre que les châteaux conservent un attrait particulier dans certaines régions. Olivier de Chabot, directeur général du groupe Mercure, souligne que la demande pour les maisons reste élevée et que les baisses de prix sont moins prononcées en province qu’en Île-de-France.

Le haut de gamme résiste mieux aux baisses de prix

Une tendance claire se dégage : le haut de gamme résiste mieux aux fluctuations du marché. Les châteaux ont gagné en importance dans les transactions de Mercure, représentant 40% du nombre de ventes en 2023 contre 34% l’année précédente. Cependant, malgré l’attrait pour ces propriétés, les prix restent stables. Olivier de Chabot souligne que les biens en dessous d’un million d’euros se vendent bien, à condition que le prix soit cohérent avec l’état et la localisation du château. Pour les biens entre 1,2 et 1,6 million d’euros, la liquidité est maintenue, mais au-delà de ce seuil, il existe un plafond. En effet, le groupe n’a enregistré que 11 ventes supérieures à 2 millions d’euros l’année dernière.

L’intérêt des acheteurs est également en évolution. 80% des acheteurs sont français, une clientèle historique et naturelle de passionnés du patrimoine. Cependant, de nouveaux acheteurs plus pragmatiques et fortunés s’intéressent également aux châteaux pour leur rentabilité, qu’il s’agisse d’un projet événementiel, agricole ou viticole. Ces acheteurs proviennent souvent du monde des affaires. En revanche, la clientèle post-Covid qui avait tenté l’aventure rurale a diminué, et certains ont déjà revendu leur bien, ce qui peut poser des défis supplémentaires pour le marché.

Enrichir le contenu avec des détails attrayants

Pour rendre l’article encore plus complet, nous pourrions ajouter plus de détails sur les propriétés en vente. Par exemple, le château en état impeccable situé aux portes du Lubéron, non loin de l’Isle-sur-la-Sorgue, est disponible à l’achat pour 3,5 millions d’euros. Ces détails immobiliers ajoutent de l’intérêt pour les lecteurs qui pourraient être à la recherche de propriétés de prestige dans la région.

La clientèle post-Covid et les défis pour le marché

L’article pourrait également explorer davantage la clientèle post-Covid et les défis auxquels le marché immobilier est confronté. Certains acheteurs ayant tenté l’aventure rurale ont déjà revendu leur bien, ce qui peut influencer la perception du marché. Il serait intéressant de discuter des raisons pour lesquelles ces acheteurs n’ont pas réussi à s’adapter à ce nouveau mode de vie, et comment cela peut influencer le marché immobilier dans le futur.

Le marché immobilier des châteaux

Ce marché immobilier présente des tendances intéressantes malgré les défis économiques actuels. Les châteaux continuent de représenter une part significative des transactions de Mercure, et le marché haut de gamme semble mieux résister aux baisses de prix. Les acheteurs, qu’ils soient passionnés du patrimoine ou investisseurs pragmatiques, contribuent à maintenir l’attrait pour ces propriétés. Néanmoins, il est important de comprendre les défis uniques auxquels le marché est confronté, comme la clientèle post-Covid qui peut influencer les tendances à l’avenir. En fin de compte, le marché des châteaux reste fascinant et complexe, et il continue d’attirer l’attention des acheteurs à la recherche de biens immobiliers uniques et prestigieux.

Tout savoir pour s’installer au centre-ville de Biarritz près des Halles et du Port Vieux

Biarritz, célèbre ville balnéaire du Pays Basque, est réputée pour ses plages, son surf, son patrimoine et sa gastronomie. Le centre-ville de Biarritz, et plus particulièrement les quartiers animés des Halles et du Port Vieux, attirent de nombreux visiteurs et résidents en quête de convivialité et de dynamisme. Découvrez dans cet article comment s’installer au cœur de Biarritz, près des Halles et du Port Vieux, et profiter pleinement de cette vie locale animée.

Les attraits du centre-ville de Biarritz

Le centre-ville de Biarritz offre de nombreux atouts qui en font une destination de choix pour s’installer. Voici quelques-uns de ses principaux attraits :

  • Son emplacement privilégié : le centre-ville est situé à proximité immédiate de la plage, des commerces, des services et des transports en commun.
  • Son patrimoine : Biarritz est riche d’un patrimoine historique et architectural remarquable, avec des édifices tels que l’Hôtel du Palais, le Phare de Biarritz ou la Chapelle Impériale.
  • Sa gastronomie : Biarritz est célèbre pour sa cuisine basque, qui allie produits de la mer et saveurs du terroir. Les restaurants du centre-ville proposent une large variété de plats typiques, tels que le chipiron à la plancha, l’axoa de veau ou le gâteau basque.
  • Ses activités culturelles et sportives : le centre-ville de Biarritz offre un large choix d’activités culturelles et sportives, avec des musées, des galeries d’art, un casino, des écoles de surf et de nombreux événements tout au long de l’année.

S’installer près des Halles et du Port Vieux

Les quartiers des Halles et du Port Vieux sont deux pôles d’attraction majeurs du centre-ville de Biarritz. Ils offrent un cadre de vie animé et convivial, idéal pour s’installer. Voici quelques informations utiles pour trouver le logement qui correspond à vos besoins et à votre budget.

  • Les types de logements disponibles : le centre-ville de Biarritz propose une grande variété de logements, allant des appartements et des studios aux lofts et aux maisons. Les prix varient en fonction de la surface, de l’emplacement et des prestations proposées.
  • Les démarches administratives : pour s’installer à Biarritz, plusieurs démarches administratives sont nécessaires, telles que l’inscription auprès de la mairie, l’ouverture d’un compteur d’eau et d’électricité ou la souscription d’une assurance habitation.
  • Les transports : le centre-ville de Biarritz est bien desservi par les transports en commun, avec un réseau de bus et de tramways qui permet de se déplacer facilement dans la ville et ses environs.
  • Les écoles et les crèches : si vous avez des enfants, vous trouverez à Biarritz de nombreuses écoles, crèches et structures d’accueil adaptées à leurs besoins.

Profiter de la vie locale

Une fois installé au centre-ville de Biarritz, près des Halles et du Port Vieux, vous pourrez profiter pleinement de la vie locale et de ses nombreuses animations. Voici quelques exemples d’activités à ne pas manquer :

  • La plage : les plages du centre-ville de Biarritz, telles que la Grande Plage ou la Côte des Basques, offrent un cadre idéal pour se baigner, surfer ou se détendre au soleil.
  • Le surf : Biarritz est réputée pour ses spots de surf, qui attirent des surfeurs du monde entier. Les écoles de surf du centre-ville proposent des cours pour tous les niveaux.
  • Les festivals : tout au long de l’année, le centre-ville de Biarritz accueille de nombreux festivals, tels que le Festival du Film Américain, le Biarritz Surf Festival ou les Fêtes de Bayonne.
  • Les musées et les galeries d’art : le centre-ville de Biarritz abrite plusieurs musées et galeries d’art, qui permettent de découvrir la richesse culturelle et artistique de la région.
  • La cuisine basque : les restaurants et les bars du centre-ville de Biarritz proposent une large variété de plats typiques, à déguster sur place ou à emporter.

Les tarifs immobiliers au cœur de Biarritz

Il est important de prendre en compte les tarifs immobiliers lors de son installation dans le centre-ville de Biarritz. Bien que les prix varient en fonction de l’emplacement, de la surface et de l’état du bien, voici quelques indications sur les tarifs en vigueur dans les quartiers des Halles et du Port Vieux :

  • Prix d’achat : pour l’achat d’un appartement, comptez en moyenne entre 4 500 € et 8 500 € le mètre carré dans le centre-ville de Biarritz. Les prix peuvent être plus élevés pour les biens avec vue sur mer ou situés dans des immeubles de standing.
  • Prix de location : pour la location d’un appartement, les tarifs varient entre 12 € et 20 € le mètre carré, en fonction de la surface et de l’emplacement. Les loyers sont généralement plus élevés près des Halles et du Port Vieux, en raison de leur situation centrale et de leur animation.
  • Frais annexes : n’oubliez pas de prendre en compte les frais annexes liés à l’achat ou à la location d’un bien immobilier, tels que les frais de notaire, les frais d’agence ou les charges de copropriété.

Ainsi, s’installer au centre-ville de Biarritz, près des Halles et du Port Vieux, offre de nombreux avantages et permet de profiter pleinement de la vie locale animée et conviviale. Il est essentiel de bien évaluer son budget et de prendre en compte les tarifs immobiliers en vigueur pour s’installer dans le centre-ville de Biarritz, près des Halles et du Port Vieux. Pour faciliter votre installation et découvrir tous les trésors cachés de cette ville balnéaire du Pays Basque, nous vous conseillons, quand même, de prendre contact avec une agence immobilière locale.

Deux enfants demandent à leurs parents de payer 4 ans de loyers en retard

La famille se déchire sur fond de bien immobilier

C’est l’histoire d’une famille déchirée par un différend concernant une maison à Laneuvelotte, en Meurthe-et-Moselle (54). Jean et Renée affirment avoir économisé pour la construire et y avoir investi énormément d’efforts. Leurs deux fils leur demandent depuis 2019 de payer un loyer de 650 euros par mois pour la maison qu’ils occupent gratuitement depuis plus de 20 ans. Cette maison fait partie de la pépinière familiale, dont Jean et Renée ne sont pas propriétaires. Rémi, l’un des fils, déclare avoir fini de payer le crédit de la maison de ses parents et a réglé leurs charges durant des années. Il affirme qu’il assume la responsabilité de ses parents depuis 20 ans.

Fondation de la dispute

Le différend commence en 2017, lorsque la mère de Jean décède. À ce moment-là, Jean vend la propriété au compagnon d’une de ses filles. Pendant des années, la pépinière familiale était hébergée gratuitement dans la maison de la grand-mère, compensant ainsi l’absence de loyer versé par les parents. Cependant, avec la vente de la maison de la grand-mère, cette contrepartie disparaît. Les enfants estiment donc que leurs parents doivent leur verser un loyer ou être expulsés si les frais ne sont pas payés.

Les parents, pour leur part, paient eux-mêmes les charges de la maison de 400 m² mais refusent de payer un loyer. Rémi les décrit comme étant réticents même à payer les charges et accuse son père d’avoir un passé judiciaire lourd et d’être un personnage néfaste et machiavélique.

Décision de justice

Les deux fils ont porté l’affaire en justice, et les juges ont statué en leur faveur. Ils ont considéré que les enfants avaient le droit de leur demander un loyer en tant que propriétaires des lieux et qu’ils pouvaient les expulser en cas de non-paiement du loyer. Les retraités, n’ayant pas de contrat de prêt gratuit, sont donc redevables de quatre ans d’impayés de loyer à leurs fils. Les enfants comptent bien faire appliquer la décision de justice, du moins en ce qui concerne le paiement des arriérés de loyer. L’expulsion n’est qu’une menace pour le moment, car les enfants assurent qu’il est hors de question de les expulser. Ils cherchent plutôt à faire prendre conscience à leurs parents de la réalité de la situation. Cependant, les parents affirment ne pas avoir les moyens de payer.

Ce différend familial met en lumière de nombreux problèmes relatifs à la propriété, à l’héritage et aux responsabilités familiales. Il suscite également des interrogations sur les droits et les devoirs des parents et des enfants dans ce type de situation.

Une erreur amusante contraint le fisc à rembourser l’augmentation de la taxe foncière

Le fisc multiplie les ratés et les gaffes dans le monde de l’immobilier

Au cours des derniers mois, le fisc a enchaîné les erreurs dans le domaine de l’immobilier. La déclaration des biens immobiliers a été reportée à plusieurs reprises l’été dernier en raison de bugs informatiques. De plus, des taxes d’habitation ont été envoyées à des mineurs, voire même à des bébés. Plus récemment, des hausses de taxes foncières injustifiées ont été constatées, entraînant un bras de fer judiciaire entre l’administration fiscale et une vingtaine de contribuables.

Des hausses de taxes foncières injustifiées

Une hausse démesurée de taxes foncières s’est abattue sur des contribuables isérois, sans aucune justification de la part de l’administration fiscale. En effet, la base d’imposition (ou valeur locative) qui sert à calculer la taxe foncière, fixée par le fisc, a été modifiée sans que les contribuables en soient informés au préalable. Selon l’article L57 du Livre des procédures fiscales, « l’administration adresse au contribuable une proposition de rectification qui doit être motivée de manière à lui permettre de formuler ses observations ou de faire connaître son acceptation ». Il s’agit du principe du contradictoire, qui garantit aux contribuables le droit de donner leurs observations avant toute augmentation de la base d’imposition de la taxe foncière. Me Jean-Pascal Michaud, avocat à la Cour, spécialiste en contentieux en droit fiscal, a attaqué en justice Anne Hidalgo pour contester l’envolée de la taxe foncière qu’elle a imposée aux Parisiens.

Une longue attente pour un remboursement

Le service des impôts d’Isère (38) a été attaqué en justice par des contribuables qui l’accusent de ne pas les avoir prévenus d’une augmentation de la base d’imposition, en raison notamment de l’installation d’un chauffage central. Malgré les dénégations des plaignants, l’administration fiscale assure avoir envoyé un courrier, mais sans accusé de réception. Selon le Tribunal administratif de Grenoble, « la seule production par l’administration du modèle type du courrier envoyé de façon automatisée ne suffit pas, faute de production d’un accusé de réception ».

Suite à cette décision, le juge a annulé la hausse de la taxe foncière pour 2019 et a ordonné le remboursement des contribuables, qui recevront en moyenne plus de 300 euros chacun. Me Michaud conseille aussi aux contribuables de contester les taxes foncières des quatre années suivantes, puisqu’elles ont été calculées sur une base erronée. Néanmoins, les contribuables devront faire preuve de patience, car les délais d’attente avoisinent en moyenne six mois à partir de la décision de justice.

Pour éviter toute confusion à l’avenir, l’administration devra renvoyer un courrier pour expliquer la hausse de la base d’imposition de la taxe foncière, avec accusé de réception cette fois. Alternativement, les contribuables pourront être informés via leur messagerie sécurisée sur le site des impôts, une option plus efficace et moins coûteuse selon Jean-Pascal Michaud.

Valeurs locatives : les contribuables gagnent en justice contre le fisc

Les contribuables ont remporté leur bataille judiciaire face à l’administration fiscale, prouvant que celle-ci doit informer les contribuables avant toute augmentation des valeurs locatives de manière à leur permettre de formuler leurs observations. Malgré leur victoire, il faudra encore du temps aux contribuables pour toucher leur dû. Cette affaire souligne également les défis auxquels le fisc est confronté dans l’ère numérique, les obligeant à repenser leurs méthodes de communication avec les contribuables.

Les députés adoptent une attitude plus sévère à l’encontre des marchands de sommeil qui louent des logements insalubres

L’Assemblée nationale adopte un projet de loi contre l’habitat dégradé

Le mardi dernier, l’Assemblée nationale a adopté en première lecture un projet de loi contre l’«habitat dégradé». Ce texte a été débattu pendant deux jours sans la présence d’un ministre exclusivement chargé du logement, en raison de l’absence d’attribution de ce portefeuille dans le nouveau gouvernement. Le projet de loi a été adopté avec 126 voix contre une, et a bénéficié du soutien de la majorité présidentielle ainsi que de certains groupes d’opposition, à l’exception de La France Insoumise (LFI) et du Rassemblement National (RN) qui se sont abstenus. Le ministre de la Transition écologique, Christophe Béchu, a exprimé sa satisfaction quant à l’adoption d’un texte comportant des «solutions concrètes», et souligne que «1,5 million de logements sont fragiles».

Les mesures du projet de loi

Expropriation en cas d’arrêté de péril ou d’insalubrité

Le projet de loi prévoit plusieurs mesures afin de faciliter les travaux avant qu’une dégradation ne devienne irréversible. Il autorise la création d’un prêt global collectif pour les copropriétés, permettant ainsi l’accès au crédit. Par ailleurs, le gouvernement a ajouté une «garantie publique» pour les copropriétés en grande difficulté financière. En outre, le texte introduit une nouvelle procédure d’expropriation des propriétaires de logements frappés par un arrêté de péril ou d’insalubrité, avant que la situation ne nécessite la démolition de l’immeuble.

Renforcement des sanctions pénales

Les députés ont également voté un renforcement des sanctions pénales à l’encontre des marchands de sommeil, qui exploitent des personnes vulnérables en leur louant des logements dégradés. Ces marchands de sommeil risquent désormais sept ans de prison et une amende de 200 000 euros. Un amendement communiste a ajouté, en tant que peine complémentaire, l’interdiction pour ces bailleurs, pendant jusqu’à 15 ans, d’acquérir un bien immobilier autre que leur résidence principale. De plus, les bailleurs qui louent des logements sans bail écrit s’exposent à une peine d’un an de prison et une amende de 20 000 euros. Enfin, une nouvelle obligation a été instaurée pour les syndics de copropriété d’informer les copropriétaires et occupants d’un immeuble sur les procédures contre l’habitat indigne en cours.

Débats autour de l’amendement LFI

Malgré des débats souvent consensuels, les députés ont ferraillé mardi autour d’un amendement LFI, rejeté de justesse, qui demandait de «rétablir l’exigence minimale d’une hauteur sous plafond» d’au moins 2,2 mètres pour un logement, jugeant qu’un récent décret avait fait un «cadeau aux marchands de sommeil» en autorisant une hauteur de 1,80 m. Stéphane Peu, du parti communiste, a exprimé son opinion sur cette loi en affirmant que «la mesure de fond serait de répondre à la crise de la pénurie de logement». De son côté, l’écologiste Julien Bayou a renchéri en disant que bien que le texte soit «bienvenu», il «ne fait pas une politique du logement».

Lutte contre l’habitat indigne : les principales dispositions du projet de loi adopté par l’Assemblée

Le projet de loi contre l’habitat dégradé adopté par l’Assemblée nationale comporte plusieurs mesures visant à lutter contre l’insalubrité et les logements dégradés en France. Ces mesures comprennent notamment la création d’un prêt global collectif pour les copropriétés, l’introduction d’une nouvelle procédure d’expropriation des propriétaires de logements frappés par un arrêté de péril ou d’insalubrité, ainsi que le renforcement des sanctions pénales contre les marchands de sommeil. Bien que l’amendement LFI n’ait pas été adopté, il a suscité des débats passionnés parmi les députés.

Les taux de crédit immobilier pourraient atteindre 3% d’ici la fin de 2024

Crédit immobilier : la baisse des taux pourrait limiter la timide baisse des prix

La tendance est à l’optimisme dans le secteur du crédit immobilier. La hausse des taux et des prix semble enfin appartenir au passé, laissant place à une conjoncture plus favorable marquée par la baisse des taux et des prix. Les banques reprennent confiance et reprennent le prêt, ce qui fait dire aux experts que la tendance baissière devrait s’intensifier dans le courant de l’année et peut-être même en 2025.

Une baisse des taux attendue

Selon Pierre Chapon, président de Pretto, courtier en crédit immobilier, les taux pourraient baisser de 1 à 1,5 point sur les niveaux actuels, ce qui ramènerait les taux de crédit à 3% d’ici la fin de l’année. D’autres acteurs du secteur, tels que l’Observatoire Crédit Logement, estiment quant à eux que cette baisse se situera plutôt entre 3% et 3,5%. En outre, la présidente de la BCE, Christine Lagarde, a annoncé une probable baisse des taux d’intérêt pour cet été, ce qui rend les courtiers optimistes. Une diminution d’un point des taux de crédit en moins d’un an équivaudrait à une baisse significative de la mensualité et du coût total de l’acquisition pour les emprunteurs.

Baisse des prix attendue

En parallèle à la baisse des taux, une diminution des prix est également attendue. Selon Meilleurs Agents, le spécialiste de l’estimation immobilière, la baisse des prix pourrait atteindre jusqu’à 5% à Paris, 6% à Lyon, 7% à Tours, 8% à Nantes ou même 10% à Mérignac. Cette conjonction de baisses de taux et de prix ouvre de nouvelles opportunités pour les acheteurs potentiels.

Un retour éclair de la hausse des prix?

Alors que certains experts recommandent d’acheter dès maintenant en raison des prévisions de baisse des taux et des prix, d’autres adoptent une attitude plus attentiste. Ils mettent en garde contre une potentielle concurrence plus forte du côté des acheteurs si la diminution des taux et des prix s’accélère. Cet attentisme, s’il se prolonge, pourrait coûter cher aux acheteurs, car la baisse des prix pourrait être de courte durée. En effet, couplée à une diminution des taux, la baisse des prix devrait augmenter la solvabilité des ménages, ce qui pourrait à son tour entraîner une augmentation de la demande et des prix.

Optimisme prudent

Les courtiers et experts de l’immobilier se montrent donc optimistes, mais incitent les acheteurs potentiels à agir avec prudence. En effet, bien que la conjoncture actuelle soit favorable, il est difficile de prédire l’évolution des taux et des prix à moyen terme. Les conditions sont certes réunies pour que les taux de crédit baissent et que les prix de l’immobilier suivent le mouvement, mais tout reste sujet à la conjoncture économique et aux décisions des autorités financières.

Marché immobilier 2024 : opportunités et incertitudes pour les acheteurs

Il semble que la tendance actuelle soit favorable aux acheteurs potentiels, mais prévoir l’évolution à moyen terme du marché immobilier reste incertain. La prudence est de mise pour ceux qui envisagent un achat immobilier dans les mois à venir, car la situation pourrait évoluer rapidement. En définitive, les emprunteurs et les acheteurs doivent être à l’affût des évolutions futures pour tirer le meilleur parti de la situation actuelle.